samedi 30 avril 2022

Université de Louvain - Almanach de l'année 1796

 


 

[COLLIN (Hubert)].

Kalendarium anni bissextilis 1796 ad usum studiosorum universitatis Lovaniensis.

Louvain, 1796.
[Lovanii, M. D. CC. XCVI.] 

 


In-8° sous son brochage d'époque, 96 p., ex-libris manuscrit de Camille Wins.


Extrait de la bibliographie d'André Warzée :
   « L'auteur de cet almanach est Hubert Collin, Liégeois, ancien professeur de rhétorique et de poésie, et en 1796 régent du collège de la Sainte-Trinité, mort le 15 juillet 1811, à l'âge de 72 ans. Contient des renseignements sur le personnel de l'université. »


Bibliographie :
   - Warzée (André), Recherches bibliographiques sur les almanachs belges, dans Bulletin du bibliophile belge, Volume 8, p. 180, n° 15.
   - Le Court (Jules-Victor de), Dictionnaire des anonymes et pseudonymes (XVe siècle - 1900), 625, p 531.

 

45 euros (code de commande : 00088).

 

Si vous souhaitez obtenir d'autres informations n'hésitez à pas à me questionner (b.waterlot@hotmail.com).
Ce livre peut être retiré à l'adresse figurant dans l'en-tête du blog.
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vendredi 29 avril 2022

Harvent (René)

 

 


DONNAY (Guy).

René Harvent.

Mons, Centre de Création Artistique de Mons, 1988.

 


 

In-4° (220 x 297 mm.) sous reliure et jaquette d'éditeur, 111 p., nombreuses illustrations en couleurs, exemplaire en parfait état.
 

   Publication réalisée à l'occasion de l'exposition organisée à la Salle Saint-Georges, à Mons, du 3 au 24 décembre 1988.

 



Prologue :
   C'est en automne 1938, lors des premiers soubresauts prémonitoires de la guerre, que j'ai connu René Harvent.
   Déambulant à grands pas dans la cour du collège des pères jésuites de Mons, il évoquait, avec force gestes, les gloires de l'histoire. Il admirait Napoléon, nom qu'on lui avait d'ailleurs donné.
   Il nous quitta en 1942, poussé vers les études artistiques par son impérieuse vocation, mais aidé dans sa décision par un de nos professeurs, lui-même hors du commun en raison de sa propension à se situer très au-dessus de l'immédiat et à percevoir, avec une clairvoyance quasi surnaturelle, l'accomplissement des choses et des êtres.
   Quelques années plus tard je retrouvais René Harvent, jeune artiste déjà fameux, qui avait reçu plusieurs prix, et je fréquentais ses ateliers successifs : son grenier de l'avenue Wauters à Cuesmes, l'atelier minuscule de la rue Jourdan, proche toutefois de la porte Louise à Bruxelles, celui qu'il installa dans un grand salon Louis XVI, rue Zinner, face à la résidence de l'ambassadeur des États-Unis, et celui qui, majestueux, lui convenait tout à fait, au 21, boulevard du Régent.
   Curieux de tout, il a toujours eu, de l'aigle, l'avidité à appréhender le monde. Sa caractéristique était et reste l'exigence avec lui-même, et corollairement avec chacun non sans qu'une mansuétude certaine vînt tempérer sa rigueur.
   D'aucuns l'ont cru agressif, provoquant, alors qu'il est en fait profondément doux et anticonflictuel, mais, obsédé par la perfection, il est resté fidèle et droit comme le fil de l'épée.
   En toutes choses, seul le meilleur l'intéresse. La facilité, l'à-peu-près, la médiocrité lui font horreur.
   À son propos, je pense souvent à un vers de Mallarmé : « Donner un sens plus pur aux mots de la tribu ». Je pense aussi à un autre vers fameux du même poème, pour le paraphraser : « Telles qu'en elles-mêmes enfin l'éternité les change ». Les œuvres de René Harvent me donnent une sensation d'éternité.
   En cinq décennies, René Harvent n'a pas changé. Il reste l'artiste convaincu enthousiaste, éclectique, fasciné par de grands rêves, et décidé à les traduire, ce qu'il réussit superbement, par la grâce de son immense talent et d'un travail d'une profondeur véritablement extraordinaire.
   C'est avec un rare contentement que, pas assez souvent hélas, il m'est donné le temps de flâner avec lui dans l'art et la culture. Quel enrichissement pour moi.
   Et dire que Mons ignore, ou presque, la présence en ses murs de cet artiste hors du commun qui, convenons-en, se montre d'ailleurs très peu. Mais qu'elle l'ignore ou pas, il honore sa ville natale. Il nous est enfin donné la joie de pouvoir y rassembler ses œuvres, en cette magistrale exposition.
   La femme – fascination de l'homme éternellement jeune – aura été et reste l'inspiratrice essentielle de l'œuvre de René Harvent. Plus les années ont passé, plus il est arrivé à cette conjugaison subjugante de la réalité physique de la jeune femme et du style. Dans ses statues, aucune bavure. Nous sommes en présence d'œuvres d'un seigneur de la sculpture.
   J'ajouterai ceci : René Harvent a permis cette exposition à Mons, il l'a un peu conçue ou admise en réparation des torts qu'il a subis ici, voire comme une réconciliation avec cette cité qui l'a méconnu, mais qu'il n'a jamais cessé d'aimer. 

 

20 euros (code de commande : 00087).

 

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jeudi 28 avril 2022

Les voies navigables en Hainaut du Moyen Âge à nos jours

 

 

 

Les voies navigables en Hainaut du Moyen Âge à nos jours. Monographies et approches thématiques.
Publié sous la direction de Laurent Honnoré et Isabelle Sirjacobs.

Mons, Hannonia, 2017.

 

 

In-8° (160 x 240 mm.) broché, 535 p., illustrations en noir et en couleurs, (collection « Analectes d'Histoire du Hainaut », tome XVI).


Table des matières :
   - Avant-propos, par Laurent Honnoré.
   Première partie. Monographies.
      1. L'Escaut sur le territoire français, par Maryse Boudard et Édouard Desplats.
      2. L'Escaut sur le territoire du Hainaut belge, par Bruno Van Mol.
      3. La Dendre, par Didier Descamps et Adrien Dupont, en collaboration avec Élise Bocquet, Christine Delpancq et Camille Holvoet.
      4. Le canal Blaton-Ath, par Didier Descamps et Adrien Dupont, en collaboration avec André Nisolle et José Laurent.
      5. La navigation sur la Haine (XIVe - XIXe siècle), par Yannick Coutiez.
      6. Le canal de Mons à Condé, par Laurent Honnoré.
      7. Le canal Pommerœul-Antoing, par Bruno Van Mol.
      8. Le canal Nimy-Blaton-Péronnes et le canal Pommerœul-Condé, par Bruno Van Mol.
         8.1. Le canal Nimy - Blaton - Péronnes-lez-Antoing.
         8.2. Le canal Pommerœul - Hensies - Condé-sur-l'Escaut.
      9. Le canal de l'Espierres, par Bruno Van Mol.
      10. La Lys, par Bruno Van Mol.
      11. La Haute-Sambre, par Philippe Cnudde.
      12. La Basse-Sambre, par Claude Coisman.
      13. Le canal Charleroi-Bruxelles, par Gérard Bavay.
      14. Les canaux du Centre, par Isabelle Sirjabobs.
   Deuxième partie. Approches thématiques.
      15. Les bateaux sur la Haine durant l'Ancien Régime, par Yannick Coutiez.
      16. Les bateaux aux XIXe et XXe siècles, par Cécile Ansieau.
      17. Les ouvrages d'art, par Bruno Van Mol.
      18. Voies navigables, environnement et paysages, par Gérard Bavay.
      19. Professions, traditions et vie batelière, principalement sur l'Escaut, par Maryse Boudard.
      20. La navigation de plaisance, par Bernard Mercier.

 



 35 euros (code de commande : 25608).

 

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mercredi 27 avril 2022

Petot - Registre des Parlements de Beaune

 

 

PETOT (Pierre).

Registre des Parlements de Beaune et de Saint-Laurent-lès-Chalon (1357-1380).
Publié avec une introduction.

Paris, Recueil Sirey, 1927.

 

 

In-8° (163 x 250 mm.)  broché, LXVIII, 375 p., (collection « Société d'Histoire du Droit »), exemplaire en bon état.


Extrait de l'introduction :
   La Société d'Histoire du droit accueille dans sa collection la présente édition du registre JJ 319 des Archives Nationales. Elle a pensé que la publication d'un texte plein d'enseignements sur le droit privé du duché de Bourgogne dans la deuxième moitié du XIVe siècle, sur son organisation judiciaire, sur les rapports des juridictions d'un grand fief avec les juridictions royales, ne serait pas inutile. [...]
   Dans cette édition, nous nous sommes contenté de suivre aussi exactement que possible, même dans ses particularités graphiques, le texte du registre JJ 319, sans rechercher les copies indépendantes qui peuvent subsister des arrêts qu'il nous fournit. Elles n'eussent rien ajouté au registre original. Faute de pouvoir respecter dans le détail la disposition du registre, nous avons distingué du texte proprement dit les mentions marginales adjointes aux présentations et aux arrêts par un caractère plus petit. Les nota ajoutés à quelques arrêts sont imprimés en italiques. Nous avons, dans un premier appendice, donné divers documents, extraits pour la plupart des registres du Parlement de Paris. Un deuxième appendice comprend quelques notes sur des membres des sessions parlementaires de Beaune'. Enfin, deux tables alphabétiques, l'une des matières, l'autre des noms de personnes et de lieux, rendront, nous l'espérons, l'usage de notre édition plus facile.

 

20 euros (code de commande : 00085).

 

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mardi 26 avril 2022

Cartier - La montre Tank

 

 


 

COLOGNI (Franco).

Cartier, la montre Tank.

Paris, Flammarion, 1998. 

 

 

In-4° (256 x 292 mm.)  sous reliure d'éditeur et jaquette, 263 p., très nombreuses illustrations en couleurs, exemplaire du Service de Presse, exemplaire en très bon état.

 


 

Sur la jaquette :
   Il en va de certains objets comme des personnages hors du commun : leur aura est telle que raconter leur histoire singulière, c'est raconter les aventures collectives de leur époque.
   La montre Tank de Cartier est de ceux-là. Dessinée par Louis Cartier pendant la Grande Guerre, elle s'inspirait, pour la forme du boîtier, du char d'assaut Renault. Elle fut offerte au Général Pershing en 1918. Véritable hymne à l'élégance moderne, à la vitesse et à l'audace, la montre Tank est un chef-d'œuvre d'horlogerie d'art. Adaptée par la suite au poignet féminin, elle a toujours su évoluer avec son temps, et demeure aujourd'hui un modèle de design et de haute technologie.
   L'ouvrage de Franco Cologni retrace l'histoire de cet objet d'exception. Mêlant avec art la grande et la petite histoire, il situe la Tank dans l'ensemble des productions de la maison Cartier, mais aussi dans le contexte plus général de l'horlogerie d'art, où Cartier a toujours fait figure de précurseur. Témoin d'un siècle de création, cette monographie de la Tank rassemble des modèles très rares, comme la Tank Chinoise, ou plus célèbres, comme la Must et plus récemment la Tank Française. En trois chapitres abondamment illustrés, elle évoque son destin glorieux, souvent lié à celui de ses célèbres admirateurs.
   Le texte est suivi d'un catalogue de montres réunissant 250 modèles, dont certains sont présentés ici pour la première fois. Tirés des archives de la maison Cartier, ainsi que de nombreuses collections privées à travers le monde, ils illustrent brillamment l'esprit Cartier.
   Il s'agit là d'un véritable ouvrage de référence, tant pour les collectionneurs de montres que pour tous ceux qui admirent le savoir-faire et l'infinie créativité de la maison Cartier.

 


 

 25 euros (code de commande : 00083).

 

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lundi 25 avril 2022

Barthélemy - Histoire de la Bretagne

 



BARTHÉLEMY (Charles).

Histoire de la Bretagne ancienne et moderne par Ch. Barthélemy (de Paris).
Deuxième édition.

Tours, Mame, 1858.
[Tours / Ad Mame et Cie, Imprimeurs-Libraires / M DCCC LVIII] 

 

 

In-8° broché, [3 (faux-titre, mention de droits, titre)], [1 bl.], 379, [1 bl.] p., 3 fines gravures hors texte de Paul Girardet, d'après des dessins de Karl Girardet, rousseurs habituelles sinon très bon exemplaire dans son brochage d'origine, étiquette de prix (école moyenne de Houdeng-Aimeries) à la page de faux-titre et ex-libris au verso.


Avant-propos :
   L'histoire est la leçon des peuples ; elle est aussi celle des familles et des individus. C'est ainsi que nous avons compris la composition de ce livre, puisé aux meilleures sources.
   Il nous suffira de citer, pour la partie antérieure à la réunion de la Bretagne à la France, le vieux d'Argentré, Alain Bouchard, le Baud, les Bénédictins, MM. de Roujoux, Aurélien de Courson, Daru, etc. etc. Pour l'époque révolutionnaire, nous devons beaucoup à MM. Duchâtelier, Pitre-Chevalier, Crétineau-Joly ; aux Mémoires contemporains de Mme de La Rochejacquelein, de MM. de Montbrou et de Villeneuve sur l'expédition de Quiberon ; aux patientes recherches de M. Descepaux sur la Chouannerie, et à tant d'autres, dont il serait trop long d'enregistrer les noms. À tous respect et reconnaissance.
   Ce livre se divise en cinq parties : la première, depuis l'origine de la Bretagne jusqu'à Nomenoé, le premier des rois bretons dont l'existence soit bien certaine (825) ; la seconde, depuis Nomenoé jusqu'au premier duc de Bretagne (877) ; la troisième, à partir de ce premier duc jusqu'à la réunion de la Bretagne à la France, en 1532 ; la quatrième, de la réunion et de la ligue aux préliminaires de 1789 ; enfin la cinquième et dernière, de 1789 à 1832.
   Cet ordre nous a semblé le plus logique et le plus commode en même temps ; il facilite la lecture de cette histoire, que nous avons cherché surtout à remplir de faits neufs et piquants.
   Persuadé qu'un récit historique doit être avant tout un enchaînement de faits plutôt qu'un réquisitoire en faveur d'un système quelconque, conçu a priori, nous avons cherché à être anecdotique, dans l'acception vraie et sérieuse de ce mot, en révélant des détails peu connus, et en jetant une nouvelle lumière sur ceux qui le sont mal, soit parce que l'esprit de parti les a travestis, soit parce que les sources auxquelles on les a puisés sont suspectes ou empoisonnées.
   La vérité, toute la vérité, rien que la vérité, telle a été notre devise ; nous avons cru ne pouvoir trouver un plus digne pendant à celle de la Bretagne, que nous avons prise pour épigraphe de ce livre.

 

20 euros (code de commande : 00084).

 

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samedi 23 avril 2022

Anthology of Armageddon

 

 

Anthology of Armageddon
Edited and compiled by Bernard Newman and I. O. Evans.

London, Greenhill Books, 1989.

 

 

In-8° sous reliure et jaquette d'éditeur, 454 p., note manuscrite à la page de garde, bel exemplaire.
 

Sur la jaquette :
   Here is a classic, complete evocation of World War 1, a distillation in one volume of over 150 books. Linked by a connecting narrative, this Anthology includes carefully chosen extracts from such famous and essential work as :
      - The First Hundred Thousand by Ian Hay.
      - The World Crisis by Winston Churchill.
      - A Soldier's Notebook by General A.A. Brussilov.
      - Gallipoli by John Masefield.
      - Zeppelins over England by Freiherr Treusch von Buttlar Brandenfels.
      - Good-bye to All That by Robert Graves.
      - Old Soldiers Never Die by Frank Richards.
      - General Headquarters, 1914-1916 by General Erich von Falkenhayn.
      - Verdun by Marshal Petain.
      - All Quiet on the Western Front by Erich Maria Remarque.
      - A Farewell to Arms by Ernest Hemingway.
      - Her Privates We by « Private 19022 ».
      - Memoirs of an Infantry Officer by Siegfried Sassoon.
      - The Wet Flanders Plain by Henry Williamson.
   Other contributors to the book include H.G. Wells, Sylvia Pankhurst, Lord Beaverbrook, Upton Sinclair, B.H. Liddell Hart, Andre Maurois, Edmund Blunden, Arthur Conan Doyle, A.P. Herbert and Compton MacKenzie. Whether as front-line soldiers, sailors and airmen, high commanders, politicians, war resisters, revolutionaries or ordinary civilians, here those who took part in the « war to end all wars » tell of the conflict in their own words. The result is an unforgettable picture of the war as it really was.
   The Editors of the Anthology of Armageddon are both well known authors in their own right, and themselves saw service in the Great War. Bernard Newman served from 1914 to 1919 with the 21st Divisional Artillery Group ; he was present at the battles of Loos, the Somme, Arras, Passchendaele, the Fifth Army Retreat and Kemmel. I.O. Evans served from 1914 to 1919 in the Welsh Regiment and the Special Brigade at Messines, Ypres, Dixmude, the Fifth Army Retreat and the Lys.

 

10 euros (code de commande : 00081).

 

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vendredi 22 avril 2022

Lesage (X.) - Histoire de la fonction d'Huissier de Justice

  


LESAGE (Xavier).

L'Huissier. L'histoire de la fonction d'Huissier de Justice.

Kapellen, Pelckmans, 1993.

 

 

In-8° (180 x 253 mm.) sous reliure et jaquette d'éditeur, 349 p., illustrations hors texte, exemplaire en très bon état.


Avant-propos :
   Par ce projet concernant l'histoire de la fonction d'huissier de justice, l’« Arrondissementskamer der Gerechtsdeurwaarders van Antwerpen » a voulu contribuer d’une façon remarquable et durable aux réalisations d’« Anvers, capitale culturelle de l'Europe, 1993 ». Une telle initiative ne reflète pas seulement le dynamisme de cette chambre, mais aussi sa volonté de retrouver les racines de la fonction des huissiers de justice afin de mieux comprendre ses tâches actuelles à travers une meilleure connaissance du passé. Que la publication de cet ouvrage coïncide avec le cent quatre-vingtième anniversaire du décret du 14 juin 1813 « portant règlement sur l'organisation et le service des huissiers » et avec le trentième anniversaire de la loi du 5 juillet 1963 concernant l'organisation du statut des huissiers de justice et de la Chambre Nationale, n'est évidemment pas un hasard.
   Afin d'éviter le piège d’une approche hagiographique de l'évolution de cette profession et en se rappelant le proverbe italien « Ad ogni ucello suo nido è bello », la chambre d'arrondissement a confié la rédaction de ce livre à une personne extérieure. Qui plus est, elle a demandé à un certain nombre de professeurs d'université de composer un comité scientifique pour soutenir cette recherche. On ne peut qu'applaudir à cette décision de la chambre d'arrondissement des huissiers de justice d'Anvers d'avoir fait étudier l'histoire des huissiers en toute liberté scientifique.
   Une telle initiative mérite d'autant plus d'estime qu’il n'existe que peu d'ouvrages concernant l'histoire de la charge d'huissier de justice. L'étude du passé des professions juridiques demeure en effet encore à l’état embryonnaire. La reconstruction de ce passé constitue donc une véritable performance. Xavier Lesage, licencié en histoire, a relevé avec beaucoup de talent, d'enthousiasme et de persévérance ce défi et a écrit un ouvrage de référence plein d'intérêt et particulièrement bien documenté.
   L’auteur ne s'est pas limité à écrire une simple histoire législative. L'évolution de la fonction des huissiers de justice est retracée dans toute sa réalité humaine, avec ses points forts et ses points faibles. Loin d’un travail de droit abstrait, l'auxiliaire de justice y apparaît en chair et en os. Cet intérêt pour l’homme contribue au fait que cet ouvrage ne se présente pas seulement comme une passionnante histoire, mais qu’il met aussi le doigt sur une réalité trop souvent oubliée. La valeur et l’efficience des institutions sont en effet déterminées en premier lieu par les gens qui les composent.
   Ce livre n'est pas seulement une synthèse des études existantes. L’auteur n'a pas hésité à exploiter des sources inédites et propose dès lors plusieurs idées nouvelles. Non sans un intérêt nécessaire pour les faits – parfois même pour des anecdotes – il réussit cependant à dépasser une approche événementielle : la longue durée se retrouve toujours sous sa plume comme ligne de force. De façon pénétrante, l’auteur analyse le fait controversé de savoir si la Révolution française constitue ou non une rupture et la problématique de la continuité ou de la discontinuité. L'histoire de l'évolution de la charge des huissiers à partir de la Révolution française, un domaine complètement ignoré jusqu'ici, représente une véritable contribution originale à l'histoire du droit contemporain.
   Cette œuvre, comme toute étude scientifique, n'est pas définitive. Mais elle constituera une base indispensable pour toute recherche ultérieure. Avec raison, la chambre d'arrondissement d'Anvers a pris l'option d'en publier une version néerlandaise et une version française. Cela contribuera sans aucun doute à une plus grande diffusion et un plus grand rayonnement de ce livre.

 

Vendu.

 

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jeudi 21 avril 2022

Kanapa (Jean) - L'existentialisme n'est pas un humanisme

 

 


KANAPA (Jean).

L'existentialisme n'est pas un humanisme.

Paris, Éditions Sociales, 1947.

 

 

In-12 (119 x 155 mm.) broché, 125 p., (collection « Problèmes »), petits manques au dos.


Extrait du texte d'Arnaud Spire :
   C’est au lendemain de la Libération que la relation entre l’intellectuel dont la renommée est déjà immense et le PCF devient de notoriété publique. Cela ne signifie aucunement qu’elle n’ait pas été précédée par quelques flirts et, bien sûr, quelques brouilles. Mais, du côté politique, tout commence par l’agacement qu’éprouvent certains dirigeants du PCF face à la séduction croissante exercée sur une partie de la société française, au lendemain de la Libération, par l’Existentialisme qu’ils considèrent comme « une Mode ». En septembre 1947, le philosophe communiste Jean Kanapa publie un pamphlet intitulé L’existentialisme n’est pas un humanisme. Il y estime que « l’existentialisme tient le haut du pavé philosophique sur le trottoir de la bourgeoisie », qu’il « joue à la politique » et qu’il « critique sauvagement le marxisme ». Il assimile sa démarche à la « démystification » opérée, vingt ans plus tôt, par un autre philosophe communiste, Georges Politzer, sur « le bergsonisme » qu’il désigne en 1929 comme la « fin d’une parade philosophique ». Selon Jean Kanapa, l’immédiat après-guerre est marqué par une sorte d’émulation. Tout le monde se prétend plus marxiste que les communistes et chacun se réclame de l’humanisme. Or, écrit-il, « dans le flirt marxiste, Sartre s’était engagé un peu à la légère ». L’équipe de la revue les Temps modernes rectifie le tir.
   Leur lecture de Marx les a convaincus d’être « marxistes et humanistes, comme tout un chacun exception faite des communistes » : « Le sartrien est-il simplement un petit animal déjà démodé, rageur mais inoffensif, tapageur mais vain, ou mérite-t-il qu’on le rappelle à la décence politique ? » La violence du ton employé par Jean Kanapa peut s’expliquer dans le contexte des débats d’une époque où le recours à l’insulte tient lieu d’argumentation, et surtout par rapport au fait que c’est à la filiation même des communistes français que Sartre s’en prend en leur déniant le titre de « marxistes ». Sept ans plus tard, revenant dans le centième numéro de sa revue les Temps modernes sur ce qu’il appelle « l’opération « Kanapa », il note la coexistence de différents points de vue sur le rapport entre les intellectuels et le communisme : « Raymond Aron dit que les intellectuels sont fascinés par le communisme, Mascolo dit qu’il n’y a pas d’intellectuel communiste possible, mais qu’il n’y a pas non plus d’intellectuel non communiste possible. Ils ne sont d’accord que sur un point : il faut éloigner les intellectuels du communisme (s’il faut les en éloigner, c’est donc qu’ils sont actuellement et effectivement attirés... Dont acte)... 


Bibliographie :
   - Spire (Arnaud), Sartre et le PCF : une pensée réfractaire à tout bilan, dans la revue électronique regards.fr (1er avril 2000).

 

13 euros (code de commande : 00080).

 

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mercredi 20 avril 2022

Ath - Plan d'Ath Avec les Attaques et le Blocus des Allies du deux d'Octobre 1706 (1745)

 

 

LE ROUGE (Georges-Louis).

Plan d'Ath Avec les Attaques et le Blocus des Allies du deux d'Octobre 1706.

Gravure sur cuivre datée de 1745, extraite du Recueil contenant des cartes nouvelles dressees sur des morceaux leves sur les lieux et les memoires les plus nouveaux, dont la publication, à Paris, débuta en 1742.


Dimensions :
   - Dessin : 458 x 307 mm.
   - Cuvette : 479 x 326 mm.
   - Feuille : 517 x 363 mm.

 



Extrait du texte de Jean Dugnoille :
   Dès le 2 février 1701, Maximilien-Emmanuel de Bavière, gouverneur général des Pays-Bas espagnols, fit savoir au gouvernement des Provinces-Unies que, dans le cadre de la succession d'Espagne dévolue à son petit-fils Philippe d'Anjou, Louis XIV avait décidé de faire occuper par les troupes françaises les forteresses de la « barrière » défendues depuis trois ans par l'armée hollandaise. Le maréchal de Boufflers s'y employa dans la nuit du 5 au 6 février. La guerre devait immanquablement reprendre avec les puissances maritimes. Malgré la mort de Guillaume III d'Orange, la Grande Alliance se reforma et en mai 1702, l'Angleterre, les Provinces-Unies et l'Empereur d'Autriche déclarèrent la guerre à la France et à l'Espagne. La guerre de Succession d'Espagne était engagée. Le duc de Marlborough parvint à imposer à ses alliés, qui continuaient à préférer la guerre de siège, une stratégie offensive visant à détruire l'ennemi en rase campagne avant de s'emparer des forteresses. Dans cet engagement poliorcétique, deux adversaires de grand format furent engagés de part et d'autre, Vauban pour Louis XIV, Coehoorn pour les Provinces-Unies. La guerre fut portée dans toute l'Europe. Freiné par les hésitations des généraux hollandais, Marlborough ne put prendre résolument l'offensive dans les Pays-Bas avant 1706. [...]
   Les Alliés investirent Ath le 16 septembre. La tranchée fut ouverte dans la nuit du 20 au 21. Le comte de Saint-Pierre ne fit rien pour s'opposer réellement à l'attaque entreprise sur le front de la porte de Mons. Soucieuse d'éviter toute action hasardeuse et de protéger la forteresse de Lille, l'armée française resta sur la défensive au-delà de l'Escaut entre Condé et Tournai. Vauban, qui se trouvait à Dunkerque, était informé de l'évolution du siège par Mesgrigny, gouverneur de Tournai, Mr. de la Combe et Mr. de Bernières. Il remarquait que la garnison était inférieure à la moitié de ce qui était nécessaire et qu'il y avait très peu d'artillerie dans la place. Pourtant Henri de Nassau, maréchal d'Overkerke, attaquait le point le plus fort de la forteresse, parce qu'il était mieux fortifié par deux cavaliers et que les fossés y étaient plus profonds. Le 27, le chemin couvert avait déjà été attaqué deux fois sans succès et une troisième attaque était imminente. La garnison, trop faible, se rendit le 1er octobre sans que des brèches aient été ouvertes dans le corps de la place. Vauban s'en indigna et releva que l'ennemi ne s'était pas établi dans le chemin couvert, n'était pas descendu dans le fossé, n'avait détruit ni écluse ni demi-lune, n'avait fait qu'écorcher le revêtement sans faire aucune brèche. Les 28 octobre et 11 novembre, il écrivit encore à Mesgrigny que la prise de la ville lui paraissait inacceptable et réclamait de nouvelles précisions.
   L'ingénieur de Rochepine, dans le journal de la défense d'Ath qu'il a rédigé, ne contredit pas la chronologie des faits mais s'employa à mettre en évidence les tirs de l'artillerie et les sorties des grenadiers français qui détruisirent à plusieurs reprises les travaux des sapeurs ennemis pendant toute la durée du siège, remarqua que les Alliés possédaient deux batteries de vingt-et-un et trente-deux canons et trente mortiers répartis aussi en batteries qui firent feu avec une violence extraordinaire, que toutes les communications furent rompues, le grand pont de la porte de Mons détruit, qu'on avait fait faire des radeaux pour communiquer avec les ouvrages détachés, que l'artillerie ennemie écrasa de son feu deux endroits non précisés de la ville, les chemin couverts, les demi-lunes, que « la nuit du 30 au 1er octobre les ennemis, s'étant glissé le long des inondations à droite de la porte de Mons, entrèrent par la face gauche de la contre-garde qui couvre le bastion de Luxembourg, qui étoit entièrement rasé par le canon, ayant surpris les sentinelles, ils poussèrent la même nuit leur travail jusqu'au pied de la dite contre-garde vis à vis de la brèche qui était tout à fait accessible depuis le second jour de la canonnade », qu'à ce moment « la plus part des soldats [étaient] hors d'état de soutenir un assault », que « tous les régimens ont parfaictement bien fait, à l'exemple de leurs chefs qui se sont comportés avec beaucoup de valeur, à l'imitation de Mr de Saint-Pierre qui n'a jamais quitté ny nuit ny jour les chemins couverts, se portant par tout soit pour faire charger l'ennemy, ou encourager les soldats et reconnoitre avec l'ingénieur tous les endroits par où on pourroit chicanner l'ennemy. » Ce plaidoyer pro domo contredit l'opinion exprimée par Vauban, déçu de voir prise l'une des places qu'il avait fortifiée trente-cinq ans plus tôt.
   Lorsque la chamade eut été battue le 1er octobre, les négociateurs, n'ayant pu obtenir les honneurs de la guerre pour la garnison, rentrèrent dans l'enceinte. Après une nuit de bombardement impitoyable, ils furent contraints d'accepter les conditions des assiégeants : prisonniers de guerre, les assiégés furent envoyés à Bergen-op-Zoom et Bréda. Les Hollandais rentrèrent le lendemain dans la ville et y restèrent jusqu'au 19 février 1716.


Bibliographie :
   - Dugnoille (Jean), La destinée des fortifications de Vauban à Ath (1674-1803), dans Les fortifications d'Athh (supplément au catalogue Les enceintes urbaines en Hainaut), pp. 23-25.

 

100 euros (code de commande : 00079).

 

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lundi 18 avril 2022

Philippart (Solange) - Péruwelz au fil du temps...

 

 

PHILIPPART (Solange).

Péruwelz au fil du temps...
Tome I : Jusqu'à « liberté-égalité ».
Tome II : « Liberté-égalité ».
Tome III : 1830-1920.

Péruwelz, Association des Anciens Élèves de l'École Industrielle et commerciale de l'État - Sauvegarde Avenir Environnement Péruwelzis, 1973-1978-1982.

 


Trois volumes in-8° (150 x 220 mm.) brochés, 184, 188 et 174 p., illustrations, couvertures frottées. 


Tables des matières :
   Tome I.
   - Au commencement étaient les pierres.
   - Puis il y eut des Perwéziens.
   - Fondation de l'hôpital.
   - La loi de 1419.
   - L'église Monseigneur St Quentin.
   - Sur le mont de Péruwelz, Notre-Dame de Bonsecours.
   - 1642 : le château.
   - Le bourg de Péruwelz.

 


 

Tome II.
   - Dernier tableau de vieux style.
   - Entre deux feux.
   - En République française.
   - Sous l'étoile de Napoléon.
   - Mais quelle est la patrie ?
   - Pour une Belgique libre.

 



Tome III.
   - L'aube des partis politiques.
   - Le nouveau pouvoir.
   - À l'école !
   - Un autre visage pour la ville.
   - L'âge d'or.
   - Ceux de la petite quinzaine.
   - La Belle Époque.
   - La partition : Bonsecours autonome.
   - 1914-1918 : Péruwelz dans la guerre.

 

Les trois volumes : 25 euros (code de commande : 00071).

 

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dimanche 17 avril 2022

Poederlé - Le journal du voyage en Angleterre du baron de Poederlé (1771)

 


POEDERLÉ (Eugène-Joseph-Charles-Gilain-Hubert d'Olmen baron de).

Le journal du voyage en Angleterre du baron de Poederlé (5 juin - 11 août 1771).
Introduction et édition par René Plisnier.

Mons, Société des Bibliophiles Belges Séant à Mons, 2021.

 


In-8° (172 x 246 mm.) broché sous jaquette d'éditeur, 129 p., XII planches d'illustrations hors texte, (collection « Publications de la Société des Bibliophiles Belges Séant à Mons », n° 52).


Table des matières :
   Au XVIIIe siècle, l'Angleterre est à la mode dans la bonne société. Plusieurs auteurs ont contribué à la réputation de ce pays sur le Continent, comme le Suisse Béat de Muralt ou encore Voltaire et Montesquieu. Si la guerre de Sept Ans (1756-1763) a ralenti le flux des voyageurs outre-Manche, celui-ci reprend une fois la paix signée. Comme l'écrivait Louis Dutens (1730-1812) « on vint les voir [les Anglais] ; on trouva leurs jardins agréables, leur manière de s'habiller commode : on chercha à imiter leurs jardins ; et l'on s'habilla à l'anglaise. » Dans la foulée, on voit apparaître le mot « anglomanie ».
   C'est dans ce contexte que le baron de Poederlé (1742-1813), accompagné du duc Charles-Marie-Raymond d'Arenberg (1721-1778) et de l'abbé John Needham (1715-1781), s'embarque pour l'Angleterre le 5 juin 1771. Son voyage dure un peu plus de deux mois. Il est marqué par des visites de parcs et de jardins (Stowe, Blenheim, Kew, Weybridge, Richmond, Hampton Court,...) – le goût du jardin dit anglais se répandant dans nos régions à partir des années 1770 – mais aussi par des rencontres comme, par exemple, celles avec Ramsden, le fabricant d'instruments, et les naturalistes Joseph Banks et Daniel Solander, récemment revenus de leur voyage autour du monde sous la direction de James Cook. Poederlé visite aussi à plusieurs reprises la « nursery » de James Gordon, selon lui « le premier de Londres pour vendre toutes sortes de plantes, arbres, graines. ». De son périple outre-Manche, Poederlé ramène des informations qu'il incorporera dans son Manuel de l'arboriste dont la première édition date de 1772.

 


 

Table des matières :
   - Introduction.
      - L'Angleterre au XVIIIe siècle et son rayonnement.
         - L'Angleterre.
         - Londres.
         - Le rayonnement.
      - Les voyageurs.
      - Connaissance de l'Angleterre.
      - Maîtrise de la langue anglaise.
      - Le voyage.
      - Les rencontres.
      - Les jardins.
      - Vision de l'Angleterre.
      - Le journal de voyage.
      - Le manuscrit.
      - Édition du texte.
   - Le journal du voyage.
   - Cahier d'illustrations.
   - Notes particulières.
   - Index.

20 euros (code de commande : 00075).

 

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samedi 16 avril 2022

Haggadah de Pessah - Die Darmstädter Pessach-Haggadah

 

 

Die Darmstädter Pessach-Haggadah.
Codex orientalis 8 der Landesbibliothek zu Darmstadt aus dem vierzehnten jahrhundert herausgegeben und erläutert von Bruno Italiener unter mitwirkung von Aron Freimann, August L. Mayer und Adolf Schmidt mit einer gesamtbibliographie der illustrierten Haggadah. Textband mit 20 bishr noch unveröffenlichten abbildungen auf 16 lichtdrucktafeln.

Leipzig, Hiersemann, 1927.

 


 

Grand in-8° demi-chagrin brun à coins d'éditeur, dos lisse orné de fers dorés, XI, 313 p., frontispice et 16 planches hors texte, mors et coins frottés.




À ce volume d'introduction, on joint le fac-similé :
In-folio plein veau à fermoirs, dos à 6 nerfs, plats ornés d'un grand décor à froid avec un cabochon cuivré aux centres et quatre écoinçons aux angles, [116] p., les miniatures en couleurs sont rehaussées à la feuille d'or, exemplaire en parfait état.

 


 

   Le manuscrit original fut réalisé à la fin du XIVe siècle ou au début du XVe siècle, par le scribe Israel Ben Meir qui, selon August Mayer, produisit « la plus distinguée des premières Haggadahs du Nord. »

 



   La Darmstädter Landesbibliothek doit la possession de ce précieux manuscrit à un grand collectionneur, le baron Adolf von Hüpsch (Vielsalm, 1730 - Cologne, 1805), qui avait légué par testament sa bibliothèque et ses collections au Landgraf Ludwig X. À la mort de ce dernier, les collections constituèrent la base du Musée d'État de Hesse (Darmstadt) et du département des manuscrits de la Landes- und Hochschulbibliothek Darmstadt.

 


 

   Dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, les collections du baron von Hüpsch étaient l'une des principales attractions de la ville de Cologne. Il semble que la Haggadah ait été en sa possession depuis 1788 ; on en trouve la mention dans une description de son Cabinet publiée dans le numéro de novembre de l'année 1788 de la revue parisienne L'Esprit des Journaux français et étrangers. Par une Société de Gens-de-Lettres (p. 280) :
   « Un manuscrit hébreux se distingue sur-tout par la beauté du caractère, les peintures antiques & autres ornemens dont il est decoré. Il merite d'autant plus d'attention que, comme l'on sait, la plus grande partie des manuscrits hébreux n'offrent point de portraits des pères de l'Ancien Testament. Ce manuscrit contient les prières des Juifs au tems de Pâques, & il a été écrit dans le treizième siecle. »


 Suivez ce lien pour découvrir toutes les pages enluminées


Les deux volumes : 550 euros (code de commande : 26604).

 

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