Robert Combas.
Avant-propos
de Jean-Pierre Frimbois.
Knokke-Heist, Guy Pieters Gallery, [2003].
In-4° (290 x 2933 mm.) sous reliure et jaquette d'éditeur, [70] p., nombreuses illustrations en couleurs, exemplaire en parfait état, peu courant.
Ouvrage publié à l'occasion
de l'exposition « Robert Combas, œuvres récentes
2002-2003 » organisée à la galerie Guy
Pieters, à Knokke, en 2003.
Extrait de l'avant-propos :
Robert Combas. Le plus doué des
peintres français de sa génération. Le chef
de file de cette figuration libre, surgie dans les années
80. Une bande des quatre initiales qui avait pour mousquetaires
Robert Combas, Hervé Di Rosa, François Boisrond,
Rémy Blanchard. Elle se mesura en son temps avec une autre
bande des quatre, américaine cette fois, composée
de Keith Haring, Johnny Mattos dit Crash, Jean-Michel Basquiat
et Kenny Sharf. C'était au Musée d'art moderne
de la Ville de Paris, fin 1984. Vingt ans après, Rémy
Blanchard, Jean-Michel Basquiat et Keith Haring ont disparu.
Hervé Di Rosa tourne inlassablement autour du monde. François
Boisrond, Kenny Sharf et Crash continuent leur chemin, plus discrètement.
Robert Combas, lui, demeure avec sa flamboyante peinture-jungle,
à la fois rock et roc. Sous les pieds de Combas, il y
a des racines. Chaleureusement familiales, sétoises. Assurément
nationales, bien françaises. Totalement personnelles,
mais universelles. Robert Combas voyage peu. C'est à l'intérieur
de lui-même qu'il puise son inspiration. L'amour. Les combats.
Les souvenirs d'enfance. La musique. L'histoire. L'actualité.
C'est toujours du Combas raconté (ou revisité)
par Combas. Un homme qui sait porter le regard, voir les choses
différemment, réagir au quart de tour, relever
les défis, vivre physiquement sa création, aimer
être surpris, demeurer passionné. Pour ce marathon
difficile qu'est toujours la carrière des grands artistes,
Robert Combas a du souffle. Il a même cette chance d'arriver
à maturité en ayant conservé intacte sa
folle énergie créatrice. On sait déjà
l'influence déterminante qu'aura eue sur ses options artistiques
le fait d'emménager dans son vaste studio d'Ivry-sur-Seine.
Cette exposition de Knokke-Zoute le prouve. Dans ce qu'on pourrait
appeler cette suite d'Ivry, décidée après
la première visite de Guy Pieters à l'atelier,
il y a de l'unité, de la sérénité
et de l'alacrité. Elle est composée d'une vingtaine
de grands formats récents, tableaux tous conçus
à l'intérieur d'une période de neuf mois.
20 euros (code de commande : 00094).
Si vous souhaitez obtenir d'autres informations n'hésitez à pas à me questionner (b.waterlot@hotmail.com).
Ce livre peut être retiré à l'adresse figurant dans l'en-tête du blog.
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