MISE À JOUR DU 6 JUIN 2023
par courriel (b.waterlot@hotmail.com) ou par téléphone (+32 (0) 472 51 52 63)
pour obtenir d'autres informations à propos de ces livres.
VAN DEN ABEELE (Éric) — Mons passionnément ! La
cité du Doudou dans l'imagerie populaire.
Marcinelle, Éditions Walden & Whitman, 2023.
In-8° (164 x 234 mm.) collé, 229 p., très abondante iconographie en noir et en
couleurs.
Une
nouveauté, publiée en avril 2023.
En quatrième de
couverture :
Du haut de ces mille
cinq cents ans d'existence, Mons a traversé la grande Histoire avec courage et
dignité, mais aussi avec élégance et passion. Pour la première fois, un livre
illustré part à la découverte de cette cité hainuyère, qui a été au cœur de tant
de combats pour la liberté. Le parcours iconographique nous plonge aux origines
de la cité du Doudou en prenant comme fil conducteur l'affiche lithographiée, la
carte postale ou le document rare. Dans ces pages, les hauts faits de la ville
et de ses habitants côtoient les brindilles et les « festus » de la vie
quotidienne.
Au cours de ce périple, il est notamment question du
bouillonnement culturel des salles de spectacle, du bruissement des sociétés
artistiques, initiatiques et littéraires mais aussi du dynamisme, chaleureux et
convivial, des bonnes maisons montoises.
Dans ce voyage, le lecteur est
immergé dans les traditions, le folklore et la liesse populaire, qui revêtent
une si grande importance pour les Montois : Doudou, ducasses, carnavals,
cavalcades, fêtes de la bière, etc.
Notre parcours iconographique se
termine par une mise en abyme de la presse et de l'édition locales, qui nous
révèlent un pan de l'âme des Montois en confirmant la devise : « Les Montois ne
périront pas ! ».
24 euros (code de commande : 00380).
[BELGIQUE - TOPONYMIE & DIALECTOLOGIE]. Bulletin de la Commission royale de Toponymie & Dialectologie. Handelingen van de Koninklijke Commissie voor Toponymie & Dialectologie. LXX - 1998. [Bruxelles], [Commission Royale de Toponymie et de Dialectologie], 1998. In-8° (140 x 214 mm.) collé, 408 p., deux cartes hors texte à déplier.
Sommaire
:
- Verslag 1997 - Rapport
1997.
- In memoriam Louis Remacle (1910-1997), par J.
Lechanteur.
- In memoriam dr. Maurits Gysseling (1919-1997),
par L. Van Durme.
- Dries, vooral in Centraal- en
Zuid-Post-Vlaanderen, par L. Van Durme.
- Bijdrage tot de
toponymie van Bekkevoort, par F. Claes.
12 euros (code de commande : 00400).
BÉRAUD (Henri) — Le 14 Juillet. Paris, Hachette, 1929. In-8° (122 x 188 mm.) broché, XVI, 224 p., (collection « Le Passé Vivant », n° 1), exemplaire bien complet du fascicule d'annonce déplier de l'éditeur contenant la liste des ouvrages consultés par l'auteur, envoi manuscrit d'Henri Béraud sur sa carte collée à la page de faux-titre, couverture un peu défraîchie.
Envoi de l'auteur à Paul Beaupain, directeur du journal L'Étoile belge.
Extrait :
Bientôt, je fus
devant l'Auxerrois. puis dans la Cité, et dans l'Ile. Finalement, je m'égarai
parmi les ruelles de ces quartiers antiques.
Dans un isolement voluptueux,
j'allais d'un carrefour en liesse à une place remplie de buveurs. C'est ainsi
que, conduit par le hasard, je parvins à cette ruelle tortueuse et
gluante.
Là, je m'arrêtai.
C'était une de ces rues qui communiquent
entre elles par des cours encombrées de caisses et de tonneaux, une sorte de
cul-de-sac flanqué de bornes, des rez-de-chaussée voûtés, sans boutiques, des
portes massives et ferrées, une haute grille fermée sur des ténèbres. Le
ruisseau tient le milieu du pavé. Sous un réverbère, au pied d'un mur
d'affiches, deux voitures à bras dorment, abandonnées. Les hautes façades au
plâtre crasseux semblent monter jusqu'au ciel. D'un toit à l'autre, il serait
possible d'enjamber ; les vis-à-vis pourraient se donner la main par les
croisées. Mais toutes sont noires et closes, sauf une, où vacille une pauvre
lumière derrière les carreaux poudreux.
C'est, dans la grande ville, une
rue sans passants, sordide et mystérieuse, une rue oubliée par les âges, un
affreux décor de misère et de colère, où tout évoque les jours mauvais. Dans un
angle, il y a un chantier, marqué de trois fanaux. Sous les feux rouges, cet
épais décombre a l'air d'une barricade. Tout aide à la ressemblance, et surtout
ces miasmes de caves, communs aux fêtes populaires et aux émeutes. Tout, ici,
sent la Révolution.
Ne voyez-vous pas, au milieu de leurs cordes, se
balancer les lanternes ? Au fond de ce repaire s'élève une rumeur : les pauvres
ont quitté leurs taudis. Leur troupe armée de bâtons se heurte aux soldats qui
bordent la chaîne. Poussant l'émeute devant eux, tenant leurs fusils bout à
bout, ils avancent d'un pas régulier. Quand tout cela passe sous une lanterne,
on aperçoit un rang de figures pâles, des femmes en bonnets, des artisans aux
bras retroussés, puis, à contre-jour, les troupiers, de dos, leurs gibernes, le
retroussé rouge de leur habit, leurs chapeaux à galons sur des cheveux poudrés
– et tout retombe dans le noir jusqu'à la lanterne suivante...
Si,
pourtant, cette fenêtre venait à s'ouvrir et si quelque pâle agitateur au jabot
dénoué se penchait dans l'ombre en criant : « Gardes-françaises, ne tirez pas
sur le peuple ! »
Que dirait-on ? Que je rêve.
Est-ce qu'on
rêve ?
Il n'est que des réveils.
Cette nuit-là, j'étais un passant
du passé. Tout ce qui m'entourait me paraissait plus irréel que les créations de
mon esprit. La rue, les gens, la liesse nationale n'étaient plus qu'une vaine
apparence, un trouble décor que l'œil peut traverser, un avant-plan vaporeux, le
transparent arti­fice du cinéma.
Et, derrière, il y avait 1789.
C'étaient, vivantes, tenaces, multipliées, et répondant à l'appel de mes plus
secrètes rêve­ries, les premières scènes de la Révolution. Le livre que
voici est né de ces rêveries.
Cet ouvrage, l'auteur a longtemps différé de
l'entreprendre. Faire de la foule en marche le personnage innombrable et
cependant unique de sa vision, emprunter tantôt à la fresque, tantôt à la
symphonie leurs amples ressources, montrer les hommes obscurs en proie à la
haine, à l'horreur, à la peur, à la cruauté, à l'enthousiasme, à la folie, au
rêve, telle était son ambition. Il pensait et il croit encore que la peinture
des grandes convulsions humaines marque le faîte d'une vie d'écrivain. Il
hésitait. La conscience qu'il a de ses limites le préservait de la tentation.
Vous avez voulu, cher Pierre [Brisson], qu'il y succombât. Voici le livre. Quel
que soit son sort, il est juste que vous en preniez votre part. C'est avec une
affection fraternelle et une estime profonde qu'elle vous est offerte
ici.
Vendu.
BIARD D'AUNET (Georges) — Après la guerre. La politique et les affaires. Paris, Payot, 1918. In-8°(121 x 187 mm.) broché, 250 p., exemplaire sur papier vergé en bon état.
Table des matières :
I. Les données du problème.
II. Les conditions nouvelles du commerce international.
- L'Évolution du commerce international indépendamment de la guerre.
- Conditions nouvelles résultant de la guerre.
III. Les conférences économiques des alliés.
IV. De l'organisation du travail national.
V. De la représentation des intérêts nationaux dans les chambres législatives.
10 euros (code de commande : 00397).
[BOUCHER (Hélène)]. TESSIER (Rolland) — Hélène Boucher. Illustrations de Paul Lengellé. Paris, Flammarion, 1947. In-8° (184 x 251 mm.) broché sous jaquette d'éditeur, 59 p., 28 illustrations (15 illustrations en couleurs (dont 8 à pleine page) et 13 en noir), (collection « Les Héros de l'Air en Images », n° 1), on joint une image chromo, bon exemplaire malgré quelques rousseurs.
Extrait :
– Maman, je veux
être aviatrice !
Ce furent là les premières paroles d'Hélène Boucher en
rentrant chez elle, le soir, après son baptême de l'air. Mais sa mère ne
l'entendait pas ainsi :
– Tu n'y penses pas ! C'est d'abord dangereux et,
ensuite, il faut de l’argent. En as-tu ? Non ! Alors, n’en parlons
plus !
– Non, Maman, ça n’est pas dangereux. Les accidents n’arrivent
qu’aux imprudents. Vois tous les grands champions qui depuis des années et des
années accomplissent des choses étonnantes ! Ils sont toujours vivants, n’est-ce
pas ? Et puis, Maman, dans ce métier, tu es forcée d’arriver si tu as de la
valeur ! C’est ta valeur qui t’assure le succès et non pas des
compromissions...
– Mais où cela te mènera-t-il, l’aviation ?
– Où
cela me mènera, Maman ? Mais voyons ! Il y a dans le monde de nombreuses
aviatrices étrangères qui remportent beaucoup de succès. En France, au
contraire, depuis que Léna Bernstein est disparue et qu’Adrienne Bolland s’est
retirée, il ne reste plus guère que Maryse Bastié et Maryse Hilsz. Tu vois bien,
Maman, que j’ai là une chance de plus de me faire une situation !
Et
Hélène gagna la partie... À force de volonté, de détermination, détruisant par
ses arguments les obstacles qu’on lui opposait, elle arriva à faire naître chez
ses parents, – sinon l’approbation complète, – du moins un consentement de
principe qui la remplit de joie et d’espoir...
15 euros (code de commande : 00407).
CARLIER (Marcel) et MAHIEU (Raymond G.W.) — Histoire des congrégations religieuses de Boussu. Des Consolatrices du Cœur de Jésus et des Servantes du Sacré-Cœur (orphelinat), des Aumôniers du Travail, des Marianistes, de la Sainte Union. Pour faire suite à l'Histoire du Carmel et du Calvaire de Boussu publiée en 1976. Hornu, Raoul Ledent (imprimeur), 1981. In-8° (136 x 213 mm.) agrafé, 43 p., illustrations.
Table des matières
:
- Avertissement.
- Maison
familiale du Sacré-Cœur.
- Épreuves.
- Les Aumôniers du
Travail.
- Quelques mots d'histoire.
- Les Aumôniers du
Travail à Boussu.
- Les Marianistes - Les Frères de Marie.
- Les
Sociétés de Marie.
1. Les Marianistes.
2. Les
Maristes.
a. Les Frères Maristes.
b. Les Pères
Maristes.
- La Sainte Union.
- Les Supérieures du Couvent depuis
sa fondation.
- Les Directrices de l'école depuis sa
fondation.
- L'école de la rue Neuve.
- L'école de la rue
Royale (aujourd'hui, rue des Arbalestriers).
- La Congrégation
(Historique).
- Bibliographie.
6 euros (code de commande : 00417).
CARLIER (Marcel) et MAHIEU (Raymond G.W.) — Histoires du Carmel et du Calvaire de Boussu. Préface de A. Scruel. Hornu, Raoul Ledent (imprimeur), 1976. In-8° (135 x 213 mm.) agrafé, 31 p., illustrations.
Table des matières :
- Préface.
- Histoire du Carmel de Boussu. Paratonnerre du
Borinage.
- L'idée d'un Carmel du
Borinage.
- Bâtiments.
- La journée d'une carmélite en
1975.
- Une messe solennelle au Carmel.
- Un jubilé au
Carmel.
- Un appel du Seigneur.
- Voyage de Phnôm-Penh à
Boussu.
- Histoire du Calvaire de Boussu.
- Le Calvaire de
Boussu.
- Le bas-relief de
droite.
- Inscriptions.
- Le bas-relief de
gauche.
- Bibliographie.
Vendu.
[CHAVAZ (Albert)].
Albert Chavaz, la couleur au cœur. Martigny,
Fondation Gianadda, 2007. In-8° carré (221 x 239mm.) broché, 320 p., nombreuses
reproductions en noir et en couleurs, exemplaire en très bon
état.
Ouvrage publié à l'occasion de
l'exposition éponyme organisée à la Fondation Pierre Gianadda, à Martigny, du 6
décembre 2007 au 9 mars 2008.
Sommaire
:
- Chavaz, la couleur au
cœur, par Jacques Dominique
Rouiller.
- Repères biographiques.
- « C'était gai. Chez lui
j'ai découvert Brassens », par Diane Bennent.
- « II n'était
absolument pas gêné par l'objectif », par Oswald
Ruppen.
- « Le croquis, c'était sa respiration », par
Isabelle Tabin-Darbellay.
- « II y a une partie du Valais qui
s'appelle Chavaz », par Pietro Sarto.
- « ... aller vers le
caractère le plus intime, le plus profond, le plus secret », par
Jean-François Reymond.
- « Je fixais sa main, son trait. Je me
perdais dans ce trait », par Françoise Carruzzo.
- Albert
Chavaz, sa vie son œuvre, par Paul. R. Riniker.
- Œuvres
exposées (Huiles - Gouaches et aquarelles - Gravures - Du côté des dessins -
Dans la collection du peintre...).
20 euros (code de commande : 00403).
DALEM (Robert) — Esneux au XXe siècle. Bomal-sur-Ourthe, Petitpas, 1976. In-8° (145 x 213 mm.) broché, 336 p., une carte à déplier, exemplaire en parfait état.
Table des matières
:
lre
partie.
- Avant-propos.
- La commune.
- Sentiers,
chemins et routes.
- Anciens chemins et sentiers.
- Des noms
de rues.
- L'eau potable.
- Liste des sources, fontaines,
etc.
- L'instruction publique.
- Le canal.
- Le
chemin de fer.
- Les anciens ponts.
- 1900-
1914.
- Généralités.
- Vie et
coutumes.
- L'église d'Esneux.
- Autres églises et
chapelles.
- Un journal local.
- La
villégiature.
- La première fête des Arbres.
- L'hôpital
intercommunal le monument Montéfiore.
- Le mémorial
Lemonnier.
- Les réjouissances estivales.
- L'achat de
Beaumont.
- L'acquisition du parc du Mary.
- 1914 -
1918.
- La grande guerre.
- 1918 -
1940.
- Généralités.
- Un orage
extraordinaire.
- La crise des logements.
- La
voirie.
- Le corso fleuri.
- La défense des
sites.
- La plus forte inondation du siècle.
- Un projet
de barrage.
- Une découverte à Beaumont.
- Le tourisme
et les arbres.
- La guerre froide.
- 1940 -
1945.
- La guerre mondiale.
- Urbanisme et
reconstruction.
- 1945 -
1964.
- Généralités.
- L'administration de la
Commune.
- Le tourisme.
- Fêtes et réjouissances
populaires.
- Les malheurs du parc du Mary.
- Un hiver
terrible.
- Le nouveau pont et les aménagements de la rive
droite.
2e partie. 1965 - 1976.
- Deuxième
avant-propos.
- On change de crémerie.
- Achats de terrains et
nouvel hôtel de ville.
- Un marché public.
- Une nouvelle
usine.
- Le nouveau rite liturgique.
- Électricité, éclairage
public et télédistribution.
- Nécropole franque.
- Le monument
aux carabiniers cyclistes.
- Une maison des
jeunes.
- Hoûte-si-Plout, cité universitaire.
- Le comblement
du canal vers La Gombe.
- Un nouveau bureau des
postes.
- Jumelage de communes... et de la F.N.C.
- Découverte
d'un trésor.
- Un pavillon du Tourisme.
- Un monument au Roi
Albert.
- Une émission postale à caractère
touristique.
- Station verte de vacances.
- Esneux érigé en
doyenné.
- Esneux et les arbres.
- Notre sceau
communal.
- Deux centenaires en moins d'un siècle.
- Les
élections de 1970.
- Le nouvel hôpital.
- Le kiosque à musique
transformé en local pour pensionnés.
- La Reine Fabiola nous fait
visite.
- Les immondices.
- Le château de
Lavaux.
- Le château « Le Fy ».
- Le château
d'Avionpuits.
- Le Rond-Chêne.
- La Fondation
Montéfiore.
- Camping à gogo.
- Randonnées sportives et
promenades instructives.
- Les autoroutes.
- La route
buissonnière.
- La sécheresse du siècle ?
- L'instruction
publique.
- Dragage de l'Ourthe et muraillage des
berges.
- Les fouilles de Beaumont.
- Que d'eau, que d'eau
!
- On change les plaques des rues.
- Nouvelles
acquisitions.
- La culture, le sport et les activités
diverses.
- Informations générales en bref.
- Les élections
communales de 1976 illustrées.
- Bienvenue à Tilff. Adieu à l'ancien
Esneux.
- Au fond...
- Conclusion.
- En annexe :
- Liste des
quartiers et dépendances d'Esneux.
- Liste des rues.
- Liste
des sites et monuments classés.
12 euros (code de commande : 00041).
DOPPAGNE (Albert) — Les grands feux. Gembloux, Duculot, 1972. In-8° (145 x 215 mm.) broché, 72 p., illustrations hors texte, (collection « Wallonie, Art et Histoire », n° 11), couverture un peu défraîchie.
En quatrième de couverture :
Introduction.
Première partie. Les feux de
Carême.
I. La « hirâde » ou « churôde ».
II. Le Grand
Feu.
- Les noms et les dates du Grand Feu.
- Les
quêtes.
- Le transport du bois.
- Le
bûcher.
- Le cérémonial.
- Le saut.
- La
perche.
- La « soudée » ou « saudée ».
- Mets
traditionnels.
- Les cendres.
- Fin de
soirée.
III. Le « feûreû ».
IV. La « bûle ».
V. Les
« boûres ».
VI. les formes modernes.
VII. Usages et
croyances.
Deuxième partie. Les autres feux.
Troisième partie. La
signification des feux.
Bibliographie sommaire.
Vendu.
DUBOIS (Charles) — Vieux-Virton romain. Le vicus romain de Vertunum. Introduction et addenda par E. P. Fouss. Gembloux, Duculot, 1970. In-8° (145 x 215 mm.) broché, 79 p., illustrations hors texte, (collection « Wallonie, Art et Histoire », n° 3).
Table des matières :
Charles Dubois.
1. Avant-propos.
2. Aperçu historique.
3. Monuments lapidaires.
4. Objets en argent et en or.
5. Objets en bronze.
6. Objets en fer.
7. Objets en verre, en pâte de verre, en pierre précieuse.
8. Objets en ivoire et en os.
9. Céramique.
10. Marques de potiers romains.
11. Monnaies - Collections.
12. Cimetières.
13. Histoire sommaire du vicus.
10 euros (code de commande : 00419).
[ÉLISABETH DE BELGIQUE]. Hommage à sa Majesté La reine Élisabeth. La guerre 1914-1918. La Panne, Résidence royale. L'Océan, l'hôpital de la Reine. Avant-propos par Jean Bailleul. La Panne, Éditions S.I.T, 1964. In-4° (243 x 316 mm.) broché, 99 p., nombreuses reproductions photographiques, édition originale numérotée (n° 1318), texte bilingue (français - néerlandais), une petite tache sur la couverture, sinon très bon exemplaire, peu courant.
Table des matières
:
- Avant-propos.
1ere
partie.
- La Princesse Élisabeth.
- La guerre
1914-1918.
2me partie.
- 1914 - L'invasion.
- Le
gouvernement belge se réfugie en France.
- La Panne
1914-1918.
- La Panne, résidence royale.
- L'Océan,
« l'Ambulance de la Reine ».
- 1918 - La victoire.
3me
partie.
- « L'Hôpital l'Océan », journal d'une infirmière, par Jane de
Launay.
- Bibliographie.
20 euros (code de commande : 00408).
[GARNERIN (André-Jacques)]. PONIATOWSKI (Michel) — Garnerin le premier parachutiste de l'histoire. Paris, Albin Michel, 1983. In-8° (155 x 239 mm.) broché, 272 p., illustrations, exemplaire en parfait état.
En quatrième de couverture
:
Dès mon premier saut en
parachute, je me demandais qui avait pu inventer cette chose étonnante et
pourquoi.
C'est bien longtemps après, en écrivant Talleyrand et le
Directoire, que j'ai trouvé les réponses à ces questions, à travers les
journaux et les mémoires de l'époque. De recherche en recherche, j'ai découvert
la personnalité d'André-Jacques Garnerin et pu étudier sa vie et ses
expériences, j'ai compris à quel point Wilbur Wright avait raison de dire que
Garnerin, premier parachutiste de l'histoire, avait témoigné d'un courage
exceptionnel. « Oui, avait-il coutume de remarquer, c'est l'un des plus beaux
actes de l'histoire aérienne. »
Et ce fut en effet un exploit
extraordinaire et d'une grande témérité, dont le succès était plus
qu'incertain ; André Jacques Garnerin, en cette fin d'octobre 1797, en
abandonnant son ballon et en basculant dans le vide, prenait un risque
énorme.
Même aujourd'hui, où le saut en parachute ne comporte plus cette
incertitude, et presque plus de risque, il faut encore recourir au courage et à
la volonté pour se lancer dans le vide. Tous les parachutistes en ont fait
l'expérience. C'est à eux que ce livre est dédié.
7 euros (code de commande : 00396).
GENETTE (Gérard) — Palimpsestes. La littérature au second degré. Paris, Seuil, 1982. In-8° (140 x 205 mm.) broché, 467 p., (« Collection Poétique »), couverture jaunie.
En quatrième de couverture :
Un palimpseste est, littéralement, un parchemin dont on a gratté la première inscription pour lui en substituer une autre, mais où cette opération n'a pas irrémédiablement effacé le texte primitif, en sorte qu'on peut y lire l'ancien sous le nouveau, comme par transparence. Cet état de choses montre, au figuré, qu'un texte peut toujours en cacher un autre, mais qu'il le dissimule rarement tout à fait, et qu'il se prête le plus souvent à une double lecture où se superposent, au moins, un hypertexte et son hypotexte – ainsi, dit-on, d'Ulysse de Joyce et l'Odyssée d'Homère. J'entends ici par hypertextes toutes les œuvres dérivées d'une œuvre antérieure, par transformation, comme dans la parodie, ou par imitation, comme dans le pastiche. Mais pastiche et parodie ne sont que les manifestations à la fois les plus visibles et les plus mineures de cette hypertextualité, ou littérature au second degré, qui s'écrit en lisant, et dont la place et l'action dans le champ littéraire – et un peu au-delà – sont généralement, et fâcheusement, méconnues. J'entreprends ici d'explorer ce territoire.
8 euros (code de commande : 00412).
GILLIS (Marcel) — Chansons et
poèmes. Illustrés par l'auteur. 1er Album -
2eme édition. Mons, Vital Mostinckx, 1958 [achevé d'imprimer 25 novembre 1958].
In-4° (236 x 310 mm.) broché, 72 p., nombreuses illustrations, petit cachet
ex-libris à la page de faux-titre, exemplaire non coupé et en très bon
état.
La première édition de cet album a été
publiée à Mons, chez Leborgne-Delys en 1931.
Table des matières :
- El
bâton blanc.
- La musique adoucit les mœurs.
- On les a
eus !
- Sérénade conjugale.
- Un jour je fis une
chanson.
- Vive le Roi d'Espagne.
- T.S.F.
- Promenade de la
place à l'estation.
- Nuit de Chine.
- Heures d'hiver.
- Crise
ministérielle.
- Les morts vont vite.
- Poésie.
- Poème à
Ludyvine.
- Tes bras.
- Retraite aux flambeaux.
- Tableau d'
procession.
- Concert de carillon.
Vendu.
LACHOUQUE (Henry) — Vagabonds de la gloire. Première série. Illustrations de Guy Arnoux. Paris, Éditions du Panache, 1946. In-8° (120 x 187 mm.) broché, VIII, 262 p., illustrations hors texte, exemplaire non coupé.
Avant-propos :
Voici six soldats qui, au cours de leur existence, n'ont point songé
à l'immortalité.
Ce ne sont pas des modèles de vertu, mais, selon le mot
du maréchal de Villars, « il faut des hommes dans les guerres importantes » et
puis, la vertu n'a jamais été le péché mignon des Français.
Emportés dans
la grande tourmente de leur caractère, de leurs passions et des événements, mais
guidés par l'amour de la Patrie et l'idée de servir la France, ils ont accompli
leur destin dans l'ombre, peu connus des hommes de leur génération, ignorés de
la postérité.
Il est nécessaire de mettre en lumière ces nouveaux venus au
Panthéon de la gloire, parce qu'il est juste d'honorer la mémoire des hommes de
cœur, mais aussi parce que la vie de chacun d'eux, souvent dramatique et
toujours pittoresque est une épopée, un exemple, un réconfort et un
espoir.
La France, vaincue sur les champs de bataille et foulée aux pieds
par le vainqueur, a recouvré son indépendance grâce à ses Alliés et à tous les
Français.
Ceux d'entre eux qui ont pu se battre au grand soleil ont connu
les glorieuses chevauchées ; les autres ont lutté dans l'ombre ; beaucoup y sont
morts et les rescapés, revenus par miracle à l'aveuglante clarté de la victoire,
reprennent en chancelant contact avec la vie et ses réalités.
Les enfants
sont rentrés au bercail, mais la famille n'a pas encore retrouvé son équilibre,
ni son unité.
La route qui conduit aux sommets paraîtra d'autant plus
courte et d'autant moins rude que tous y marcheront bon pas, bras dessus, bras
dessous, d'un même élan et d'un même cœur, les vaillants épaulant les faibles,
les jeunes entraînant les vieux.
Nos glorieux ancêtres, quels qu'aient été
leurs drapeaux, sont à l'avant-garde.
Suivons-les.
Table des
matières :
- Le Bigorne, Caporal et
Roi.
- Madec.
- Leclerc, dit Milfort.
- Monsieur Boutin,
Colonel du Génie.
- Jean-Baptiste Sourd.
- Le Colonel Du
Pin.
8 euros (code de commande : 00411).
[LEROUX (Georges)]. TOULET (Jean) — Georges Leroux. Paris, Filipacchi - Bibliothèque Nationale, 1990. In-4° (247 x 308 mm.) sous reliure et jaquette d'éditeur, 125 p., nombreuses illustrations en noir et en couleurs, exemplaire en très bel état.
Extrait
:
L'œuvre de Georges Leroux se
situe fondamentalement dans le système codé de la collection de livres et au
sein des données et des détournements que, non moins fondamentalement, ce
système engendre.
Certes, il s'agit de reliures... De cette couvrure dont
le livre, sous la forme que nous lui connaissons depuis presque deux
millénaires, fut doté pour assurer l'assemblage des feuillets et leur protection
durable. Mais, nous sommes loin des travaux strictement artisanaux qui rendaient
les ouvrages aptes à l'usage, donnaient à chaque livre son apparence,
conféraient unité aux rayons des bibliothèques.
Certes, il s'agit de
reliures à décor... De cette frange supérieure de la production qui existe
depuis les reliures dites « carolingiennes » jusqu'à nos jours. Longtemps les
relieurs furent exclusivement soumis à la tutelle de modèles anonymes dont ils
n'étaient point les inventeurs. Il y a un siècle seulement que les reliures, par
une fracture décisive et par la grâce d'individualités fortes, sont devenues le
substrat de créations spécifiques par lesquelles une technique vénérable,
étonnamment constante en son principe, est dépassée par des projets artistiques
individualisés. Georges Leroux s'inscrit dans la continuité de cette mutation
qui a institué le relieur comme créateur de plein droit.
15 euros (code de commande : 00404).
LIEBEL (Frieda) — Les orgies d'un amant vicieux. Paris, Les Éditions du Vert-Logis, [1935]. In-8° (121 x 188 mm.) broché, 254 p., bien complet des huit illustrations photographiques hors texte, bon exemplaire avec sa bande d'annonce, peu courant.
Les éditions du Vert-Logis étaient spécialisées dans la
publication de littérature libertine et, parmi ses auteurs, Frieda Liebel vit
plusieurs de ses ouvrages condamnés par la tribunal correctionnel (La Vierge
affranchie, Confessions de Frieda - La lubricité féminine et l'enfer de
la volupté).
Bibliographie :
- Pia (Pascal), Les livres
de l'enfer du XVIe siècle à nos jours, pp. 147 et 791.
Vendu.
[LITTÉRATURE FRANCOPHONE DE BELGIQUE]. Les
lettres belges d'expression française 1830-1930. Exposition organisée avec l'appui de l'Académie royale de Langue
et de Littérature françaises. Bruxelles,
Ministère des Sciences et des Arts, 1930. In-8° (157 x 232 mm.) broché, 148 p.,
X planches hors texte en noir, exemplaire en bon état.
Cette exposition fut présentée à la Bibliothèque royale de
Belgique, à Bruxelles, du 8 novembre au 31 décembre 1930.
Table des matières :
- Préface.
- Les revues.
- Les livres.
- Le dernier
cabinet de travail d'Émile Verhaeren.
- Fac-similé d'une lettre adressée
par Émile Verhaeren à Albert Giraud 15 mai 1910.
- Liste des personnes
ayant prêté leur concours à la Bibliothèque royale.
- Index.
- Table
des planches.
10 euros (code de commande : 00406).
[LOUIS XVII (Louis Charles de France)]. LENOTRE (G., pseudonyme de Louis Léon Théodore Gosselin) — Le Roi Louis XVII et l'énigme du Temple. Paris, Librairie Académique Perrin, 1950. Mention de quarante et unième édition sur la couverture. In-8° (134 x 202 mm.) broché, 451 p., illustrations hors texte, exemplaire en bon état.
Introduction
:
Ce récit de la captivité du petit
Roi du Temple se distingue de nombreux ouvrages traitant du même sujet en ce
qu’il n'emprunte rien qu'aux documents officiels et aux témoignages autorisés,
négligeant à dessein les émouvantes et suspectes légendes sous lesquelles
disparaît trop souvent la trame de cette douloureuse histoire. Ce n’est pas dire
qu'on ne se permet aucune déduction : les lacunes sont nombreuses en cette
confuse chronique et, pour en exposer sans trop d'interruptions les péripéties,
il faut bien parfois avoir recours au subterfuge du raisonnement ; encore n'en
a-t'on usé qu'avec réserve et par nécessité, préférant, à défaut de certitude,
l'aveu de l'indécision à l'affirmation téméraire. Du rapprochement de ces
présomptions et de ces faits indiscutablement authentiques, résulte une solution
nouvelle de ce que Louis Blanc appelle le Mystère du Temple ; solution
partielle, mais inattendue, qui étonnera peut-être les lecteurs, qui en choquera
quelques-uns, qui, on doit le craindre, ne satisfera complètement personne,
puisqu'elle ne conduit pas au terme désiré. Elle présente, du moins, cet
avantage d’une connexité rigoureuse avec ce que l'on sait de l'histoire du
Temple et elle restitue à l'enfantine figure du Roi Louis XVII la place trop
méconnue qu'elle a inconsciemment tenue dans la politique de la
Révolution.
10 euros (code de commande : 00414).
[MONS]. Calendrier populaire de
Mons et de sa région. Avant-propos par
Henri Cammarata. [Bruxelles], Ministère de l'Éducation Nationale et de la
Culture Française, 1974. In-8° (215 x 227 mm.) carré broché, 115 p.,
illustrations, petit cachet humide ex-libris à la page de
garde.
Catalogue de l'exposition organisée
au Musée des Beaux-Arts, à Mons, du 21 décembre 1974 au 16 février 1975. Les
photographies ont été réalisées par Marcel Lefrancq.
Extrait de l'avant-propos :
C'est dans le souci de rencontrer la population dans sa vie de tous
les jours que la Maison de la Culture, à l'occasion de l'année du folklore,
s'est proposé d'organiser une exposition illustrant les traditions populaires de
l'arrondissement de Mons. Le sujet étant illimité, il fut décidé de le
restreindre en ne considérant que les principales traditions liées au calendrier
ou, du moins, au rythme saisonnier. Un guide s'offrait dans le calendrier rédigé
en patois de Mons que le curé Letellier inséra en tête de l'Armonaque dé Mons
pour l'année 1846, le premier qu'il publia.
De ce calendrier ont été
détachées les dates les plus marquantes et celles qui se prêtaient à une
illustration. Les fêtes mobiles ont été dépouillées de la date qu'elles avaient
en 1846.
Quelques notations ont été reprises aux calendriers des
Armonaques de 1847 et 1848.
Enfin, on a ajouté quelques
manifestations profanes, qui n'existaient pas il y a un siècle mais qui se sont
introduites dans les traditions de la région.
Ce Calendrier populaire
de Mons et de sa région a donc fourni son thème à l'exposition et son
ossature au présent catalogue.
Chaque fête était l'occasion pour la
population d'exprimer ses sentiments ; c'est ainsi que dans bon nombre de
communes, suivant un certain protocole, le mal représenté par un bonhomme de
paille était brûlé au son d'une musique lancinante. Autrefois, et aujourd'hui
encore, les artisans et ouvriers ont réalisé pendant leurs moments de loisir des
objets utilitaires ou décoratifs liés eux aussi à certaines manifestations
périodiques. On n'énumérera pas ici tout ce qui peut se découvrir tout au long
de cette exposition. On a voulu cerner au mieux l'esprit d'un quotidien menacé
par l'évolution de notre société ; on peut espérer par là en souligner la
profondeur et en assurer la continuité, car un peuple qui perd son folklore est
un peuple qui meurt.
Nous souhaitons que cette manifestation soit le point
de départ d'une recherche qui se poursuive et qui débouche un jour sur la
création d'un musée du folklore régional.
Table des matières
:
- Avant-propos, par H. Cammarata.
- Propos sur le
folklore d'hier et d'aujourd'hui, par A. Gallez.
- Janvier -
Février - Mars - Avril - Mai - Juin - Juillet - Août - Septembre - Octobre -
Novembre - Décembre.
- Le culte des saints à Mons, par K.
Petit.
- Quelques expressions propres au métier de la couture,
par J. Houdart.
- Le « Bètième » montois, par J.
Langue.
- La céramique, par K. Petit.
- Art
populaire et art naïf, par M. G. Lefrancq.
- Jeux
d'autrefois et jouets d'un sou, par A. Gallez.
- Fond musical
diffusé pendant l'exposition, par G.
Dumortier.
- Orientation bibliographique, par Chr.
Piérard.
- Situation de la peinture naïve, par G.
Schmits.
20 euros (code de commande : 00428).
MOUTARD-ULDRY (Renée) — Saint Georges, patron des soldats. Paris, Henri Lefèbvre, 1944. 2e édition. In-12 (129 x 167 mm.) broché, 22 p., illustré de 3 bois gravés de Jacques Le Chevallier (un frontispice, un bandeau et un grand cul-de-lampe), (collection « Les Saints Patrons », n° 15), exemplaire sur vélin chiffon de Lana, non coupé, la bande d'annonce a insolé la couverture.
Extrait
:
Saint Georges est la
personnification chrétienne de la jeunesse, de la vaillance, de la loyauté, de
cette mâle tendresse qui unit les frères d'armes. C'est pourquoi, après avoir
été le modèle et le patron des Croisés, des Chevaliers et des
Guerrier, ce soldat du Christ, est devenu celui des
Scouts.
Vendu.
[NAMUR]. Sports et jeux populaires
en Namurois. Bruxelles, Crédit Communal de
Belgique, 1982. In-4° (207 x 296 mm.) broché, 142 p., illustrations en noir,
exemplaire en bon état.
Ouvrage publié à
l'occasion de l'exposition éponyme organisée à la Maison de la Culture de Namur,
du 11 septembre au 3 octobre 1982.
Table
des matières :
- Préface.
- Les sports en Namurois.
- Les mondes des
sports.
- Sports de nature.
- Sports athlétiques et
gymniques.
- Sports de balles.
- Sports
mécaniques.
- Sports de tir et de combat.
- Les jeux populaires
en Namurois.
- Introduction.
- Jeux de
kermesse.
- Jeux d’adresse.
- Jeux de lancer : quilles, balles
et billes.
- Jeux d’enfants.
- Catalogue.
- Sources et
travaux.
Vendu.
NOIRFALISE (Gérard) — Une sélection des locutions et proverbes de Mons illustrée et commentée. Mons, Association des Montois Cayaux, 1999. Grand in-8° broché, 81 p., nombreuses illustrations en noir, épuisé au catalogue de l'éditeur.
Présentation du livre
:
Cet ouvrage a pour origine un
projet ambitieux : peindre un tableau ayant pour thème les proverbes montois (à
l'instar de Pierre Breughel l'ancien ; les proverbes flamands, 1559, Galerie
Dahlem Berlin).
Une telle entreprise exige une préparation minutieuse :
des avant-projets noir/blanc étudiant individuellement chaque thème, puis un
assemblage de plusieurs sujets traités en couleur (aquarelle ou gouache), enfin
la réalisation définitive à la peinture à 1'huile sur toile.
C'est donc la
première partie de ce « grand œuvre » qui a servi à réaliser cet ouvrage : des
amis, auxquels je m'étais ouvert de cette ambition m'ont encouragé à envisager
ces dessins à la plume comme un tout et comme un but en soi.
C'est ainsi,
qu'en 1987, un calendrier reprenant 12 éléments fut imprimé pour Monsieur
Gilbert Mawet, directeur, à cette époque, d'une agence bancaire, rue des Clercs.
C'est à partir du numéro 45 que La Gazette des Camerluches de
l'association des Montois Cayaux a accueilli une partie des dessins qui servent
de fondement à ce livre.
Les sources.
La plaquette
Expressions et proverbes montois éditée en 1968 par le Crédit Communal
(riche de 250 « perles patoises ») a servi de base à l'élaboration de ce livre,
puis au gré de lectures, je me suis constitué une documentation personnelle.
Enfin par un miracle, (vraisemblablement inspiré par des camerluches en odeur de
sainteté), le hasard a voulu que je découvre, en ma voisine, une distinguée
romaniste qui avait effectué un travail de fin d'études sur le sujet,
fournissant ainsi une mine d'expressions oubliées ou ignorées
précédemment.
L'illustration.
Le choix qui a été effectué est
fonction du sujet (car certains proverbes sont difficilement illustrables). Pour
ceux qui ont été choisis, l'intérêt vient, à mon sens, du traitement graphique
appliqué : le proverbe est pris littéralement au pied de la lettre, (pour
employer une métaphore bien à propos), autrement dit au premier
degré.
Le texte.
Il paraissait fastidieux d'imposer au
lecteur, même sous une forme différente, le remarquable travail philologique de
Béatrice ; au contraire, j'ai voulu présenter un texte qui, je l'espère,
« colle » mieux à l'humour des dessins. C'est pourquoi, vous trouverez en regard
de ceux-ci des anecdotes, des souvenirs personnels, des réflexions sages ou ...
folles.
15 euros (code de commande : 00429).
['PATAPHYSIQUE]. THOMSON (Andrew) — Le poids ses sons. Traduction par A. Melville. s.l., Cymbalum Pataphysicum, 1986. In-8° (145 x 205 mm.) agrafé, 10 p., illustrations, (collection « Cliques & Claques », n° 2), exemplaire en parfait état.
Extrait
:
Tout à fait pertinemment, la
Sous-Commission des Bascules et Trébuchets avait déjà indiqué dans le n° 1 des
Organographes la variété et l’étendue de ses recherches sur les systèmes
de poids et mesures. Un projet qui pourtant ne paraît pas dans cette liste est
celui de déterminer le poids des sons, et des sons musicaux en
particulier.
Dans La Revue Musicale S.I.M VIIIe Année, n° 4 du 24
Clinamen 37 EP (vulg. du 15 avril 1912), sous le titre Ce que je suis,
dans la série d’articles Les Mémoires d’un amnésique, Erik Satie annonça
au monde peu intéressé qu’il avait créé un phono-peseur, avec lequel il
déclarait avoir pesé tout Beethoven et tout Verdi. À notre grand étonnement,
personne n’a pensé à demander au Maître des précisions sur cette découverte
importante, et Satie, offrant ainsi au monde entier un modèle de discrétion,
n’en a plus parlé. Une seule mesure nous est parvenue :
« Au phono-peseur
un fa dièse ordinaire, très commun, atteignit 93 kilogrammes. Il émanait d’un
fort gros ténor dont je pris le poids. »
Vendu.
['PATAPHYSIQUE]. Organographes du Cymbalum Pataphysicum. N° 14. [Paris], Cymbalum Pataphysicum, 1980. In-8° (150 x 210 mm.) agrafé, 36 p., illustrations.
Avant-propos :
Offert au TS
François Laloux pour son 82e anniversaire, ce 14e Organographe s’inscrit
dans une lignée qui donna, par exemple, le Dossier Queneau. C’est un
hommage, d’autant plus précieux que l’œuvre est moins « publique », à l'une des
plus singulières personnalités du Collège de ’Pataphysique.
Régent depuis
la fondation du Collège, François Laloux a occupé la Chaire de Zozologie
jusqu’au 22 absolu 93, où sa Magnificence Opach, à l’occasion de son Élection
& pour marquer l’estime particulière où Elle tenait cet ami de longue date,
l'a élevé à la Satrapie. Dans l’Ordre de la Grande Gidouille, il a eu rang,
jusqu’à la même date, de Définiteur Suprême (avec la dignité de Primicier
Curule, car doyen des Régents) ; depuis il est Grand Maître. Les Pataphysiciens
ont connu son œuvre dès la première année des publications collégiales puisque
le n° 1 des Cahiers a publié Le Paraclet (signé « Oxulal Fronçais » :
c'était lui !) & le n° 2 un de ses dessins (pour illustrer la Machine à
explorer le temps selon Jarry) tandis qu’en publication interne paraissait
L’Erioclade (9 dessins précédés d'une prose). D'autres textes ont jalonné
la revue (Cahiers 3-4, 8-9, 21, 25, 26-27 ; Dossiers 16, 28)
jusqu'à l’An 100, marqué par l’exploration de la 5e Allée (S.P. 18) &
la réédition de L’Erioclade.
Si le TS ne s’est pas refusé à
quelques publications « antérieures » ou « extérieures » (on cite souvent La
Femme sans peau, Fontaine, 1947), il faut bien reconnaître que son œuvre,
tant écrite que dessinée ou peinte, entretient des rapports plutôt distants avec
ces moiteurs axillaires que beaucoup nomment « littérature » ou « art ». Sa
manière « déceptive » (diraient nos sorbonnagres) ou « dérapante » (dit
l’intéressé) ne se rapproche d'à peu près rien de connu, si ce n'est, en
quelques endroits, de Julien Torma.
Contrairement à l’usage vulgaire &
même pataphysique, ce numéro d’hommage ne sera pas prétexte à gloses,
confidences & déballage de documents : cela ne ferait que détourner
l’attention d’une œuvre de toute façon irréductible. En tête de ces
poèmes, contes, théâtre, œuvres graphiques, nous publions seulement deux pages
de souvenirs concernant le TS : « ceux qui ne se fourrent pas le doigt dans le
globe oculaire » y verront, sous les flashes du témoignage & des anecdotes
inimitablement tournées, quelques instantanés de la préhistoire du Collège,
voire le magnésium même de la Lumière pataphysique.
Vendu.
PICON (Gaëtan) — Panorama de la nouvelle littérature française. Nouvelle édition revue et corrigée. Paris, Gallimard, 1976. In-8° (142 x 205 mm.) broché, 365 p., exemplaire en bel état.
En quatrième de
couverture :
Écrit en 1948, remanié
eu 1957, ce livre appelait de nouveaux changements, plus importants encore. J'ai
conservé l'essentiel : les études sur les écrivains que je privilégiais,
supprimant seulement des énumérations et des allusions devenues inutiles. Et
j'ai ajouté, de la littérature de ces dernières années, une présentation faite
dans le même esprit de sélection.
La relation entre le livre d'hier et le
livre d'aujourd'hui appelle une remarque. L'actualité de la culture donne raison
aux paris que j'avais faits. Pourtant, l'actualité de la création diffère
profondément de celle de naguère. S'il y a héritage et continuité d'une part, il
y a rupture d'autre part. L'invention des grands auteurs d'hier est reconnue,
« récupérée » par ceux pour qui la Reine des Facultés est devenue l'aptitude à
analyser des textes, à décomposer le langage, et qui non seulement l'utilisent
(ce qui est légitime) pour étudier ce que d'autres ont fait, mais aussi (ce qui
l'est moins) pour tenter de « faire » à leur tour.
Ce livre, qui est un
manuel d'histoire littéraire, invite ainsi, par le simple rapprochement des deux
termes de sa courbe, à se demander ce qu'est au juste, ce que vaut, ce que peut
la littérature.
10 euros (code de commande : 00415).
RÉGNIER (Henri de) — La Pécheresse. Illustrations originales de Raoul Serres. Paris, Éditions du Charme, 1941. In-8° (160 x 205 mm.) demi-maroquin vert à coins, dos à 4 nerfs illustré d'un motif peint sur papier et collé représentant une scène amoureuse, titre et tête dorés, couverture conservée, reliure signée Robert Vits, 234 p., 36 illustrations en couleurs (couverture répétée au titre, frontispice, 34 vignettes dans le texte), exemplaire numéroté sur vélin.
Extrait :
J'ai toujours été si curieux des particularités que l'on découvre au caractère des femmes que, pas une fois, je n'ai négligé de m'instruire à ce sujet. Aussi j'eus bientôt remarqué que le point où se montre le mieux et le plus ouvertement ce que la nature les a faites est celui de l'amour. Les raisons qui décident une femme à aimer, les façons qu'elle y apporte, la manière dont elle se conduit en cette conjoncture nous donnent vue et nous éclairent singulièrement sur elle-même. Nulle part une femme ne montre plus distinctement ce qu'elle est que dans ces circonstances et on ne peut prétendre en connaître tout à fait aucune qu'on ne sache comment elle se comporte en ces occasions.
C'est ce jugement qui m'a incliné, de tout temps, à rechercher avec soin et à mettre en ordre dans mon esprit les anecdotes et les histoires qui se rapportent à l'amour. Il s'en débite à force de par le monde et il suffit d'écouter pour en apprendre d'excellentes. Il m'en est donc venu beaucoup aux oreilles, et j'en ai retenu un bon nombre, mais il n'en est point qui m'ait paru plus curieuse et plus singulière que celle de Mme de Séguiran et de M. de la Péjaudie, ni plus propre à faire croire que les femmes sont de bien étranges et bizarres cervelles. Je dirai même que je n'eusse guère ajouté foi à ce roman si je n'en eusse tenu le détail de la bouche de feu M. de Larcefigue, mon parent.
90 euros (code de commande : 00422).
[RELIURE]. La reliure en Belgique
aux XIXe et XXe siècles. Catalogue descriptif
par Georges Bernard. Introduction historique par Paul Culot.
Bruxelles, Crédit Communal et Société Royale des Bibliophiles et Iconophiles de
Belgique,1985. In-4° (210 x 297 mm.) broché sous couverture à rabats, 294 p.,
168 illustrations photographiques en noir et en couleurs, textes en français, en
néerlandais et en anglais, dos insolé.
Catalogue de l'exposition organisée à la Bibliotheca
Wittockiana, à Bruxelles, du 16 mars au 20 avril 1985 et à la bibliothèque de
l'Arsenal, à Paris, du 3 mai au 31 mai 1985.
Table des matières :
Préface.
Avant-propos.
L'évolution du décor
extérieur du livre en Belgique de 1800 à nos jours.
Catalogue
descriptif.
Index des relieurs.
20 euros (code de commande : 00431).
REMACLE (Louis) — Glossaire de la Gleize. Liège, Société de Langue et Littérature Wallonnes, 1980. In-8° (160 x 240 mm.) broché, 216 p., (« Bibliothèque de Philologie et de Littérature Wallonne », n° 5), exemplaire en parfait état.
Extrait de l'introduction
:
Le présent ouvrage reprend,
corrige et complète l’article publié sous le même titre, en 1933, dans le
Bulletin du Dictionnaire wallon, tome 18, pp. 63-112.
Cet article
ne recueillait que 460 mots environ, – ceux qui, à ce moment-là, avaient retenu
mon attention. On peut dire, cependant, que le vocabulaire du wallon de La
Gleize a été bien exploré ; mais ses éléments sont dispersés dans des ouvrages
très divers :
- les lexiques du Spadois Albin Body, qui remontent au
19e siècle et où certains mots donnés comme « ardennais » viennent probablement
de notre commune ;
- les listes-questionnaires du Bulletin du
Dictionnaire wallon où sont enregistrées les réponses d’un excellent
correspondant du hameau de Ruy, Alphonse Dewez ;
- les dictionnaires de
Jean Haust et l’Atlas linguistique de la Wallonie (volumes publiés et
documentation inédite) ;
- mon article de 1933 et plusieurs de mes
livres ;
- enfin, l’importante thèse inédite de Georges Legros sur la
meunerie.
Peut-être aurait-il fallu essayer de rassembler les éléments
épars de ce « trésor » ; mais je ne pouvais songer à entreprendre une pareille
tâche.
Le choix des mots.
Comme l’article de 1933, le présent
volume est un simple « glossaire ». Il constitue, somme toute, une seconde
édition, qui remplace et complète la première. Il reprend les mots de celle-ci
avec les exemples qui les accompagnaient (très rarement avec d’autres). Mais la
collection s’est augmentée de mots entendus au hameau de Neuville entre 1930 et
1942 (parfois en écoutant parler des gens venus de l’extérieur) et aussi dans
les environs à des époques diverses (notamment au cours d’enquêtes phonétiques
et toponymiques). Elle accueille aussi des termes courants et bien connus
(aler, aveûr, bièsse, cou, dire, jé,
long, magni, pan, taper, tchin, vèy,
etc.) pour lesquels j’ai noté des significations, des emplois, des exemples plus
ou moins remarquables. Elle compte, au total, plus de 2400 mots ; mais beaucoup
d’entre eux font l’objet d’articles très courts, qui donnent simplement des
renvois à des exemples contenus dans d’autres articles ou dans
l’appendice.
Les termes qui composaient le glossaire de 1933 ne méritaient
pas tous la même considération. Jean Haust, qui avait tenu à contrôler leur
existence en questionnant ses témoins de la région de Grand-Halleux, avait
raison d’écrire, dans son compte rendu du Bulletin de Toponymie, t. 8
(1934), pp. 457-9 : « Beaucoup de ces mots –- sont de jolis dérivés Certains
autres sont des variantes de termes connus vers le sud – ». Il est vrai que
j’avais découvert peu de mots inédits. Et, malheureusement, le nouveau recueil
ne doit guère en révéler davantage.
Parmi les mots que celui-ci contient,
il en est beaucoup, je l’ai dit, qui sont bien et largement connus. Ils ne sont
donc pas susceptibles d’intéresser la lexicologie romane ni même la
dialectologie wallonne au niveau des types étymologiques, c’est-à-dire au point
de vue de l’histoire du vocabulaire. Si je les ai retenus, c’est parce que je
pouvais relever à leur propos des sens curieux ou rares ou des exemples
authentiques, et ainsi fournir des éléments à un éventuel dictionnaire général
des dialectes belgo-romans.
On ne s’étonnera pas que des mots très
employés fassent l’objet d’articles très courts. Pour un mot comme
tièsse, je ne donne qu’un sens particulier et trois proverbes ; mais
notre patois connaît beaucoup d’expressions qui figurent sous tièsse dans
le dictionnaire liégeois de Haust et dans le dictionnaire verviétois de Wisimus.
On ne s’étonnera pas non plus que les familles de mots soient
incomplètes.
On comprendra, d’autre part, que des mots pittoresques ou
anciens ne soient même pas cités. La plupart d’entre eux figurent, avec des
exemples satisfaisants, dans les dictionnaires malmédiens (chez Villers déjà, en
1793), verviétois et liégeois, ou dans les vocabulaires de Stavelot et de
Faymonville. Je les ai omis systématiquement lorsque je ne pouvais rien apporter
d’utile à leur sujet.
Certains mots sont signalés comme archaïques. Ils
l’étaient déjà avant 1942, et ils sont probablement désuets
aujourd’hui.
D’autres mots, empruntés au français, font figure de
néologismes (apèrçu, boukèt, convêrti, gârer,
hèrbok, luje, etc.), encore que certains d’entre eux soient
peut-être déjà sortis de l’usage dialectal ; la civilisation et la technique
modernes en introduisent constamment de nouveaux, et je n’ai pas essayé d’en
relever beaucoup.
Pour quelques mots (joyon, hourand,
Ramète, raspindji...), je fournis des détails purement
anecdotiques. Si l’on se reporte à l’index final, on constatera que divers
articles ont un intérêt folklorique, et que, dans une série d’autres, j’ai cité
comme exemples des proverbes.
Je me suis demandé si certains termes que
j’ai entendu employer par des personnes dont le langage était volontiers très
expressif n’étaient pas des créations individuelles, ou même occasionnelles : je
songe, par exemple à dusturloké, à èstrèbouhi, qui doivent
résulter de contaminations. Je les ai cependant conservés, parce que je les ai
réellement entendus et parce que leur caractère individuel ou occasionnel n’est
pas assuré.
Les notes de folklore.
Il m’a paru intéressant de
publier à la suite de mon glossaire, en appendice, certaines notes de folklore
que j’avais recueillies à Neuville, de 1931 à 1935. Ces données se rapportent
pour la plupart au 19e siècle ; certaines, au début du 20e. On remarquera que,
pour les formulettes et les textes chantés, la notation musicale manque : cette
lacune regrettable diminue naturellement, dans une certaine mesure, leur valeur
documentaire.
Cet appendice ne fournit pas, je tiens à le souligner, un
tableau complet du folklore de La Gleize. J’ai simplement choisi, parmi des
notes fragmentaires prises il y a une quarantaine d’années, celles qui m’ont
semblé mériter d’être sauvées, pour leur intérêt folklorique ou encore pour leur
intérêt dialectologique. Je rappelle que le glossaire lui-même contient des
éléments folkloriques (voir l’index final au mot folklore). J’ajoute que j’ai
laissé de côté des formulettes purement françaises et largement répandues (1 2 3
Je m’en vais au bois ... ; Pim' pom' d’or À la révérence ... ; etc.).
La
plupart des notes de folklore sont en wallon ; elles constituent donc des
échantillons, souvent tout à fait authentiques, parfois un peu artificiels, du
patois local. Elles m’ont permis aussi d’enrichir le glossaire : j’ai inséré
dans celui-ci, en ajoutant au besoin des « entrées » nouvelles, des renvois à
des mots ou à des expressions contenus dans les notes folkloriques. (Pour
faciliter ces renvois, j’ai numéroté les paragraphes de ces notes et, en outre,
subdivisé en a, b, c... les longues énumérations des
numéros 134, 181, etc.).
Ces additions accentueront le caractère inégal de
la présentation des mots, et ce défaut s'ajoutera de lui-même au manque
d'homogénéité géographique qui affecte l'ensemble du vocabulaire retenu.
J'espère, néanmoins, que l'ouvrage rendra quelques services.
25 euros (code de commande : 00423).
ROUSSEAU (Henri, dit Le Douanier) — Une visite à l'Exposition de 1889. Vaudeville en 3 actes et 10 tableaux. Avec 2 illustrations. Préface de Tristan Tzara. Genève, Cailler, 1947. In-12 (118 x 172 mm.) broché, 140 p., frontispice, (collection « Écrits et Documents de Peintres », n° 7), édition originale, exemplaire numéroté sur papier blanc apprêté (n° 799), en bon état et en partie non coupé.
Extrait de l'article d'Andrei Fernando Ferreira Lima
:
N’ayant jamais été publiées ni
jouées du vivant de l’artiste, les pièces [de Rousseau] ont traversé la première
moitié du XXe siècle dans le plus complet secret, sans que personne n’ait
découvert les transformations qu’elles préfiguraient. Le théâtre moderne n’a
donc pas été influencé par l’œuvre dramatique de Rousseau, sauf peut-être par
l’intermédiaire de Tristan Tzara, qui dès les années 1920 s’est montré vivement
intéressé à son égard, s’efforçant par tous les moyens à éditer les manuscrits
alors conservés entre les mains du peintre Robert Delaunay. Celui-ci, l’un des
premiers admirateurs sincères du Douanier, avait obtenu les manuscrits d’Une
Visite à l’Exposition de 1889 ainsi que de La Vengeance d’une orpheline
russe auprès de Julia Bernard-Rousseau, fille du peintre, juste après la
mort de son ami, le 2 septembre 1910, mais ne consentit pas à publier les
textes, sinon quelques extraits dans le Bulletin de la Vie Artistique et
dans Orbes, toujours à l’instigation du poète roumain. C’est finalement
grâce à Sonia Delaunay, veuve depuis 1941, qui accepta de lui vendre les
manuscrits, que Tzara parvient à éditer deux des pièces écrites par Rousseau, en
1947, à Genève, chez Pierre Cailler.
Bibliographie :
- Ferreira
Lima (Andrei Fernando), Quelques aspects du théâtre d’Henri Rousseau,
dans Porto Arte - Revista de Artes Visuais, N° 24(40) - Janvier-Juin
2019, pp. 3-4.
15 euros (code de commande : 00420).
[ROUSSEAU (Victor)]. BOUGARD (Marcel) — Victor Rousseau. [Sculpteur wallon] L'homme et l'œuvre. [Gilly], Institut Jules Destrée, 1968. In-8° (120 x 180 mm.) collé, XVIII, 86, [12] p., illustrations hors texte en noir, (collection « Figures de Wallonie »), exemplaire en bon état.
Table des matières :
- Préface.
- Notice
biographique.
- Avertissement.
Chapitre I. L'empreinte du
passé.
1. Le milieu familial.
2. Feluy, son pays
natal.
3. L’âme wallonne.
4. L’enfance
déterminante.
5. Le vocabulaire du cœur.
Chapitre II. Du
dépassement à l'harmonie.
1. Les écoles.
2. Le théâtre, la
musique et la danse.
3. Les voyages.
4. À la recherche de
l’harmonie.
5. Les amitiés d’artistes.
6. De l’ouvrier à
l’académicien.
Chapitre III. Du visible à l'invisible.
1. La
femme.
2. Le langage de l’âme.
3. Un type
féminin.
4. Du mouvement à la beauté apaisée.
Chapitre IV. Les
secrètes profondeurs.
1. L’homme intérieur.
2. Les croyances
de Rousseau.
3. Rousseau et l’esthétique.
4. Les révoltes de
Rousseau.
Chapitre V. L'artiste, l'œuvre et le
public.
1. Rousseau et le modem style.
2. L’artiste et son
temps.
3. Un monde apollinien.
4. Le public et la
mode.
- Bibliographie.
- Illustrations.
8 euros (code de commande : 00398).
SCHELLEKENS (Jozef) — Turnhout, de hoofstad van de Kampen. Amsterdam, Allert de Lange, 1949. In-8° (123 x 182 mm.) sous cartonnage d'éditeur, 155 p., illustrations, (« Heemschut-serie », deel 66), exemplaire en bon état.
Table des matières
:
- Inleiding.
- Karakter.
- Evolutie van het Stadsbeeld
door de eeuwen.
- De volkshuisvesting.
- Groei van het
stadsgebied.
- Groei van de stad in de
hoogte.
- Natuurschoon.
- Monumenten van betekenis.
- St
Pieterskerk.
- Kasteel.
- Stadhuis.
- St
Eeuwoudskapel.
- Begijnhof.
- Oude woningen.
- Achttiende
Eeuw.
- Negentiende Eeuw.
- Het werk van Pieter Jozef
Taeymans.
- Twintigste Eeuw.
- Gedenktekens en godsdienstige
beeldjes.
- Besluit.
6 euros (code de commande : 00395).
SHAKESPEARE (William) - BENE (Carmelo) — Macbeth. Livret en 13 mouvements de Carmelo Bene d'après William Shakespeare. Texte français et préface par Jean-Pauil Manganaro. Paris, Dramaturgie, 1996. In-8° (110 x 210 mm.) broché sous couverture à rabats, 52 p.
Note de l'éditeur :
Si l'on
excepte ses deux échappées fugitives en Yougoslavie en 1980 et en Union
Soviétique en 1990, Carmelo Bene n'a quitté l'Italie que pour la
France.
Il est venu une première fois en 1977 à l'Opéra Comique avec
Roméo et Juliette, histoire de Shakespeare, et S.A.D.E. ou libertinage
et décadence de la fanfare de la gendarmerie salentine, spectacle en deux
aberrations. En 1983, il est de nouveau accueilli, au théâtre de Paris, avec
sa première version de Macbeth. Il revient pour notre bonheur une
troisième fois en cet octobre 1996. Dramaturgie s'est associée à
l'Odéon-Théâtre de l'Europe pour accueillir, dans le cadre du Festival
d'Automne, deux spectacles : Macbeth Horror Suite et En écho à la voix
d'Antonin Artaud, Carmelo Bene joue Dante.
Carmelo Bene tenait à
dédier ces spectacles à Antonin Artaud. Pour répondre à ce souhait, Dramaturgie
a illustré la couverture de l'édition présente par un émouvant document passé
par les mains de Rogin Blin lorsqu'il lui rendit visite à Ville-Evrard. Ce fait
nous rappelle ce que nous devons à Blin, à Artaud, à l'Odéon.
L'occasion
nous est offerte de remercier tout particulièrement M. Serge Malaussena, neveu
d'Antonin Artaud et M. Camille Dumoulié qui vient de publier un ouvrage
remarquable sur Artaud.
8 euros (code de commande : 00405).
[SOCIÉTÉ DES SCIENCES, DES ARTS ET DES LETTRES DU HAINAUT]. Mémoires et publications de la Société des Sciences, des Arts et des Lettres du Hainaut. 79e volume. 1965. Mons, Société des Sciences, des Arts et des Lettres du Hainaut, [1965]. In-8° (165 x 250 mm.) broché, [XVI], 369 p., illustrations in et hors texte, exemplaire en bon état malgré une tache au dos de la couverture.
Table des matières
:
- La Société,
p. VII.
- Prix et concours, p. XIII.
- Histoire économique du
département de Jemappes, par Roger Darquenne, p. 1.
Vendu.
[SOCIÉTÉ DES SCIENCES, DES ARTS ET DES LETTRES DU HAINAUT]. Mémoires et publications de la Société des Sciences, des Arts et des Lettres du Hainaut. 86e volume. 1975. Mons, Société des Sciences, des Arts et des Lettres du Hainaut, [1965]. In-8° (165 x 250 mm.) broché, XV, 98 p., exemplaire en bon état malgré une tache au coin supérieur gauche du volume.
Table des matières :
- La Société des Sciences, des Arts et des Lettres du Hainaut, p. VII.
- Chronique, p. XIII.
- La peste à Beaumont de 1632 à 1638, par Cécile Dumont, p. 1.
- L'humanisme selon Georges Sarton, historien de la Science, par Hosam Elkhadem et Annette André-Félix, p. 9.
- Du Collège de Houdain à l'Athénée Royal : quatre cent trente ans d'enseignement secondaire à Mons, par Émile Warny, p. 27.
- La créance de la Société Générale sur la Société du Canal de la Sambre belge, par Jacqueline Rassel-Lebrun, p. 41.
- Essai sur une analyse séquentielle de données, par Émile Pequet, p. 47.
- Quelques fragments en terre sigillée trouvés à Nouvelles, par Charles et Yves Leblois, p. 65.
- Y a-t-il un problème de l'énergie ?, par Léon Brison, p. 77.
- Bibliographie, p. 97.
Vendu.
[SOIGNIES]. Réglement donné a ceux de Soignies, le 23. Octobre 1690. Auquel les Maires & Échevins de toutes les Communautés du Pays de Hainaut doivent se conformer, autant que faire se peut, dans leurs Assiettes de Tailles. Avec Différens Décrets, Ordonnances & Réglemens concernant lesdits Maires, Échevins & Communautés. Seconde Édition. Augmentée de plusieurs autres Placards très-intéressans. Mons, Wilmet, [1778 (1766 sur la page de titre)]. [A Mons, / Chés Matthieu Wilmet, Imprimeur de Sa Majesté Impériale & / Royale Apostolique. 1766. / Avec Permission.] In-12 (95 x 155 mm.) plein veau d'époque, dos à 4 nerfs, reliure frottée, mors usagés et partiellement fendus, coins émoussés, tranches rouges, 362, [8 (table)] p., rare.
Le cahier « D » contient les pp.
49-64 ; il est suivi par le cahier « E » dont les pages sont numérotées de 63 à
78.
Cette édition est conforme à celle qu'Hippolyte Rousselle date de
1778. Le dernier édit de l'ouvrage est daté du 28 septembre 1778.
La
première édition de ce Réglement fut imprimée par Matthieu Wilmet en
1760, elle comptait 84 pages. Hyppolite Rouselle nous apprend que « l'imprimeur
Wilmet a fait un second tirage de cette édition qu'il a publiée la même année,
avec les mots : seconde édition. Celle-ci renferme les mêmes matières et
le même nombre de pages que la première, mais elle en diffère par l'orthographe
du titre, les fleurons et la distribution des matières. »
Rousselle
poursuit : « À mesure de la promulgation de nouveaux édits, on les imprimait
pour les ajouter à cette édition dont la pagination continuée allait toujours en
augmentant. C'est ainsi que le nombre de pages s'élève en 1766 à 172 et 3 ff.
non chiff. ; en 1778 à 362 et 4 ff. non chif. ; en 1783 à 574, en en 1787 à
604. »
Bibliographie :
- Rousselle (Hippolyte), Bibliographie
montoise, n° 605.
- Federinov (Bertrand), Quatre siècles
d'imprimerie à Mons, p. 80 (pour l'édition de 1760).
Vendu.
[THIÉRACHE]. La Thiérache. Bulletin de la Société archéologique de Vervins. Nouvelle série. Tome I. Vervins, Société Archéologique de Vervins, 1937. In-8° (144 x 222 mm.) broché, 195 p., quelques illustrations hors texte, exemplaire en partie non coupé et en très bon état.
Table des matières :
- La Société Archéologique de Vervins 1872-1937, par Pierre
Noailles.
- Poètes de la Thiérache, par Gabriel
Hanotaux.
- Gabriel Hanotaux Thiérachien, par Pierre
Noailles.
- Le parler Thiérachien, par Charles
Gannelon.
- Nomination du Premier Suisse de l'église de
Vervins, par Eugène Creveaux.
- Quelques Contrats de Travail
à Vervins au XVIIIe Siècle, par Eugène Creveaux.
- Du Cheval
à l'Avion. Vieux Souvenirs, par Eugène Duflot.
- Une
intervention en faveur de la Ville de Vervins en 1871, par Gabriel
Méra.
- Relation des événements du 7 novembre 1918 à Haudroy,
par A. Daublain.
- Un prétendu projet d'évasion de Louis XVI par
Guise en août 1791, par Eugène Creveaux.
- L'application de la
loi des suspects dans le district de Vervins, par Eugène
Creveaux.
- Un illustre Vervinois, Marc Lescarbot, par
Ernest Ledrus.
- Alfred Falaize, par Pierre
Noailles.
- Le vieux Vervins, par Alfred
Falaize.
- Les origines vervinoises de l'évêque d'Adran, par
Roland Derche.
- Liste des membres de la Société.
- À propos
du titre de notre Bulletin.
Vendu.
VANWELKENHUYZEN (Jean) — L'agonie de la paix. 31 août - 3 septembre 1939. Gembloux, Duculot, 1989. In-8° (158 x 239 mm.) broché, 351 p., (collection « Document », couverture un peu défraîchie.
En quatrième de couverture :
L'Agonie de la Paix déroule le film des journées
dramatiques qui précèdent la Seconde Guerre mondiale. Le 31 août 1939, Mussolini
offre ses bons offices. Le lendemain à l'aube, Hitler attaque la Pologne.
L'Angleterre et la France ont des traités en bonne et due forme avec Varsovie.
Ce n'est pourtant que le 3 septembre qu'elles relèvent le gant. Encore ne le
font-elles pas en même temps. Ces lenteurs, ces discordances sont le signe
extérieur de graves débats intérieurs. Paris freine. Londres pousse. La tension
monte entre les deux capitales. L'attente, qui se prolonge, devient
insupportable pour le Cabinet britannique. La Chambre des communes menace de le
renverser. C'est finalement en ordre dispersé que les décisions sont prises. En
toile de fond, Mussolini se dépense désespérément pour sauver la paix. Il ne
réussit qu'à brouiller les cartes. Hitler ne veut pas entendre parler de vraies
négociations. Il ne connaît plus que la loi du plus fort. Mais il déploie
d'inépuisables ressources d'ingéniosité pour déguiser ses intentions. Il échoue
néanmoins dans ses efforts pour enfoncer un coin entre Londres et Varsovie. La
guerre qu'il a tout fait pour provoquer n'est pas celle de ses plans. Elle
dresse contre lui l'Angleterre. Il est vrai que, pour se battre, celle-ci compte
surtout sur l'armée française et, à Vincennes, le général Gamelin est prêt à
tout sauf, justement, à se battre. Bref, un récit trépidant, où les révélations
abondent et qui se lit comme un roman.
Vendu.
[VÉRONÈSE (Paolo Caliari,
dit)]. Les Noces de Cana de Véronèse. Une œuvre et sa restauration. Paris, Réunion des Musées Nationaux, 1992. In-4° (294 x 300 mm.)
sous reliure et jaquette (dos un peu passé) d'éditeur, 343 p., nombreuses
illustrations en noir et en couleurs, ouvrage épuisé au catalogue de
l'éditeur.
Cet ouvrage a été édité à
l'occasion de l'exposition organisée au Musée du Louvre, à Paris, du 16 novembre
1992 au 29 mars 1993.
Préface de Pierre
Rosenberg :
Il y a dans la carrière
de tout conservateur des moments fastes et des journées noires. Celle du 3 juin
1992 comptera sans aucun doute parmi les plus tristes de ma vie. Ce jour-là, au
cours d'une manœuvre liée à leur nouvelle présentation, Les Noces de Cana
s'effondrèrent. Le spectacle fit pleurer nombre de ceux qui y assistèrent ou qui
accoururent sur place – restaurateurs, conservateurs, hommes d'équipe, employés
du Louvre... On ne le sut que dans les jours qui suivirent, la catastrophe avait
été moins grave qu'on n'avait pu le croire en un premier temps. Les accidents ne
touchaient aucun visages aucune des parties essentielles de l'immense toile, ils
avaient en outre le mérite – qu'on me pardonne le mot – d'être nets, rien de la
surface peinte ne manquait. La pose par Yves Lepavec de pièces au revers de la
toile réduirait les lèvres des déchirures, qu'il s'agirait ensuite de
masquer.
La date du 3 juin n'est plus aujourd'hui qu'un bien mauvais
souvenir : rares seront ceux qui pourront désormais distinguer les marques des
dommages. Je ne pourrai cependant plus jamais regarder le chef-d'œuvre de
Véronèse sans me souvenir de cette bien triste journée.
La restauration
des Noces de Cana s'imposait, d'autres, mieux que moi, diront ici
pourquoi. Elle a été rendue possible grâce à la collaboration entre le Service
de restauration des musées de France, le département des Peintures du musée du
Louvre et, « last but not least » ici en France, une collaboration exemplaire,
tout le monde s'accorde à le reconnaître.
Elle est aujourd'hui achevée :
aux visiteurs de l'exposition et au public du Louvre de la juger, de se rendre
compte du sérieux et de la prudence avec lesquels pareille entreprise a été
conduite à terme. Rien n'a été décidé sans une longue réflexion. Entourés des
avis et des conseils des plus compétents, des spécialistes et des savants les
plus renommés, français et étrangers, restaurateurs et conservateurs ont su
mener à bien, jour après jour, leur lourde tâche avec un professionnalisme qui
ne s'est jamais démenti. Qu'ils soient tous ici chaleureusement remerciés et
tout particulièrement Nathalie Volle et jean Habert.
C'est à eux que l'on
doit le présent catalogue. Il rassemble d'indispensables informations qui
touchent le détail de la restauration, ses différentes phases, les interventions
du laboratoire de recherche des musées de France, comme celles des restaurateurs
et de l'équipe que dirige Nathalie Volle. Le catalogue, en outre, permet
plusieurs lectures du chef-d'œuvre de Véronèse : il s'adresse au musicologue
comme au gastronome, à qui voudra préciser la race des deux lévriers du premier
plan et la raison de leur présence, à qui souhaiterait en savoir plus sur la
coupe de cristal au centre de la composition. Il sera indispensable à
l'historien d'art qui s'interrogerait sur les intentions et les ambitions de
Véronèse. Il sera agréable, nous l'espérons, au curieux intrigué par le
perroquet ou par la richesse des costumes. À chacun des érudits consultés, du
spécialiste des tissus à l'historien de l'architecture, va toute notre
gratitude.
C'est également à Nathalie Volle et à Jean Habert que l'on doit
la présente exposition. François Pin a conçu la structure transparente qui
permit au public de suivre la restauration ; la présentation de l'exposition est
l'œuvre de Lorenzo Piqueras, en collaboration avec Christophe Clément, chef du
Service des travaux muséographiques du Louvre, et son équipe.
Cette
exposition explique ce qui a été fait, pourquoi, comment et par qui. Elle aide à
découvrir, donc à aimer, elle permet de comprendre.
Tous, du plus humble au
plus gradé, ont voulu servir Véronèse avec le respect que l'on doit au
génie.
25 euros (code de commande : 00410).
WELLENS (Robert) — Inventaire des archives de la paroisse de Sainte-Élisabeth à Mons (XIVe-XIXe siècles). Bruxelles, Ministère de l'Éducation Nationale et de la Culture Française et Ministère de l'Éducation Nationale et de la Culture Néerlandaise, 1973. In-4° (207 x 29 mm.) collé, 59 p., (collection « Archives Générales du Royaume et Archives de l'État dans les Provinces - Archives de l'État à Mons »), exemplaire en parfait état.
Table des matières :
- Introduction.
- Inventaire.
Chapitre 1.
Généralités.
Chapitre II. Biens et propriétés.
Chapitre III.
Comptabilité.
Chapitre IV. Chapelles et confréries.
Chapitre
V. Testaments et fondations pieuses.
Chapitre VI. État civil et
population.
Chapitre VII. Bienfaisance.
Chapitre VIII. Travaux
et entretien.
Chapitre IX. Personnel.
Chapitre X.
Enseignement.
Chapitre XI. Procès et transactions.
- Table des
noms de lieux et de personnes.
5 euros (code de commande : 00430).
aura lieu
le 20 juin 2023
Si vous souhaitez obtenir d'autres informations n'hésitez à pas à me questionner
par courriel (b.waterlot@hotmail.com) ou par téléphone ou sms (+32 (0) 472 51 52 63).
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