lundi 14 octobre 2024

Les « nouveautés » du 15 octobre 2024

 

MISE À JOUR DU 15 OCTOBRE 2024

N'hésitez pas à me contacter
par courriel
(b.waterlot@hotmail.com) ou par téléphone (+32 (0) 472 51 52 63)
pour obtenir d'autres informations à propos de ces livres.
 

 

[ANTIQUITÉ GALLO-ROMAINE]. L'Artisanat en Gaule romaine. Rixensart, Archéolo-J - Service des Jeunesses Archéologiques, 1994. In-4° (210 x 297 mm.) collé, 95 p., illustrations en noir et en couleurs, exemplaire en très bon état.
   
Publié pour les 25 ans d'Archéplo-J à l'occasion du « Salon de l'Artisanat gallo-romain » organisé à Floreffe, les 12 et 23 mai 1994.



Table des matières :
   - Avant-propos, par Sophie Plumier-Torfs et Dominique Longrée.
   - Préface, par François Hubert.
   - Introduction, par Alain Ferdière.
   - La sidérurgie, par Sylviane Mathieu.
   - La fabrication des monnaies, par Johan van Heesch.
   - La métallurgie du bronze, par Françoise Urban.
   - L'orfèvrerie, par Sylviane Mathieu.
   - Les fibules, par Joëlle Moulin.
   - La production textile, par Gérard Fercoq du Leslay.
   - Le travail de l'os et du bois de cervidés, par Wim Van Neer.
   - La tannerie et la cordonnerie, par Karine Bausier et Madelaine Liesenberg.
   - Le travail du bois
      - Charrons et charrois dans l'Antiquité, par Georges Raepsaet.
      - La reconstitution des roues de l'hamaxa, par Gérard Fercoq du Leslay.
   - La taille de la pierre, par Ingrid Nachtergael.
   - La peinture murale, par Catherine Breyer.
   - La construction en terre cuite, par Alexandra De Poorter et Pierre-J. Claeys.
   - La fabrication de la céramique, par Catherine Breyer.

Vendu.

 

BAUWENS (Pierre) — La population des paroisses de Chièvres et de Grosage aux XVIIe et XVIIIe siècles (1607-1798). Ath, Cercle Royal d'Histoire et d'Archéologie d'Ath et de la Région et Musées Athois, 1970. In-8° (160 x 244 mm.) broché, 181 p., tableaux à déplier, le feuillet des pp. 101-102 et les deux tableaux qui l'entourent sont souillés. 

 


Table des matières :
   - Introduction.
   - Sources et bibliographie.
   Première partie. Le site et les sources démographiques.
      Chapitre I. Le cadre géographique et paroissial.
      Chapitre II. Intérêt et description des sources.
   Deuxième partie Le chiffre de la population des paroisses de Chièvres et de Grosage aux XVIIe et XVIIIe siècles.
      Chapitre I. Les chiffres antérieurs connus.
      Chapitre II. Détermination du chiffre de la population des paroisses de Chièvres et de Grosage aux XVIIe et XVIIIe s.
      Chapitre III. La population des paroisses de Chièvres et de Grosage à l'époque contemporaine.
   Troisième partie. Étude du mouvement de la population des paroisses de Chièvres et de Grosage aux XVIIe et XVIIIe s. d'après leurs registres paroissiaux.
      Section I. Natalité, nuptialité et mortalité à Chièvres.
         Chapitre I. La natalité (1617-1796).
         Chapitre II. La nuptialité (1646-1796).
         Chapitre III. La mortalité (1736-1796).
         Chapitre IV. Naissances, mariages et décès.
      Section II. Natalité, nuptialité et mortalité à Grosage.
         Chapitre I. La natalité (1607-1796).
         Chapitre II. La nuptialité (1613-1796).
         Chapitre III. La mortalité (1745-1796).
         Chapitre IV. Naissances, mariages et décès.
   Quatrième partie. Mouvement migratoire de la population des paroisses de Chièvres et de Grosage aux XVIIe et XVIIIe siècles.
      Chapitre I. Le mouvement migratoire de la population de la paroisse de Chièvres.
      Chapitre II. Le mouvement migratoire de la population de la paroisse de Grosage.
   - Conclusion générale.
   - Annexes. Documents relatifs au dénombrement général de la population des Pays-Bas autrichiens de 1784.

20 euros (code de commande : 01678).

 

CAUCHOIS-LEMAIRE (Louis-Augustin-François) — Fantaisies politiques, morales, critiques et littéraires ; recueillies et publiées par A. Cauchois-Lemaire ; Augmentées de plusieurs extraits du Journal des Arts, des Sciences et de la Politique ; de la Table systématique et alphabétique des matières et des noms, contenus dans les deux volumes de l'ancienne collection du Nain Jaune, et de l'explication des anagrammes, des initiales et des allégories. Deuxième édition. Bruxelles, Horgnies-Regnier - Le Charlier - Wahlen - De Mat, 1816. [A Bruxelles, / chez / Horgnies-Regnier, Marché aux Bois. / Le Charlier, libraire, Montagne de la Cour. / Wahlen, imprimeur-libraire, rue de l'Evêque. / De Mat, libraire, Grand'Place. / Et chez tous les libraires de France, d'Angleterre, / d'Allemagne, de Russie et d'Amérique. / 1816.] In-8° (134 x 207 mm.) plein veau d'époque, dos lisse, reliure usagée, mors fendus, [3 (faux-titre, mention de collection, titre)], [1 bl.], III, [1 bl.], 99, [1 bl.] p., bon exemplaire de ce rare ouvrage.


   Louis-Augustin-François Cauchois-Lemaire (Paris, 1789-1861) devint en 1814 propriétaire du Journal des Arts et de littérature qui prit ensuite le titre du Nain jaune, ouvertement favorable à Napoléon durant les Cent Jours et dans lequel paraissaient des articles anti-royalistes et anti-catholiques qui lui valurent d'être interdit sous la Restauration. Cauchois-Lemaire s'exila à Bruxelles où il publia alors la seconde édition des Fantaisies politiques présentées ici (la première, publiée à Paris, y fut rapidement saisie) et dans lequel il fustigeait ses ennemis en les qualifiant de « Messieurs de l'Éteignoir », on trouve, à la p. 70, le dessin qui servit de prétexte aux censeurs pour faire interdire Le Nain jaune.
Préface :
   Messieurs de l'Éteignoir l'emportent donc ! Le Nain Jaune est suspendu. Combien de rimailleurs, d'écrivassiers, de grands et de petits intrigans avaient conspiré sa perte ! C'est la plume à la main que des ennemis généreux nous auraient combattus, mais ces messieurs ont trouvé plus facile de répondre à nos épigrammes par un coup de poignard : c'est ainsi qu'un poëte-tyran ne réfutait ses critiques qu'en les envoyant aux Carrières. Ils se sont tous coalisés, ils ont aiguisé dans l'ombre leurs armes ordinaires, la calomnie et l'hypocrisie ; et parvenus, en rampant, jusqu'à l'autorité, ils lui ont représenté le Nain Jaune comme un journal dangereux, séditieux, plus formidable, lui seul, qu'une armée de dix mille hommes ; que sais-je enfin ? l'amour-propre offensé est si éloquent sous le masque du zèle et du patriotisme ! Ils ont fait de leur ressentiment particulier une affaire d'état, et le Nain Jaune, pour avoir fait la guerre à quelques brouillons, à de plats écrivains, à de vils folliculaires, a été déclaré pernicieux pour la chose publique. La nomination d'un rédacteur responsable eût fait cesser tous les prétendus inconvéniens qu'ils signalaient ; la chose publique alors n'eût couru aucun danger : mais la vengeance de ces chauds amis du prince n'eût pas été satisfaite : ils voulaient un coup d'éclat ; ils voulaient assassiner celui qu'ils désespéraient de vaincre. O joie ! ô noble triomphe ! L'ordre est donné : à quatre heures matin la police descend en force chez l'imprimeur du Nain Jaune, et le criminel d'état est arrêté. Pour parler sans figure, l'impression de notre journal est défendue au moment même où l'on publiait l'ordonnance sur la liberté de la presse, lorsque nous venions de recevoir du ministère l'avis de la nomination d'un censeur.
   Cependant le propriétaire du Nain Jaune court de bureau en bureau, se transporte chez tous les fonctionnaires dont il espère obtenir quelques éclaircissemens ; il demande pour toute grâce d'être traduit devant les tribunaux, s'il est coupable ; il sollicite l'ordre écrit qui suspend ou supprime son journal ; il se plaint de ces voies tortueuses qui le privent de sa propriété sans qu'il puisse même donner la preuve qu'il en a été privé : partout il n'obtient que des réponses évasives, ou plutôt un véritable déni de justice.
   Dès que les journalistes se furent bien assurés que le Nain Jaune était dans l'impossibilité de se défendre, ils se déchaînèrent contre lui ; semblables à ces oiseaux de proie qui ne s'acharnent que sur les cadavres. Triomphez, magnanimes adversaires ; accusez, dénoncez, égorgez des gens désarmés ; si l'on nous a fermé la bouche, le public tout entier sera notre avocat ; le public tout entier a répondu pour nous, en témoignant le mépris et le dégoût que lui inspirent vos feuilles anti-françaises.
   Puisque ces messieurs ont donné tant d'importance à un petit journal, il faut bien que je m'en donne un peu ; je cesse de parler collectivement. Ce n'est point au moment de la persécution que je veux rester sous le manteau. Le Nain Jaune n'est point de ma part une simple spéculation : les principes qu'il professe sont l'expression de mes sentimens. Quelques articles, je l'avoue, s'y sont glissés malgré moi ; mais ce qui forme sa couleur générale, l'esprit d'indépendance, l'honneur français porté jusqu'au fanatisme peut-être, la haine des gothiques préjugés, qu'on ne pourrait ramener sans bouleverser de nouveau l'état, le vœu si hautement manifesté pour une constitution qui consolidera le trône en assurant les droits du peuple, la douleur profonde qu'inspire à tout bon Français la désolation de notre patrie ; voilà les sentimens et les opinions qu'on s'est plu à reconnaître dans le Nain Jaune ; voilà mes sentimens et mes opinions. Je ne prétends point pour cela me donner les honneurs de la rédaction : je n'y ai qu'une bien faible part ; mais si des articles écrits dans ce sens sont des crimes, je suis bien criminel, car je les ai adoptés avec empressement lorsque je ne les ai pas provoqués. J'ai cru et je crois encore qu'un journal constitutionnel, qu'on appelle journal d'opposition, était indispensable dans un état vraiment libre ; qu'une feuille où l'on trouvait tout à la fois courage, patriotisme et gaîté était une feuille essentiellement française ; je l'ai cru, et je persiste à croire que la suppression d'une pareille feuille serait un attentat à la liberté de la presse et une insulte faite à la nation elle-même.
   Je devais cette profession de foi au public et à moi-même ; je dois maintenant quelques explications à mes abonnés. Le désir de satisfaire aux engagemens que j'ai pris avec eux, est un des motifs qui m'engagent à mettre au jour cette brochure : elle leur tiendra lieu des numéros qui leur manquent. J'espère que la défense qui s'oppose à la publication du Nain Jaune sera bientôt levée ; et je fonde cette espérance sur la justice des tribunaux et des deux chambres, qui ne permettront pas qu'un citoyen soit arbitrairement dépouillé de sa propriété ; je la fonde sur la bonté et sur l'équité du roi, à qui cet écrit fera sans doute connaître l'acte illégal par lequel ses ministres osent donner un démenti à son ordonnance.
   Si contre mon attente et contre toute justice, je ne puis rentrer dans une propriété dont l'acquisition et l'agrandissement m'ont forcé à des sacrifices considérables, je me réserve de dédommager mes souscripteurs d'une autre manière. Quant aux personnes avec lesquelles j'ai contracté des engagemens pécuniaires, qu'elles ne soient pas moins tranquilles : tout ce que je possède sera consacré à l'acquit de mes dettes ; et si la nécessité de vendre dans un moment aussi peu favorable, me réduit à une honorable pauvreté, je me consolerai par le témoignage de ma conscience, et par ce témoignage de mes concitoyens. Lorsque tant d'illustres auteurs ont fait leur fortune en écrivant de dangereux mensonges, il a perdu la sienne en publiant d'utiles vérités.
Bibliographie :
   Vicaire (Georges), Manuel de l'amateur de livres du XIXe siècle (1801-1893), tome VI, col. 21-22.

70 euros (code de commande : 01701).

 

CHANGEUX (Jean-Pierre, dir.) — Fondements naturels de l'éthique. Traductions et présentation de Marc Kirsch. Paris, Éditions Odile Jacob, 1993. In-8° (145 x 220 mm.) collé, 334 p., exemplaire en très bon état. 


En quatrième de couverture :
   Sur quoi reposent les normes éthiques ? Comment expliquer l'universalité de l'exigence morale chez les hommes en dépit des différences qui séparent les mœurs ? Les sciences biologiques, à défaut de fonder une morale naturelle, peuvent-elles indiquer des voies de recherche ?
   Sur ce thème, Jean-Pierre Changeux, l'auteur de L'Homme neuronal, aujourd'hui président du Comité national d'éthique, a réuni des philosophes, des psychologues, des anthropologues, des juristes, des neurobiologistes dans le cadre d'un grand colloque organisé en 1991 par la Fondation pour la recherche médicale.
   Cet ouvrage présente une synthèse de ces travaux particulièrement novateurs en France.
Table des matières :
   - Préface, par Jean-Pierre Changeux.
   - Introduction, par Marc Kirsch.
   Première partie. Éthique et évolution.
      - Une défense de l'éthique évolutionniste, par Michael Ruse.
      - Moralité et évolution humaine, par Allan Gibbard.
      - Règles de conduite et conduite de l'évolution, par Jérôme H. Barkow.
      - L'éthique comme besoin, par René Sève.
   Deuxième partie. Éthique, neurosciences, psychologie.
      - Comprendre les fondements natu­rels des conventions sociales et de l'éthique, données neuronales, par Antonio R. Damasio.
      - « Connaissance » morale chez le nourrisson, par David Premack.
      - Nature du traumatisme psychologique consécutif au viol, et quelques implications éthiques, par Nancy Wilmsen Thornhill.
   Troisième partie. Éthique et société.
      - Normativité biologique et normativité sociale, par Anne Fagot-Largeault.
      - Les éthiques naturalistes et le contrôle du conflit de groupe, par Colin Irwin.
      - Quelques raisonnements théoriques sur des raisonnements pratiques à propos du raisonnement théorique, par Scott Brewer.
      - Nature et fondements du raisonnement social dans l'enfance, par Elliot Turiel.
      - Remarques anthropologiques sur le rela­tivisme moral, par Dan Sperber.

Vendu.

 

CHESTOV (Léon) — La philosophie de la tragédie (Dostoïevsky et Nietzsche) - Sur les confins de la vie (L'apothéose du déracinement). Traduits et précédés de Lecture de Chestov, par Boris de Schloezer. Paris, Flammarion, 1966. In-8° (150 x 208 mm.) broché, 353 p. 


En quatrième de couverture :
   Léon Chestov est né à Kiev le 13 février 1866. C'est dans cette ville et à Moscou qu'il fit ses études secondaires et supérieures. À l'Université, il suivit tout d'abord des cours de mathématiques, mais abandonna bientôt les sciences exactes pour s'inscrire à la Faculté de Droit. Il ne se tourna vers la philosophie que lorsqu'il eût terminé ses études universitaires.
   Son premier livre, Shakespeare et son critique Brandès parut en 1898 à Saint-Pétersbourg. Puis parurent, à intervalles assez réguliers : L'idée du Bien chez Tolstoï et Nietzsche (Philosophie et prédication), La Philosophie de la tragédie (Dostoievsky et Nietzsche). Sur les confins de la vie (l'Apothéose du déracinement), Les Commencements et les Fins, et en 1910 Les Grandes Veilles.
   Durant toute cette période Léon Chestov vécut en partie à l'étranger, en Italie, en Suisse et en Allemagne. Entre 1908 et 1914 il ne fit que de courts séjours en Russie, s'étant établi à Fribourg-en-Brisgau, et ensuite de 1910 à 1914 à Coppet, au bord du lac Léman. En 1914 il rentra en Russie et se fixa à Moscou. Chassé par la révolution, il quitta la Russie en janvier 1920 et après un court séjour en Suisse vint s'installer à Paris. Désormais il ne quittera la France que pour faire des tournées de conférences en Allemagne, en Hollande, en Suisse, en Palestine.
   Après la guerre 1914-1918 parurent, en russe : Le Pouvoir des Clefs (Berlin, 1923), Sur la Balance de Job (Paris, 1929), Kierkegaard et la Philosophie existentielle (Paris, 1939), Athènes et Jérusalem (Paris, 1952), Spéculations et Révélations (Paris, 1965), Sola Fide (Luther et l'Église), (Paris, 1966).
   C'est vers 1920 qu'on commença à traduire l'œuvre de Léon Chestov dont une grande partie a été publiée en français, en allemand, en anglais, en espagnol et en italien.
   Léon Chestov a été professeur de philosophie auprès de l'Institut d'Études Slaves à Paris où il faisait un cours chaque année.
   Léon Chestov est mort à Paris le 20 novembre 1938.

Vendu.

 

[COMINES-WARNETON]. Mémoires de la Société d'Histoire de Comines-Warneton et de la Région. Tome VIII. Fasc. 1 et 2. Comines-Warneton, Société d'Histoire de Comines-Warneton et de la Région, 1978. Deux volumes in-8° (158 x 240 mm.) brochés, 607 p. (pagination continue pour les deux volumes), illustrations, bon exemplaire.


Table des matières :
   - Préface, par P. Deyon.
   - Le travail et les hommes à Comines au XVIIIe siècle, par Ph. Toutain et D. Terrier.
   - La Société d'Histoire de Comines-Warneton et de la Région en 1977-1978, par J.-M. Duvosquel.
   - Les puits en bois tressé du vicus gallo-romain de Ploegsteert, par J. Bourgeois.
   - L'auberge du Chat à Comines-Belgique du XVe au début du XIXe siècle, par J. Roelandt.
   - Warneton, plaque tournante du commerce dans le nord-ouest de la Flandre au XVIe siècle ?, par J. Cassart.
   - La crise de 1740 et les pauvres à Comines, par J.-M. Duvosquel.
   - À propos du doxal de l'église d'Houthem au XVIIIe siècle, par J. Libon.
   - Les sapeurs-pompiers de Comines. Autour d'un anniversaire (1828-1978), par A. Schoonheere.
   - La diffusion d'un dictionnaire d'histoire et de géographie dans la région de Comines-Warneton en 1853, par F. De Simpel.
   - Aperçu historique des brigades de gendarmerie de la région de Comines-Warneton, par A. Vierstraete.
   - Le problème de la reconstruction provisoire à Comines-Belgique, Houthem et Bas-Warneton après la grande guerre, par Fl. Bourgeois.
   - Le problème de la reconstruction de Warneton après la guerre de 1914-191 8 et la vie des rapatriés, par R. Parez.
   - Au lendemain de la guerre de 1914-1918, Ploegsteert renaît de ses cendres, par J.-Cl. Walle.
   - Histoire de la salle du Cercle catholique - Comines-Belgique depuis 1925, par H. Lauraine.
   - L'économie de la région de Comines-Belgique (1963-1977). Démographie, logement, emploi, par A. Dujardin.
   - L'archéologie à Comines-Warneton et dans la région en 1977-1978, par J. Bourgeois, F. De Simpel, G. Lahouste et J. Morisse.
   - Chronique patoisante.

Vendu.

 

[COMMÈRE (Jean)] — Salve Regina. Bièvres en Essonne, Pierre de Tartas, 1977. In-4° (230 x 318 mm.) broché sous couverture rempliée et étui d'éditeur, 71 p., 36 lithographies (20 dans le texte en gris et 16 hors texte en couleurs), exemplaire numéroté sur Grand vélin de Lana (n° 997), signature de l'artiste reproduite sur la page de titre, exemplaire en bon état.

Couverture

 
Une des lithographies en couleurs.

30 euros (code de commande : 01700).

 

DAMBLY (Phil) — Vapeur en Belgique. Tome 1 : Des origines à 1914. Bruxelles, Blanchart & Cie, 1989. In-4° (219 x 306 mm.) sous cartonnage illustré d'éditeur, 244 p., nombreuses illustrations en noir, exemplaire en bon état.
   Un ouvrage peu courant.


Table des matières :
   - Avant-propos.
   - Un peu d'histoire.
   - La locomotive à vapeur.
      - La chaudière.
      - Le moteur.
      - Le véhicule.
      - Le tender.
   - Constructeurs belges de locomotives à vapeur.
   - Style et décoration.
      - L'aspect des locomotives.
      - Les livrées.
   - Classification et numérotation.
   - Période Stephenson (1835-1853).
   - Période expérimentale (1853-1860).
   - Première période Belpaire (1860-1884).
   - Locomotives des compagnies reprises de 1871 à 1882.
      - Société Générale d'Exploitation.
      - Grande Compagnie du Luxembourg.
      - Société Hesbaye-Condroz.
      - Compagnie de Saint-Ghislain à Erbisœul.
      - Compagnie de Virton.
      - Société de Turnhout.
   - Les voitures à vapeur Belpaire.
   - Deuxième période Belpaire.
   - Locomotives des compagnies reprises de 1896 à 1912.
      - Grand Central Belge.
      - Liégeois-Limbourgeois.
      - Compagnie d'Anvers à Gand.
      - Compagnie de Liège à Maestricht.
      - Société de la Flandre Occidentale.
      - Compagnie de Termonde à Saint-Nicolas.
      - Compagnie de Hasselt à Maeseyck.
   - Période Mclntosh (1898-1914).
   - Période de transition entre Belpaire et Flamme (1898-1905).
   - Période Flamme (1905-1914).

Vendu.

 

[DEGAS (Edgar)]. DEVONYAR (Jill) et KENDALL (Richard) — Degas et la danse. Paris, La Martinière, 2004. In-4° (250 x 306 mm.) sous reliure et jaquette d'éditeur, 303 p., très nombreuses illustrations en noir et en couleurs, exemplaire en bel état.
   Ouvrage publié à l'occasion de l'exposition Degas and the Dance organisée au Detroit Institue of Arts, du 20 octobre 2002 au 12 janvier 2003, puis au Philadelphia Museum of Art, du 12 février au 11 mai 2003.


Sur la jaquette :
   Edgar Degas était surnommé de son vivant « le peintre des danseuses ». L'artiste a en effet consacré plus de la moitié de son œuvre à la danse. Il a su observer les danseuses, les dessiner ou les peindre autant en représentation sur la scène que dans l'intimité chaleureuse des coulisses et des répétitions.
   Un long travail de dépouillement des archives de l'Opéra de Paris a permis à Richard Kendall et Jill DeVonyar, tous deux historiens d'art et conservateurs, de replacer le travail de Degas sur la danse dans son contexte historique et sociologique. À travers une analyse en profondeur de l'œuvre du peintre, cet ouvrage invite aussi à la découverte de l'Opéra de Paris et de l'univers de la danse et du ballet au XIXe siècle. Edgar Degas apparaît ici comme un artiste fasciné et passionné par le monde, mais également comme un homme sensible et proche de ses modèles.

Vendu.

 

DENUIT (Maurice) — Origine et souvenirs de nos vieux chemins. Préface : Paul Vanbellingen. Croquis de Fernand Liénaux. [Haine-Saint-Pierre], Cercle d'Histoire et de Folklore de Haine-Saint-Pierre et Haine-Saint-Paul, 1977. In-8° (210 x 240 mm.) broché, 168 p., illustrations, (collection « Publications du Cercle d'Histoire et de Folklore de Haine-Saint-Pierre et Haine-Saint-Paul », n° 13).


Préface :
   Il est inutile, croyons-nous, de présenter encore Maurice Denuit ; ses prestations au sein du Cercle Excelsior, ses activités dialectales et ses publications précédentes, tant historiques que folkloriques, sous les auspices du Cercle d'Histoire et de Folklore des deux Haine, l'ont fait connaître suffisamment auprès de toutes les couches de la population et aux quatre coins du pays wallon.
   Le présent livre, faisant suite logiquement mais d'une façon plus restreinte à La préhistoire dans le haut bassin de la Haine, est attendu depuis longtemps. Cet ouvrage copieusement documenté constitue pour les voies de communication terrestres de notre région, un véritable thésaurus dont découle tout naturellement l'histoire proprement dite des chemins des deux Haine et environs immédiats.
   Les jeunes lecteurs comprendront aisément le pourquoi de l'évolution de notre réseau routier, tandis que les plus âgés y trouveront en plus d'une source inépuisable de renseignements historiques, bon nombre d'anecdotes leur rappelant leur jeune temps et celui un peu plus lointain qui leur fut conté par leurs parents.
   Nos jeunes saisiront aussi mieux la signification de certains lieux-dits inexplicables étymologiquement ou au vu de l'entourage actuel. Les plus âgés de nos lecteurs se remémoreront sans aucun doute, avec nostalgie l'état d'anciens quartiers des deux communes avant les changements consécutifs au tracé des lignes de chemin de fer, à l'établissement ou à la disparition des terrils, à l'érection des nombreuses usines ou au détournement de certaines artères pour des raisons de génie civil ou d'urbanisme.
   Les chercheurs trouveront, au surplus, dans l'ouvrage de M. Denuit une excellente base de départ pour tout travail similaire consacré à l'étude des voies de communication des communes circonvoisines.
   L'exemple de M. Denuit sera retenu et, nous le croyons, d'autres travaux suivront pour compléter cette histoire locale dont les riches filons sont loin d'être épuisés.
   Ces filons, il ne faudra pas les abandonner, même si leur exploitation s'avère plus difficile.
   Il suffit d'oser entreprendre, d'y ajouter un peu de bonne volonté et on sera très vite pris au jeu.
   Il est à souhaiter que la relève ne se fasse pas attendre.

Vendu.

 

[DU BRŒUCQ (Jacques)]. WELLENS (Robert) — Jacques Dubrœucq. Sculpteur et architecte de la Renaissance (1505-1584). Bruxelles, La Renaissance du Livre, 1962. In-8° (124 x 190 mm.) broché sous couverture à rabats, 149 p., (collection « Notre Passé »), exemplaire et bon état, peu courant.


Table des matières :
   Chapitre I. Vie et carrière artistique de Jacques Du Brœucq.
   Chapitre II. Le jubé de la Collégiale de Sainte-Waudru à Mons.
   Chapitre III. La part prise par Jacques Du Brœucq dans l'ameublement des chœurs de Sainte-Waudru et de Saint-Germain.
   Chapitre IV. Les derniers travaux pour Sainte-Waudru.
   Chapitre V. L'activité artistique de Jacques Du Brœucq dans le Nord de la France. Les sculptures de Saint-Omer.
   Chapitre VI. Œuvres de maîtres locaux attribuées à Jacques Du Brœucq.
   Chapitre VII. L'œuvre architecturale de Jacques Du Brœucq : Palais, Châteaux, Hôtels de Ville.
   Chapitre VIII. La synthèse de l'œuvre de Jacques Du Brœucq.
   Chapitre IX. La place de Jacques Du Brœucq dans l'Histoire générale de l'art.
   - Index chronologique.
   - Bibliographie.

Vendu.

 

DUCROT (Brigitte) — Porcelaines et terres de Sèvres. Préface de Jean-Marie Moulin. Paris, Réunion des Musées Nationaux, 1993. In-4° (210 x 270 mm.) broché, 477 p., illustrations en noir et en couleurs.
   
Il s'agit du catalogue du Musée National du château de Compiègne : une précieuse source de documentation !


En quatrième de couverture :
   Le présent catalogue aborde pour la première fois l'étude de toutes les pièces (vases, coupes, sculptures, objets de service, de toilette et de garde-robe) en porcelaine et terre produites par la Manufacture de Sèvres et entrées depuis le Premier Empire au palais de Compiègne.
   Il se subdivise en quatre parties correspondant chacune à une époque importante de l'histoire de cette ancienne résidence royale et impériale (Premier Empire, Restauration et Louis-Philippe, Second Empire et enfin de 1870 à nos jours).
   Le Second Empire se démarque tant par la quantité que par la qualité des objets nécessaires lors des séjours annuels de la cour.
   La collection du musée national du château de Compiègne permet donc d'évoquer la production de la célèbre manufacture sur plusieurs décennies, d'en souligner les courants artistiques, de montrer la diversité des formes et des décors. En effet, elle comporte les pièces d'usage quotidien les plus humbles et les vases les plus recherchés, dont quelques-uns présentés aux expositions universelles. De plus, son attrait tient autant dans sa valeur artistique que dans la volonté qui a présidé au choix des objets qui la composent : tous contribuaient au cadre de vie des souverains. Souvenirs d'une époque révolue, ils sont aussi les derniers témoins d'un art de vivre oublié. Aujourd'hui, certains ont retrouvé leur place d'origine et sont exposés au public dans le cadre pour lequel ils furent livrés.

50 euros (code de commande : 01689).

 

EINSTEIN (Albert) — La théorie de la relativité restreinte et généralisée (mise à la portée de tout le monde). Traduit d'après la dixième édition allemande par Mlle J. Rouvière. Avec une préface de M. Émile Borel. Paris, Gauthier-Villars et Cie, Éditeurs, 1921. In-8° (123 x 187 mm.) sous plein simili tabac (reliure de L. Vander Heyden et fils, à Bruxelles), couverture conservée, XXII, 120 p., annotations manuscrites, exemplaire en bon état. 


Préface de l'auteur :
   Le but de ce petit Livre est de permettre a ceux qu'intéresse la théorie de la relativité, aux points de vue scientifique et philosophique, d'en acquérir une connaissance aussi exacte que possible, même s'ils ne possèdent pas l'appareil mathématique de la physique théorique. Sa lecture demande une certaine maturité d'esprit et, malgré le petit nombre de pages de ce Livre, exigera du lecteur un certain effort de patience et de volonté. L’auteur a pris le plus grand soin de présenter les idées fondamentales aussi clairement et simplement que possible dans l'ordre où elles ont pris naissance. Pour la clarté de l'expose il m'a paru nécessaire de me répéter souvent sans m'inquiéter nullement de l'élégance ; sous ce rapport j’ai suivi scrupuleusement le conseil du théoricien de génie L. Boltzmann qui était d'avis « qu'on laisse aux tailleurs et aux cordonniers les soucis d'élégance ». Je ne crois pas avoir caché au lecteur les difficultés que soulève cette question. C’est intentionnellement que j’ai omis les bases empiriques et physiques de la théorie afin de ne pas dérouter les lecteurs qui ne sont pas initiés à la Physique. Puisse ce petit Livre procurer à plusieurs quelques bonnes heures intéressantes.

Vendu.

 

[ÉTATS-UNIS D'AMÉRIQUE - SYNDICALISME]. Les syndicats américains. ... leur rôle dans le monde libre. [Washington], [Service d'information des États-Unis], [1951]. In-4° (179 x 262 mm.) agrafé, 46 p., illustrations en noir, couverture un peu défraîchie.
   
Une publication fort rare !


En guise d'introduction :
   Les travailleurs libres d'Europe, d'Asie et d'Afrique s'unissent pour obtenir, pour eux et leurs familles, les bénéfices d'un syndicalisme fort et indépendant. Dans certaines parties du monde libre, le problème qui se pose pour les travailleurs libres, c'est de traduire les progrès techniques par de nouveaux progrès humains ; dans d'autres régions, c'est de réaliser tout d'abord des progrès techniques, puis de s'en servir pour supprimer la pauvreté et l'exploitation. Mais, pour tous, le but essentiel est d'assurer aux travailleurs la justice et la sécurité, puis d'édifier un monde pacifique où la dictature, à l'intérieur, et l'agression, à l'extérieur, ne puissent menacer ces avantages durement acquis.

15 euros (code de commande : 01684).

 

GARRETT (Richard) — The Final Betrayal. The Armistice 1918... And Afterwards. Southampton, Buchan & Enright, 1989. In-8° (163 x 240 mm.) sous reliure et jaquette d'éditeur, 260 p., illustrations hors texte, quelques soulignements et annotations à l'encre rouge.


Sur la jaquette :
   This year [1989] marks two unhappy events in modern history : the 50th anniversary of the outbreak of the Second World War, and the 75th anniversary of the First. On 11 November 1918, the fighting on the Western Front stopped, producing a respite that lasted for 21 years. The Allied statesmen congratulated themselves, and in time the soldiers – or most of them – came home to face the uncertainties of civilian life.
   Peace was to prove no more than an interlude, however. Germany had not been decisively defeated in the field ; she had been destroyed by a sickness from within. The spark of German militarism had not been extinguished, for it smouldered on until, in the 1930s, it was fanned into flame by the Nazis. In effect, the Armistice of 1918 came to an abrupt end on 3 September 1939. The intervening years were no more than a long truce, affording time in which to develop the technology of destruction – tanks, aircraft, submarines, munitions among them – innovations from the Great War which, in 1918, had not yet reached maturity.
   How and why, therefore, did the Great War end, and what happened afterwards ? What was there to celebrate in November 1918 ? At the time, there seemed to be much cause for rejoicing – or so it appeared to many people. In this remarkable new study, Richard Garrett examines the Armistice itself and the events leading up to it, including the « false Armistice » that, through a dreadful mistake, took America by storm. He contrasts the attitudes of the troops at the Front, mostly too exhausted to celebrate, with the wild and sometimes even disgraceful scenes « at home » or away from the fighting ; and details the Spanish 'Flu epidemic – which killed more people than the war itself ; the appalling wrangling over treaties as the Allies divided the spoils ; and the scuttling of the German High Seas Fleet, interned in Scapa Flow. Here also are the effects of the Great War in Britain, France, Belgium, Germany, and the USA ; the Victory Processions and the doling-out of honours ; the huge task of identifying and commemorating the dead, and the meagre assistance given to the injured or the bereaved ; the mutinies, medals and monuments ; the instigation of the Unknown Warrior ; the glorification of death ; and the sheer humbug so often displayed.
   The Great War appeared to end at the eleventh hour of the eleventh day of a sepia November, but its effects live on. The Final Betrayal provides a penetrating insight into the times, based on modern research and contemporary accounts. It is the tragic history of nations that came to believe, quite wrongly, that their work had been completed; above all, it is a lament for folly, and the story of a dawning sense of betrayal among those who survived « the war that will end wars ».

Vendu.

 

GIGON (Fernand) — Formose ou Les tentations de la guerre. Paris, Nouvelles Presses Mondiales, 1955. In-8° (175 x 233 mm.) broché sous jaquette (défraîchie) d'éditeur, 187 p., illustrations en noir et en couleurs hors texte, (collection « Documents du Monde »).


Table des matières :
   - Avertissement au lecteur.
   - Faudra-t-il mourir pour Formose ?
   - Tapei en uniforme kaki.
   - Les Chiang Kai Shek.
   - Les Américains colonisent Formose.
   - Les Anglais font les affaires.
   - La librairie de l'UNESCO.
   - L'armée de terre, de mer et de l'air.
   - Face à la Chine rouge.
   - Le Credo du Kuomingtang.
   - Voici venu le temps de la guerre tiède.
   - Les Chinois d'outremer ou les frères divisés.
   - Chiang Kai Shek fait front.
   - Riz, ananas et cannes à sucre.
   - L'île des orchidées et des yamis.
   - Voici des dates, voici des faits.
   - L'histoire continue.
   - Alerte aux « Tachen ».
   - Le sort de Formose.
   - Conclusion.

10 euros (code de commande : 01697).

 

GIRAUDOUX (Jean) — Adieu à la guerre. Paris, Bernard Grasset, 1919. In-4° (202 x 292 mm.) broché sous couverture rempliée, 27 p., exemplaire numéroté sur velin du Marais (n° 327), vignette de la justification du tirage par Maxime Dethomas.
    Édition originale, numérotée par l'éditeur et signée de ses initiales.



Extrait de l'article de Nicolas Beaupré :
   La fermeture de la parenthèse guerrière cristallise des attentes jusqu’alors certes grandes mais encore confuses.
   Jean Giraudoux raconte cette fermeture de la parenthèse dans son Adieu à la guerre, paru en 1919 et écrit au moment de sa démobilisation. Il tente de répondre aux questions qu’il se pose lui-même : « Comment la guerre commença ? » « Comment la guerre se passa ? » Surtout, Jean Giraudoux écrit qu’avec la fin de la guerre, il reprend sa « vraie distance de la mort » et se retrouve « pour la première fois depuis cinq ans […] sans arme », et sans ennemi autre que lui-même. Il conclut : « Il est midi. Un vent léger remue les platanes ; en appuyant du doigt sur son œil, on voit toute chose avec un contour doré ; le vin est rose dans les carafes ; la nappe est blanche sous l’argent et sous les cerises… Ce que je fais ? Ce que je suis ? Je suis un vainqueur, le dimanche à midi. »
Bibliographie :
   - Beaupré (Nicolas), « La guerre comme expérience du temps et le temps comme expérience de guerre. Hypothèses pour une histoire du rapport au temps des soldats français de la Grande Guerre », dans Vingtième Siècle. Revue d'histoire, 2013/1 n° 117, pp. 166-181.

 

Vendu.

 

GROLLET (Camille) — L'électricité. Ses applications pratiques. Par le docteur Camille-Grollet. Paris, Degorce-Cadot, 1883. [Paris. / A. Degorce-Cadot, Éditeur. / 9, rue de Verneuil, 9. / Droits de traduction et de reproduction expressément réservés. / 1883] In-8° (120 x 183 mm.) plein chagrin vert bouteille d'époque, dos à 4 nerfs, [2 bl.], [3 (faux-titre, catalogue de l'éditeur, titre)], [1 bl.], X, 340 p., illustrations dans le texte, (collection « Bibliothèque de Vulgarisation »), rousseurs.


   Avec une émouvante dédicace de l'auteur à ses parents.


Texte de la dédicace :
   Chers parents bien aimés,
   C'est à vous que je dois de faire paraître ce livre. Puisse-t-il être signe de vos rudes labeurs et des sacrifices si nombreux que vous n'avez cessé de vous imposer depuis tant d'années.
   Camille-Grollet.
   Paris, ce 29 janvier 1883
Avant-propos :
   Nous avons pour but, en publiant ce livre, de populariser la science, et selon les expressions récentes d'un de nos illustres maîtres, M. Camille-Flammarion, « la rendre accessible, sans la diminuer ni l'altérer, à toutes les intelligences qui en comprennent la valeur et veulent bien se donner la peine d'apporter quelque attention aux études sérieuses. »
   De toutes les nombreuses ramifications de la science, l'électricité est celle qui, surtout depuis un demi-siècle, a le plus particulièrement préoccupé les esprits et des savants et de ceux même qui sont peu au courant des progrès scientifiques.
   Pendant que les Galvani, les Volta, les Œrsted et tant d'autres dont nous aurons à citer les noms à mesure que nous avancerons dans l'histoire de l'électricité, faisaient des découvertes, bâtissaient dos théories, et frayaient le chemin à la télégraphie, à la lumière, aux chemins de fer, à la navigation et à l'aérostation électriques, les hommes étaient étonnés et allaient jusqu'à nier la possibilité de telles inventions.
   Il fallut bien, à la fin, se rendre à l'évidence, quand, à l'exemple du Thomas de l'Évangile, on eût vu et touché.
   Mais l'électricité, aussi étonnante qu'elle soit dans ses applications variées, n'a pas fini ses conquêtes ; elle veut tout soumettre, tout réduire sous son pouvoir. Ses domaines d'abord si restreints se sont agrandis considérablement : aujourd'hui c'est une puissance avec laquelle il faut compter ; demain, elle sera aussi vaste que le monde et tout lui sera soumis. Elle régnera en maîtresse sur la terre et dans ses entrailles, sur les mers et au fond des océans, aussi bien qu'au milieu des airs.

Vendu.

 

[HAINAUT]. Albums de Croÿ. Tome V : Comté de Hainaut II : Généralités : Officiers Héréditaires, pairies, bannerets et villes. Bruxelles, Crédit Communal de Belgique, 1987. In-4° (255 x 345 mm.) sous reliure et jaquette d'éditeur, 286 p., illustrations en noir et en couleurs dont 83 planches à pleine page, plans, cartes.


Table des matières :
   - Les Albums du duc Charles de Croÿ, par Jean-Marie Duvosquel.
   - Les offices héréditaires du comté de Hainaut, par Marinette Bruwier.
   - Pairs et bannerets du comté de Hainaut, par Maurice-A. Arnould.
   - Les villes en Hainaut, des origines à la fin du XVIe siècle, par Léon Zylbergeld.
   - Historique et description des Albums publiés, par Eva Irblich.
   Planches :
   Commentaires par Gérard Bavay, Jacques Buchin, Jean Dugnoille, Cécile Dumont, Philippe Jacquet, Luc Lowagie, Jacques Nazet, Christiane Piérard, Gaston Renson, Edmond Rustin, Jacques Thiébaut, Christiane Van den Bergen-Pantens et Michel de Waha : 1. Page de titre annonçant les six officiers héréditaires du comté de Hainaut. Verchain - 2. Houdeng-Aimeries - 3. Beaurieux - 4. Péruwelz - 5. Raismes - 6. Berlaimont - 7. Page de titre annonçant les douze pairies du comté de Hainaut - 8. Armes des Croÿ - 9. Armes des douze pairies du comté de Hainaut - 10. Armes des douze pairies du comté de Hainaut (suite) - 11. Avesnes - 12. Chimay - 13. Barbençon - 14. Chièvres - 15. Lens-en-Hainaut - 16. Le Rœulx - 17. Baudour - 18. Walincourt - 19. La Longueville - 20. Silly - 21. Quévy-le-Petit - 22. Rebaix - 23. Page de titre annonçant la fin des douze pairies et le début des vingt-deux bannerets du comté de Hainaut - 24. Armes des vingt-deux bannerets du comté de Hainaut - 25. Enghien - 26. Havré - 27. Antoing - 28. Fontaine-Valmont - 29. Quiévrain - 30. Leuze - 31. Ligne - 32. Verchain - 33. Lahamaide 34. Berlaimont - 35. Ville-Pommerœul - 36. Gommegnies - 37. Montignies-Saint-Christophe - 38. Lallaing - 39. Condé-sur-1'Escaut - 40. Hordain - 41. Belœil - 42. Fagnolle - 43. Bousies - 44. Roisin - 45. Fresnes - 46. Harchies - 47. Page de titre annonçant les villes du comté de Hainaut - 48. Armes des villes du comté de Hainaut - 49. Mons - 50. Valenciennes - 51. Ath - 52. Maubeuge - 53. Binche - 54. Le Quesnoy - 55. Braine-le-Comte - 56. Enghien - 57. Beaumont - 58. Bouchain - 59. Avesnes - 60. Bavay - 61. Le Rœulx - 62. Chièvres - 63. Condé-sur-1'Escaut - 64. Hal - 65. Chimay - 66. Soignies - 67. Landrecies - 68. Lessines - 69. Leuze - 70. Saint-Ghislain - 71. Pecquencourt - 72. Page de titre annonçant les villes de Mariembourg et Philippeville - 73. Mariembourg - 74. Philippeville - 75. Page de titre annonçant la ville de Fontaine-l'Évêque - 76. Armes de Fontaine-l'Évêque - 77. Fontaine-l'Évêque - 78. Description des environs de Fontaine-l'Evêque - 79. Mariembourg - 80. Planche finale - Annexes - 81. Chièvres - 82. Le Rœulx.
   - Index des noms de lieux.
   - Table de concordance.

Vendu.

 

HENNEBERT (Henri) — L'Hôtel de Ville de Mons. Mons, Éditions Saint-Georges, 1949. In-8° (140 x 200 mm.) broché, 71 p., illustrations, exemplaire en parfait état.


Historique :
   À l'origine de son organisation communale, Mons avait un Hôtel de Ville appelé « Maison de la Paix ». Les échevins siégeaient auparavant au Château des Comtes de Hainaut. Le Général de Haene rappelle que c'est la communauté de Sainte-Waudru qui a institué l'échevinage, et se demande s'il ne faudrait pas plutôt supposer que le siège de la magistrature locale était situé non loin de l'enclos du Chapitre, et en tout cas, à l'intérieur de l'enceinte de Baudouin V, là où se trouvait le noyau de la cité.
   Déjà, en 1292, plusieurs comptes mentionnent la Maison de la Paix comme étant située à front de la rue de Nimy.
   Augustin Lacroix, citant des textes de 1292, conclut que ces mentions fournissent la preuve qu'il existait en même temps deux Hôtels de la Paix, l'un dans la rue de Nimy, qui est le plus ancien, le second sur le marché.
   Par acte daté du 25 juillet 1295, Jean dit Vilains dou Markiet, bourgeois de Mons et Maroie des Peis, sa femme, donnèrent à la ville de Mons leur manoir et deux pièces de terre, pour y ériger un hôpital après leur décès. C'est à peu près à l'endroit où se trouve la cour intérieure de l'Hôtel de ville actuel que fut installé un établissement hospitalier pour héberger les pèlerins et les étrangers pauvres, de passage à Mons.
   Guillaume Ier, comte de Hainaut, par un acte de 1323, constate l'inutilité de cette maladrerie et accorde aux échevins l'autorisation d'ériger sur son emplacement la Maison de la Paix.
   De 1323 à 1348, on constate la construction d'une maison dite « Maison de Ville » sur l'emplacement précité. Un de nos chroniqueurs pense que la première Maison de la Paix du Markiet aurait été rectangulaire, située presque à front de rue et perpendiculaire à celle-ci. Elle aurait occupé à peu près l'emplacement de la Salle des Sacquiaux et de la Salle du Conseil communal d'aujourd'hui. Il s'agissait d'un bâtiment construit en pierres et briques à la base, la superstructure étant en bois.  

10 euros (code de commande : 01687).

 

JASSOGNE (Christian, dir.), DE WULF-CARLIER (Isabelle) et LEFÈVRE-LEMAÎTRE (Raymonde) — 1717-2017 : trois siècles de Franc-Maçonnerie obédentielle. Mons, Éditions Universitaires UMons, [2023]. In-8° (167 x 239 mm.) collé, 321 p., illustrations. 


En quatrième de couverture :
   En 1721 est fondée, à Mons, la plus ancienne loge maçonnique de Belgique : La Parfaite Union. À l’occasion de son 300e anniversaire, Christian Jassogne, Isabelle De Wulf-Carlier et Raymonde Lefèvre-Lemaître brossent, à travers Trois siècles de franc-maçonnerie obédientielle, le portrait d’un ordre, d’une société à la fois initiatique et philosophique. Chacune et chacun, appartenant ou non à la franc-maçonnerie, y trouveront sans aucun doute de nouvelles lumières et des réponses aux questions qu’elles ou ils se posent.

Vendu.

 

LEMAIRE (Jean) — Faïence et porcelaine de Bruxelles. Avec la collaboration de Sébastien Clerbois, Guido De Vleeschouwer, Michel Pinckaers, Baudouin van Steenberghe. Photographies de Hugo Maertens. Bruxelles, Éditions Racine, 2003. In-4° (247 x 267 mm.) sous reliure et jaquette illustrée d'éditeur, 167 p., nombreuses illustrations en couleurs. 


En quatrième de couverture :
   En 1922, Georges Dansaert publiait une vaste somme, Les anciennes faïences de Bruxelles : histoire, fabrication, produits, premier véritable catalogue des formes et des décors. Lowet de Wotrenge dans son Essai sur la porcelaine dite de Bruxelles, paru en 1931, réalisait la même démarche pour la porcelaine.
   Depuis bientôt un siècle, la découverte de nouvelles archives et, surtout, la pratique des professionnels, antiquaires ou musées, ont révolutionné peu à peu les connaissances sur le sujet alors qu'aucune publication importante n'y était consacrée.
   Le présent ouvrage a pour ambition de proposer à l'amateur et au collectionneur un récapitulatif général de l'histoire des manufactures bruxelloises tenant compte des dernières découvertes en la matière.
   Une abondante iconographie de plus de 250 documents vient étayer le propos de l'auteur. Elle est composée notamment d'archives, parfois inédites, comme celles de la maison Demeuldre, héritière de la dernière manufacture de porcelaine de la capitale, et de reproductions de fleurons de trois musées nationaux : le musée de la Ville de Bruxelles (Maison du Roi, Grand-Place), les Musées royaux d'Art et d'Histoire et le musée François Duesberg à Mons. En outre, l'ouvrage propose une sélection de pièces provenant de prestigieuses collections privées, dont celle du Palais royal de Bruxelles.

Vendu.

 

[LÉNINE (Vladimir Ilitch Oulianov, dit)] — Correspondance entre Lénine et Camille Huysmans 1905-1914. Documents recueillis et présentés par Georges Haupt. Préface de Camille Huysmans. Paris - La Haye, Mouton & C°, 1963. In-8° (163 x 240 mm.) broché, 164 p., (collection « École Pratique des Hautes Études - Sorbonne VIe Section - Sciences Économique et Sociales »), exemplaire revêtu de la couverture des édition Labor, couverture un peu défraîchie.


En quatrième de couverture :
   La correspondance entre Lénine et Camille Huysmans permet de renouveler dans une certaine mesure notre connaissance des relations entre le groupe bolchevik et la IIe Internationale, question qui fut longtemps obscurcie par des interprétations tendancieuses. Non seulement elle permet de suivre le mécanisme intérieur de la IIe Internationale, mais elle jette aussi une lumière sur les relations du B.S.I. avec un parti national des plus importants : le P.O.S.D.R. Les documents que nous présentons apportent la lumière sur des questions fondamentales : la place que le problème de la révolution et de l'unité socialiste russe occupait dans les préoccupations du B.S.I., les difficultés qu'il souleva, et aussi l'incompréhension de l'Internationale face à ces questions qui furent à la base de la scission et des divergences dans les rangs de la social-démocratie ; incompréhension qui poussa également les bolchéviks à raidir leur opposition, bien que rien ne laisse encore supposer, dans l'ensemble de ces textes, la virtualité d'une rupture entre Lénine et la IIe Internationale.
   Il s'agit d'une correspondance suivie qui couvre une période allant de 1905 à 1914 et dont une grande partie est restée jusqu'à aujourd'hui inédite.

12 euros (code de commande : 01706).

 

[LIVRE]. Archives et bibliothèques de Belgique - Archief- en bibliotheekwezen in België. 1988 - T. LIX - N° 1-2. Bruxelles, Archives et Bibliothèques de Belgique, 1988. In-8° (160 x 245 mm.) broché, 201 p., couverture un peu défraîchie.


Sommaire :
   - Articles.
      - Instantané d'une bibliothèque publique : la bibliothèque de la ville de Tournai, par V. Delannay.
      - Medieval Netherlandic manuscripts in the Huntington Library (San Marino, California), par Ph. E. Webber.
      - Les fichiers d'autorité « Auteurs » : des nécessités théoriques aux décisions pratiques, par G. Biart.
      - Problèmes de constitution d'un fichier d'autorité « Auteurs », par Ch. Libon.
      - Les pièges du classement alphabétique, par J.-F. Gilmont.
      - Les catalogues de vente du XVIIIe siècle nous répondent, par M. Marion.
      - Library developments in Australia : 1986, par C. Steele.
      - Les bibliothèques de Liège de 1789 à 1914, par M. Verbeeck.
      - De historische belangstelhng in Bénélux en de historische tijdschriften, par P. Lenders.
   - Chronique des bibliothèques, par W. Verbeke (réd.) et collab.
      I. Algemene werken.
      II. Codicologica.
      III. Boek- en bibliotheekgeschiedenis
      IV. Moderne handschriftencatalogen.
      V. Tentoonstellingen.
      VI. Studies en uitgaven.
   - Comptes rendus.

8 euros (code de commande : 01677).

 

[LOUP DE FERRIÈRES (dit Loup Servat)]. Lettres de Servat Loup abbé de Ferrières. Texte, notes & introduction par G. Desdevises du Dezert. Paris, F. Vieweg, 1888. In-8° (168 x 251 mm.) broché, 236 p., (collection « Bibliothèque de l'École des Hautes Études publiée sous les auspices du Ministère de l'Instruction publique - Sciences Philologiques & Historiques » 77e fascicule).


Extrait de l'article d'Achille Le Vavasseur :
   M. G. Desdevises du Dézert a youIu établir un classement chronologique des lettres de Loup, abbé de Ferrières, en prenant pour base de son travail la vie même de cet abbé, dont les principales circonstances sont, dit-il, suffisamment connues. Dater d'une manière à peu près certaine cent trente lettres, dont la plupart ne portent aucune indication de nature à limiter les recherches, est une tâche extrêmement délicate, surtout si l'on considère que ces lettres remontent au IXe siècle. Pour l'entreprendre, il fallait une louable persévérance et une sagacité dont M. Desdevises du Dézert donne maintes preuves, bien qu'il se soit parfois heurté, presque fatalement, à des difficultés insurmontables. [...]
   Le travail de M. Desdevises du Dézert [...] met à la portée de tous les travailleurs des textes qui jettent quelque lumière sur les études favorites des moines du IXe siècle et sur la vie monastique en général. Loup de Ferrières a été en relations avec plusieurs des principaux personnages de son temps, Einhard, Raban Maur, Hincmar, et s'est trouvé mêlé à quelques événements importants dont on retrouve la trace dans ses lettres. M. Desdevises du Dézert a pris soin, de nous renseigner sur les correspondants de Loup de Ferrières et de faciliter ainsi l'intelligence des Lettres éditées par lui.
Bibliographie :
   - Le Vavasseur (Achille), « Lettres de Servat Loup, abbé de Ferrières », dans Bibliothèque de l'école des chartes, Année 1889 - Volume 50 - N° 1 pp. 97-101.

30 euros (code de commande : 01683).

 

MARTEAUX (Pierre) — Diables rouges diables bleus à l'Hartmannswillerkopf. Préface du général Weygand. Paris, Payot, 1937. In-8° (142 x 228 mm.) broché, 214 p., illustrations hors texte, (« Collection de Mémoires, Études et Documents pour servir à l'Histoire de la Guerre mondiale »), ex-libris manuscrit à la page de titre, exemplaire en bon état.


Préface :
   Ce livre est l'œuvre d'un soldat témoin et acteur dans les événements dont il retrace l'histoire, ces combats pour l'Hartmannswillerkopf où tant d'ardeur fut dépensée, tant de sang répandu, et qui nous coûtèrent l'un de nos plus beaux régiments et l'un des jeunes chefs en qui l'armée mettait le plus d'espoirs. Acteur aussi fut le délicat artiste et vaillant officier qui a illustré ces pages.
   Cet ouvrage est le premier qui, après l'avoir située dans son cadre général, donne le récit complet de la lutte soutenue pour ce mamelon dont le nom, devenu cher aux cœurs français, a paru si souvent dans les communiqués de l'année 1915. L'auteur n'a pas consulté seulement ses souvenirs et nos propres archives, il a également puisé aux sources allemandes. Il a pu de la sorte faire, de ces opérations et de ces combats, un récit complet et vivant, dont la précision et la documentation ne diminuent pas la vivacité et la chaleur.
   Le sommet du précieux observatoire, qui domine la plaine alsacienne, nous fut enlevé par une attaque allemande dès les premiers jours de janvier 1915. Faute de méthode et malgré la plus folle bravoure, nos troupes n'arrivèrent point à le leur reprendre jusqu'au jour où le 152e régiment d'infanterie, amené par le général Serret, s'en empara de nouveau en deux courtes attaques fort bien menées les 23 et 26 mars. Ce fut alors aux Allemands d'essayer de nous en chasser ; après bien des essais infructueux, ils y parvinrent à deux reprises au cours des mois de septembre et d'octobre, mais des contre-attaques immédiates les rejetèrent dans leurs lignes. « La rapidité est une des formes de l'énergie », était une formule familière à l'ardent général Serret. Enfin, le 21 décembre, fut lancée la dernière attaque française plus large que les autres, rapide, brillante, heureuse – hélas ! pour un jour seulement. Le commandement allemand, prévenu, avait préparé sa riposte. Il déclencha le lendemain une contre-attaque foudroyante qui remporta, à son tour, un complet succès et éprouva cruellement le 152e. Quelques jours après, le général Serret était grièvement blessé, et, dans ceux qui suivirent sa mort, les Allemands nous arrachèrent, lambeau par lambeau, les derniers gains conservés, au cours de combats particulièrement violents et meurtriers.
   L'Hartmann demeura jusqu'à l'armistice un secteur agité, bien qu'aucune attaque n'y fui plus entreprise. Tant qu'il s'était agi d'une large opération en Alsace, la conquête de cet observatoire était sans doute justifiée, mais, une fois ce programme abandonné, elle n'était plus qu'une sanglante et entraînante opération de détail qu'il devenait nécessaire d'arrêter.
   Si ces combats pour l'Hartmann furent coûteux, ils furent du moins fertiles en enseignements : on peut y suivre l'évolution des méthodes de combat, depuis l'assaut à la baïonnette sans préparation d'artillerie du début, jusqu'aux attaques conduites avec un appui direct et méthodique de l'artillerie, et jusqu'à la formation de groupements tactiques réunissant sous un même commandement les éléments chargés d'une même mission.
   Ce récit apporte l'explication de ce que l'on a appelé « le drame du 152e ». Un drame en effet que la perle à peu près complète de ce régiment, un des plus beaux de noire armée de guerre, qui fui sept fois cité, el reçut le premier la fourragère rouge, dont la vaillance avait mérité à ses fantassins, de la part des Allemands, le surnom de « Diables Rouges ». Son Colonel, rendant compte de ce triste événement, a pu rappeler justement que son régiment s'était montré, la veille encore, digne de son passé et de sa réputation, en remportant un succès considérable, et en faisant à l'ennemi sept cents prisonniers, et affirmer en terminant : « La perle est cruelle, mais l'honneur est sauf. »
   Cet ouvrage, enfin, fera mieux connaître, dans toute la force de sa personnalité, le noble Soldai que fut le général Serret. Quand il aura médité ce rapport dans lequel le Chef déclare n'avoir rien à reprendre aux ordres donnés par ses subordonnés, et revendiquer toute la responsabilité de l'échec final, « résultat, dit-il, d'une erreur initiale qui peut m'être imputée », le lecteur mesurera la grandeur de la perte que fut la mort du général Serret à la hauteur du caractère qu'il a montré dans ces graves circonstances.
   On ne saurait trop exalter la vaillance et l'abnégation dont firent preuve toutes les troupes qui furent engagées dans ces combats rendus particulièrement difficiles et meurtriers par la nature du terrain abrupt, par la rudesse du climat, par la position enveloppante de l'ennemi, par les qualités de son artillerie plus appropriée que la nôtre à la guerre de montagne. « Là – a écrit un des familiers du général Serret – on s'est battu avec acharnement, mais à la française. On y vivait et on y mourait en beauté. »
   C'est pour perpétuer le souvenir de cet héroïsme que s'élève aujourd'hui, sur la montagne désormais fameuse, un des quatre grands monuments du front. Ce livre y ajoute une pierre de la meilleure qualité.

25 euros (code de commande : 01698).

 

MASSON (Arthur) — Toine Culot, obèse ardennais. Bruxelles, Librairie Vanderlinden, 1976. In-8° (165 x 216 mm.) broché, 216 p., couverture et illustrations d'Octave Sanspoux, exemplaire en très bon état. 


En réambule de l'ouvrage de Louis Sarot :
   Phénomène de la littérature populaire, dont les ouvrages étaient tirés à 30.000 exemplaires, célébré en Belgique comme le Daudet ou le Pagnol de la Wallonie, Arthur Masson, ce professeur devenu romancier, pouvait se vanter d’être lu dans des foyers où les livres ne pénétraient guère. Considéré par beaucoup comme un « écrivain exclusivement régionaliste », l’auteur de la « Toinade », cette saga paysanne qui a fait rire plusieurs générations, décrivait un monde rural, replié sur lui-même, où régnaient bonté, bon sens et bonne humeur et où des personnages hauts en couleur vivaient dans la simplicité en harmonie parfaite et souvent comique avec le spirituel.
   Aujourd’hui que cette sagesse villageoise est battue en brèche par la civilisation un peu folle d’un univers urbanisé à outrance, que les pédagogues souvent déçus et les rares prêtres ont perdu une partie de leur prestige, que romantisme, timidité et pudeur ont fait place à l’étalage du sexe et au commerce de l’érotisme, et que la politique même locale est aux prises avec un tas d’« affaires », on peut se demander si la lecture de Toine Culot, de Thanasse et Casimir ou du Cantonnier opulent éveille encore suffisamment d’échos, cinquante ans après la parution du roman qui faisait connaître les héros pittoresques de Trignolles... L’auteur de cette geste gauloise ne mettait-il pas en scène toute une humanité profonde, avec ses travers et ses vertus ?
   Certains reprochent justement à Masson un optimisme à toute épreuve « occultant le tragique existentiel » et un attachement inconditionnel aux vertus domestiques, ancestrales et chrétiennes, alors que d’autres critiques parlent d’une langue pléthorique faisant la part trop belle au patois, aux adjectifs ronflants et aux mots rares... On reconnaît en effet dans cette « littérature artisanale », ignorée longtemps par les universitaires, l’auteur du manuel Pour enrichir son vocabulaire, mais est-ce une raison pour accabler de mépris cet « écrivain wallon d’expression française » usant de tous les niveaux de langue et doué, semble-t-il, autant pour le théâtre que pour le conte et le roman ?
Bibliographie :
   - Sarot (Louis), Arthur Masson, Service du Livre Luxembourgeois, 1993, pp. 3-4.

10 euros (code de commande : 01688).

 

[MONS]. Images de Mons en Hainaut du XVIe au XIXe siècle. Bruxelles, La Renaissance du Livre, 2006. In-4° (253 x 317 mm.) sous reliure d'éditeur, 311 p., nombreuses illustrations en couleurs, exemplaire en très bon état.
   Ce volume, dont la direction a été assurée par Marie-Thérèse Isaac, assistée par Églantine Lebacq, a été édité à l'occasion de l'exposition éponyme organisée dans la Grande Halle du site des anciens abattoirs de Mons, du 29 septembre au 17 décembre 2006.


Table des matières :
   - Genèse de la cartographie scientifique. Son évolution après l'indépendance de la Belgique, par Hossam Elkhadem, pp. 17-57.
   - Cartes topographiques gravées du Hainaut, par Claire Lemoine-Isabeau, pp. 59-117.
   - Mons au fil des siècles, par Christiane Piérard, pp. 121-131.
   - L'expansion urbaine, 1861-1900, par Richard Benrubi, pp. 133-139.
   - Les fortifications et les sièges de Mons, du XVIe au XIXe siècle, par Walter De Keyzer et Bruno Van Mol, pp. 141-191.
   Les pp. 194-301 sont consacrées aux différents quartiers de la ville et à leurs bâtiments : le quartier de la Grand'Place, le quartier du Château, le quartier de la Gare, le quartier du Parc, le quartier de Nimy, le quartier d'Havré, le sud de la Trouille, les Boulevards.
   L'ouvrage se termine par une bibliographie, pp. 303-310.

Vendu.

 

[MONS - PROCESSION DU CAR D'OR]. LEMUR (René) — En hommage à sainte Waudru, patronne de la cité. Procession historique du Car d'Or. Mons, dimanche 19 juin 2011 à 9h30. Affiche en couleurs au format 351 x 499 mm., un des cent exemplaires numérotés (n° 73) signés par l'artiste et revêtu du cachet de l'A.S.B.L. Procession du Car d'Or - Mons.
   
On ne présente plus René Lemur (1938-2014) aux Montois ; par ses écrits en patois montois et ses illustrations, il fut l'un de ceux grâce à qui le folklore de la bonne ville de Mons – notamment celui du quartier de Messines – a continué à vivre.

Vendu.

 

MOUCHOTTE (René) — Les carnets de René Mouchotte (1940-1945) commandant de groupe de chasse dans la Royal Air force, commandant du groupe Alsace. Présentés par André Dezarrois. [Quarantième mille.] Paris, Flammarion, 1949. In-8° (153 x 214 mm.) broché sous jaquette illustrée par Jean-Marie Rabec, 257 p., exemplaire en très bon état.


Table des matières :
   Introduction.
   I. Oran Juin 1940.
   II. L'envol du Goéland.
   III. À Gibraltar.
   IV. Dans l'aviation anglaise. À l'entraînement.
   V. En escadrille dans la Royal Air Force : d'Aldelgrove (Irlande) à Prestwick (Écosse).
   VI. À Northolt, au « Squadron Churchill ». Premiers combats.
   VII. Sur l'aérodrome de Kenley.
   VIIII. À Valley, en pays de Galles.
   IX. Après celle de Bouquillard et de quelques autres, la mort de Charles Guérin, le frère d'armes.
   X. « René », premier pilote français, chef d'escadrille anglaise.
   XI. Le premier avion allemand abattu.
   XII. De l'aérodrome de Manston : l'attaque des convois de bateaux allemands.
   XIII. « Ile de France », premier groupe de chasse des Forces Aériennes Françaises Libres.
   XIV. La Croix de Lorraine volante.
   XV. À Westhampnett-Tangmere : « Sweeps » sur la France.
   XVI. Dieppe, le 19 août 1912.
   XVII. « Le commandant René », chef du 65e « Squadron » britannique de chasse.
   XVIII. Entraînement sur porte-avions.
   XIX. « Alsace » second groupe de chasse des Forces-Aériennes françaises libres, est formé par René Mouchotte.
   XX. « René », commandant du Groupe Alsace, abat le millième avion de Biggin Hill.
   XXI. Le sacrifice suprême.
   Addenda.

8 euros (code de commande : 01708).

 

[PHONOGRAPHE]. Le magasin du phonographe. Bruxelles, Crédit Communal de Belgique, 1977. In-folio (270 x 390 mm.) broché, 88 p., nombreuses illustrations, petit accroc au dos.
   Catalogue de l'exposition 100 ans de phonographe, organisée au Passage 44, à Bruxelles, du 2 décembre 1977 au 8 janvier 1978, par Gérard Valet.


Introduction :
   Avec quelques passionnés, nous avons voulu monter une exposition. À toute exposition correspond un catalogue.
   Ce catalogue, un journaliste ne pouvait que lui donner l'aspect d'un journal, d'un magazine dont le premier numéro serait né le jour où, pour la première fois au monde, on entendit la reproduction de la voix humaine.
   Son titre est un hommage au Magasin Pittoresque, périodique où l'on trouve en guise de signet le charme de la vie d'autrefois (sans doute ce charme n'existe-t-il souvent qu'à posteriori !). Le Magasin du Phonographe est à la fois un magazine et une boutique.
   À l'exposition, vous trouverez la « boutique » pleine de ces merveilleuses machines parlantes et vous consulterez longtemps, je l'espère, ce Magasin où nous avons tenté de rassembler dépêches, articles, documents exclusifs, puisés dans maintes publications.
   La bibliographie permettra aux plus curieux de compléter notre Magasin au Phonographe qui, bien sûr, comporte des lacunes. Quant à ces passionnés qui nous ont sacrifié leur temps et leur expérience, il n'y a malheureusement pas de caractères typographiques qui puissent indiquer l'importance relative de chacun.
   Une exposition et un journal-catalogue sont vraiment l'expression d'une œuvre collective au service de la collectivité. C'est pourquoi je souhaite que certains ne m'en veuillent pas de ne pas trouver dans une longue liste le reflet de l'aide qu'ils m'ont apportée et qui dépasse de loin une simple citation.

Vendu.

 

RENARD (Claude) — La conquête du suffrage universel en Belgique. Bruxelles, Fondation J. Jacquemotte, 1966. In-8° (135 x 212 mm.) broché, 310 p.


Extrait de l'avant-propos :
   La place et le rôle qui reviennent au suffrage universel dans les luttes du mouvement ouvrier international ont soulevé bien des discussions depuis les débuts de ce mouvement.
   Alors qu'en Allemagne, les marxistes eurent à combattre très tôt l'illusion lassallienne selon laquelle le suffrage universel ferait jouer automatiquement la loi du nombre en faveur des travailleurs, dans tous les pays latins et en Belgique, l'abstention politique préconisée par les anarchistes fut longtemps le principal obstacle au développement d'une organisation ouvrière indépendante. Si bien que, lors de la formation des premiers partis ouvriers dans ces pays, au cours de la seconde moitié du XIXe siècle, la reconnaissance de la nécessité de conquérir et d'utiliser le droit de suffrage put être interprétée par les marxistes comme une victoire décisive du socialisme scientifique sur le proudhonisme.
   L'utilisation pratique du suffrage universel posa ensuite à tous les partis ouvriers, directement ou indirectement, une série de questions nouvelles, liées aux appréciations que l'on portait, en réformistes ou en révolutionnaires, sur les possibilités que recelait l'institution, du point de vue de la réalisation des objectifs socialistes. La conquête de la majorité absolue était-elle possible ? Permettrait-elle, une fois acquise, de réaliser graduellement le socialisme et de faire ainsi l'économie d'une révolution violente ? Quels devaient être les rapports entre l'action parlementaire et l'action « directe » ? Laquelle devait avoir le pas sur l'autre ? etc. Autant de questions qui ont animé les luttes de tendances à l'intérieur des partis ouvriers avant 1914. Et les divergences qu'elles suscitaient ont compté parmi les causes de la rupture profonde qui se produisit, après la révolution russe, entre socialistes et communistes.
   Avec les révolutions prolétariennes, l'Histoire a commencé de répondre à ces questions, souvent en corrigeant et en renouvelant les termes dans lesquels on les avait formulées antérieurement et, toujours, en exigeant des partis ouvriers, qu'ils fussent bien ou mal préparés à cette tâche, de nouveaux efforts de recherche tenant mieux compte de l'originalité des expériences et de la diversité des situations. Nous vivons encore cette recherche difficile qui revêt une importance capitale pour l'avenir du mouvement dans les pays capitalistes, pour la reconstitution de son unité, car il s'agit maintenant de faire déboucher sur des positions de pouvoir toutes les expériences accumulées et tous les résultats obtenus en commun par la classe ouvrière dans sa pratique du suffrage universel, des institutions représentatives, de la démocratie politique.
   Aussi l'histoire de la conquête du suffrage universel en Belgique n'est-elle pas un sujet inactuel, purement historique. C'est encore un problème à la fois politique et théorique, problème que l'on ne peut élucider par des considérations générales valables pour tous les pays, en dehors de l'analyse des conditions concrètes dans lesquelles il est devenu un objet de luttes politiques et de réflexions théoriques.
   Le cas de la Belgique est d'ailleurs un cas idéal pour l'étude de ce problème, en raison de ses particularités historiques.
   La conquête du droit de vote, puis du suffrage universel pur et simple, a été pour la classe ouvrière belge l'aboutissement d'une lutte particulièrement longue et difficile. Cette lutte est si intimement liée à toute l'histoire du mouvement ouvrier et démocratique en Belgique, de ses débuts à 1914, que l'on ne peut considérer aucun des aspects particuliers de ce développement sans retrouver, d'une manière ou d'une autre, la revendication du suffrage universel.

15 euros (code de commande : 01707).

 

REYNIERS (Alain) et GILAIN (Françoise) — Tsiganes de Belgique, Tsiganes du monde. Louvain-la-Neuve, Laboratoire d'Anthropologie Sociale et Culturelle, [1979]. In-4° (210 x 297 mm.) agrafé, 80 p. (impression anapistographique), (collection « Documentation d'Anthropologie », n° 15). 


Avis au lecteur :
   L'étude qui suit constitue la phase écrite d'une recherche ethnographique et documentaire menée durant l'année 1978 dans le cadre des activités du Laboratoire d'Anthropologie Sociale et Culturelle de l'Université de Louvain. Un film ethnographique, réalisé à la même époque en Super 8, intitulé Tsiganes d'aujourd'hui en Belgique, et d'une durée d'une heure quarante-cinq minutes, constitue l'autre phase de cette recherche.
   Ces deux travaux, étant donné la complémentarité de leur approche, doivent être considérés comme un tout. Ils sont en premier lieu destinés aux étudiants de la filière « Anthropologie sociale » pour qui ils servent de matériau pédagogique.
   La deuxième édition de ce texte comporte quelques modifications et des corrections de détail par rapport à l'édition originale. Celles-ci touchent essentiellement les chapitres II (Les groupes tsiganes en Belgique), III (Statut juridique des Tsiganes en Belgique) et IV (Nomadisme et Société). Nous tenons à remercier tout spécialement quelques amis tsiganes qui nous ont aidé à la correction du texte précédent.
Table des matières :
   - Introduction.
   Chapitre I. Race et histoire.
      1. D'Asie en Europe.
      2. De Byzance à Paris.
      3. Le mode de vie bohémien.
      4. Le génocide des Tsiganes sous le régime nazi.
   Chapitre II. Les groupes tsiganes en Belgique.
      1. Les Manouches (Sinte).
      2. Les Roms.
      3. Les Voyagzeurs.
         a) Les Yeniches.
         b) Les autres Barengre.
      4. Les nomades « yougoslaves ».
      5. Les travailleurs immigrés (de race tsigane).
   Chapitre III. Statut juridique des Tsiganes en Belgique.
      1. Le nomade.
      2. La nationalité.
         A. La nationalité belge.
         B. Les étrangers.
      3. Le stationnement.
   Chapitre IV. Nomadisme et société.
      1. La question du nomadisme tsigane.
      2. L'espace et le temps du Tsigane.
      3. L'organisation familiale.
         a) La famille comme fondement de la société.
         b) Le mariage, lieu de passage obligé.
         c) L'éducation.
         d) L'identité familiale.
      4. La collectivité.
         a) Le lignage ou vista.
         b) Endogamie et société.
         c) La Kumpania.
         d) L'ethnie tsigane.
      5. L'économie.
      6. La religion.
         a) La tradition religieuse tsigane.
         b) Le catholicisme.
         c) Le pentecôtisme.
      7. L'autorité sociale.
         a) Le chef traditionnel.
         b) La justice sociale.
      8. Langage et société.
   Chapitre V. L'organisation tsigane internationale.
      1. La prise de conscience des Romané Chavé.
      2. Le Comité International Rom.
      3. Le Congrès Mondial Tsigane de Londres.
      4. Le Congrès Mondial des Roms à Genève.
      5. L'influence du Comité International Rom.
   Chapitre VI. L'avenir du peuple rom.
      1. L'éducation scolaire obligatoire.
      2. La menace culturelle.
      3. L'économie de consommation.
      4. L'individu en crise.
   - Bibliographie de référence.

Vendu.

 

[THÉÂTRE]. Pour pratiquer les textes de théâtre. Lexique théâtral. Langages nouveaux, pratiques nouvelles pour la classe de langue française. Par P. Charvet, St. Gompertz, E. Martin, D. Mortier et Chr. Pouillon, Association « Pouvoir de lire, Pouvoir d'écrire ». Bruxelles - Paris-Gembloux, A. De Boeck - Duculot, 1979. In-8° (170 x 220 mm.) broché, 131 p., (collection « Formation Continuée »), exemplaire en très bon état. 


En quatrième de couverture :
   Ce lexique présente des outils théoriques et pratiques qui permettront à l'enseignant et à l'étudiant une approche et une pratique efficaces des textes de théâtre. Les propositions théoriques sur la nature de l'œuvre théâtrale, sur l'évolution de ses formes, sur sa fonction dans une société... aideront le professeur de français à situer, avec cohérence, une pratique théâtrale au sein de son enseignement.
Avant-propos :
   Parce qu'entre le théâtre et la vie sociale, la symbiose est beaucoup plus grande qu'on ne le croit souvent, et parce que le théâtre, depuis Eschyle et Racine, a évolué aussi rapidement que les idées et les techniques, il devient de plus en plus nécessaire de doter l'enseignement d'outils modernes et efficaces susceptibles de développer une bonne pratique théâtrale.
   Parce que, pour le professeur comme pour ses élèves, l'expérience théâtrale, c'est souvent, dans un premier temps, des textes à étudier, il convient d'élaborer une pédagogie active mais réaliste qui, partant du texte, pourra conduire à la mise en scène et au jeu dramatique.
   Parce que le professeur d'enseignement secondaire n'a pas pour vocation l'animation théâtrale mais, plus vitalement, l'éveil à toutes les formes d'expression et à leurs enjeux culturels, il ne peut se contenter d'informations techniques mais réclame, à juste titre, des propositions théoriques sur la nature de l'œuvre théâtrale, sur l'évolution de ses formes, sur sa fonction dans une société...
   D'où cet ouvrage, conçu spécialement pour aider le professeur de français à situer, avec cohérence, une pratique théâtrale au sein de son enseignement.
   D'où aussi, une présentation sous forme de lexique. L'avantage du lexique, c'est qu'il permet une réflexion sur les aspects les plus différents du sujet traité ; c'est aussi qu'il a nécessairement une forme ouverte et que son utilisation est souple ; il offre au lecteur – enseignant, étudiant – la possibilité d'un questionnement multiple sur la spécificité du texte de théâtre. Les principaux jalons théoriques de notre travail sont exposés aux articles : Catharsis, Dramaturgie, Illusion, Mimesis, Texte.
   À partir de cette information théorique, appuyée sur des exemples précis, notre intention a été de proposer des itinéraires au cours desquels le lecteur se forgera les outils conceptuels indispensables à une pratique pédagogique respectueuse du statut théâtral du texte, dans sa dimension historique et sociologique. Davantage même, ce sont de véritables pistes de recherche qui se dessinent au fil des trajets effectués dans le lexique.

Vendu.

 

TRISTAN L’HERMITE (François L'Hermite du Solier) — Le page disgracié. Préface de Marcel Arland. Paris, Éditions Stock Delamain et Boutelleau, 1946. In-8° (122 x 190 mm.) broché, 323 p., (collection « À la Promenade », n° 6), exemplaire numéroté (n° 714) sur vélin supérieur S.P.M. des papeteries Navarre, en grande partie non coupé.


En quatrième de couverture d'une réimpression moderne :
   Roman autobiographique (1643) du grand poète baroque Tristan L'Hermite, Le Page disgracié retrace la vie d'un page à la cour d'Henri IV, sa fuite en Angleterre, mille autres aventures. Un style fin, poétique et tendre fait de ce récit un livre unique en son temps et l'une des grandes dates – méconnues – du roman au XVIIe siècle. Le Page disgracié a tout pour séduire un lecteur d'aujourd'hui. Écrit sous forme d'autobiographie, en chapitres courts, il divertit par la variété de ses épisodes, le mélange de ses registres, l'élégance de son style, l'abondance des personnages qu'il met en scène, la finesse du regard que l'auteur porte sur eux. C'est aussi un roman moderne, parce que c'est un roman de formation, et que l'auteur, qui raconte sa vie trente ans plus tard, est rempli d'une mélancolie atténuée par l'humour.

12 euros (code de commande : 01691).

 

[VERGENNES (Charles Gravier, comte de)]. CHAMBRUN (Charles de) — À l'école d'un diplomate. Vergennes. Paris, Plon, 1944. Mention de 2e mille sur la couverture. In-8° demi-chagrin vert à coins (dos uniformément décoloré), dos à 5 nerfs, tête dorée, couverture conservée (reliure signée R. Laurent), 430 p., illustrations hors texte.


   Belle dédicace de l'auteur à Marcel Le Tellier en souvenir de son frère, le montois Pol Le Tellier, nommé ambassadeur de Belgique en France en 1938 et décédé à Vichy le 5 août 1941.


Table des matières :
   Chapitre I. Le chevalier de Vergennes, gentilhomme d'ambassade.
   Chapitre II. La faute de 1740.
   Chapitre III. Le chevalier de Vergennes à Trèves et à Hanovre.
   Chapitre IV. « L'heureux » emporte le futur ambassadeur vers les rives de la renommée.
   Chapitre V. Lettres de créance.
   Chapitre VI. Le chassé-croisé des alliances.
   Chapitre VII. La neutralité ottomane.
   Chapitre VIII. La disgrâce de Vergennes.
   Chapitre IX. Sa carrière s'étend à mesure qu'il y avance.
   Chapitre X. La révolution suédoise.
   Chapitre XI. La dernière négociation de Louis XV.
   Chapitre XII. Le comte de Vergennes, ministre des Affaires étrangères. Le bon sens règne à Versailles.
   Chapitre XIII. La paix de l'Europe. Le congrès de Teschen.
   Chapitre XIV. Les cloches de Philadelphie carillonnent l'indépendance.
   Chapitre XV. L'alliance du roi Louis XVI avec le docteur Benjamin Franklin.
   Chapitre XVI. La liberté des mers.
   Chapitre XVII. Yorktown.
   Chapitre XVIII. Les négociations de Versailles.
   Chapitre XIX. Par son humeur belliqueuse, Marie-Antoinette blesse Vergennes au cœur.
   Chapitre XX. Les ministres passent, la diplomatie demeure.
   - Appendice, sources originales, bibliographie.

15 euros (code de commande : 01682).

 

[VOITURE (Vincent)]. MAGNE (Émile) — Voiture et l'hôtel de Rambouillet. Les années de gloire 1635-1648. Portraits et documents inédits. Nouvelle édition, corrigée et augmentée de documents inédits. [Huitième édition.] Paris, Émile-Paul, 1930. In-8° (124 x 188 mm.) broché, VIII, 403 p., illustrations hors texte, exemplaire non coupé et en bon état.


Table des matières :
   - Note préliminaire.
   Chapitre I. 1635-1637.
   Chapitre II. 1638-1639.
   Chapitre III. 1639-1642.
   Chapitre IV. 1642-1648.
   - Appendice.
      I. Les filles religieuses de Mme de Rambouillet.
      II. Œuvres du marquis et de la marquise de Rambouillet, de Julie d'Angennes et du marquis de Montausier (lettres et poésies inédites).
      III. Lettres d'amour inédites du marquis de Montausier à Julie d'Angennes.
   - Index.

10 euros (code de commande : 01696).

 

[WALLONIE]. Le patrimoine rural de Wallonie. La maison paysanne. 1. Des modèles aux réalités. 2. Portefeuille d'architecture régionale. Par Luc-Fr. Genicot et Patricia Butil, Sabine De Jonghe, Bernadette Lozet, Philippe Weber. Bruxelles - Namur, Crédit Communal - Ministère de la Région Wallonne, 1996. Deux volumes in-4° (264 x 318 mm.) sous reliures, jaquettes et coffret d'éditeur, 353 et 151 p., nombreuses illustrations en noir et en couleurs, exemplaire à l'état de neuf et toujours sous son film plastique d'origine.


Table des matières :
   Volume I - Des modèles aux réalités.
      - Préface.
      - Avant-propos.
      - Introduction
         - Bibliographie générale.
         - Avertissement technique.
         - Lexique général.
      - Première partie. La maison : un projet.
         Chapitre 1. La ferme.
            1. Les genres.
            2. La cour.
            3. Les bâtiments d'exploitation (Le logement des animaux - Le stockage des récoltes Le remisage du matériel).
         Chapitre 2. Le logis.
            1. Le développement en longueur.
            2. Le développement en profondeur.
            3. Le développement cruciforme.
            4. Dénominateurs communs.
         Chapitre 3. Aux origines lointaines.
            1. Les sources d'information.
            2. L'émergence des types.
      - Deuxième partie. La maison : une construction.
         Chapitre 1. Les matériaux.
            1. Le bois (Le pan-de-bois - Les charpentes - Les huisseries).
            2. Les végétaux.
            3. La terre (La terre crue - La terre cuite).
            4. La pierre (Les genres - La « seconde vie » de la pierre).
            5. Impressions couleurs.
         Chapitre 2. Des permanences et héritages.
            1. La cheminée.
            2. Les mesures en plan.
            3. Les structures intérieures.
      Troisième partie. La maison : une demeure.
         Chapitre 1. Le courtil.
         Chapitre 2. La maison.
            1. L'eau.
            2. Le feu.
            3. La terre.
            4. L'air.
         Chapitre 3. Les étables.
            1. L'étable pour tous.
            2. Les locaux de chacun.
      Conclusion.
         - Index des cartes.
         - Index des schémas et des tableaux.
         - Index des noms de lieux de Wallonie.
         - Index des sujets.
         - Provenance des illustrations.
   Volume II - Portefeuille d'Architecture régionale.
      - Note liminaire.
      - Avertissement technique.
      - Recueil.
      - Index des lieux.
       - Index des régions.

Vendu.

 

[WAROCQUÉ]. VAN DEN EYNDE (Maurice) — Les Warocqué. Une dynastie de maîtres-charbonniers. Préface de Max Drechsel. Bruxelles, Labor, 1984. In-8° (149 x 216 mm.) broché, 152 p., illustrations hors texte, (collection « Les Grandes Familles Industrielles »), exemplaire en très bon état auquel on joint un tiré à part de 18 pages du même auteur, Raoul Warocqué et la fondation de l'Institut commercial, publié, en 1967, par cet Institut à l'occasion de la commémoration du cinquantenaire de la mort de Raoul Warocqué, dédicacé par l'auteur.


En quatrième de couverture :
   Les Warocqué, la famille le plus connue dans la région du Centre pendant la seconde moitié du XIXe siècle et le début du XXe tombèrent dans l'oubli après la mort, en 1917, du dernier représentant, Raoul.
   Maurice Van den Eynde évoque dans ce livre, cet exemple de ces hommes dynamiques fondateurs d'une société où les valeurs bourgeoises supplantèrent les traditions de l'Ancien Régime. Il présente une synthèse de la vie des quatre générations et des six personnages de cette famille qui, non seulement a joué un rôle important dans le développement de toute la région, mais qui a aussi redonné à Mariemont un peu de ce faste connu au temps de Charles de Lorraine.
   Ce livre incite à la réflexion, tant il est vrai, comme dit Monsieur Max Drechsel dans sa préface, que l'approche historique consciencieusement préparée est toujours génératrice d'hypothèses fécondes, même dans le voisinage des domaines qu'elle prospecte.

 

Vendu.

 

WARZÉE (Gaëtane, dir.) — Le patrimoine moderne et contemporain de Wallonie. De 1792 à 1958. Namur, Ministère de la Région Wallonne - Division du Patrimoine, 1999. In-4° (260 x 305 mm.) sous reliure et jaquette d'éditeur, 423 p., très nombreuses illustrations en couleurs, exemplaire à l'état de neuf et toujours sous son film plastique d'origine.


Table des matières :
   - Le patrimoine moderne et contemporain.
   - Introduction à deux siècles d'architecture moderne et contemporaine, par Pierre Paquet.
  - Province de Brabant wallon.
      - Beauvechain. L'église Saint-Sulpice, par Caroline d'Ursel.
      - Braine-l'Alleud. L'hôtel de Ville, par Pierre Mary Vêche.
      - Braine-l'Alleud. La maison Pieret-Goodman, par Sandrine Smets.
      - Court-Saint-Étienne. La gare, par Sandrine Smets et Edgar Haulotte.
      - Jodoigne. Le domaine des Cailloux, par Bernadette Streel.
      - La Hulpe. La villa La Bastide, par Anne Hustache.
      - Nivelles. Le palais de Justice, par Claudine Donnay-Rocmans et Martine Osterrieth.
      - Rixensart, Genval. La gare de Genval-les-Eaux, par Roger Ghyssens.
      - Rixensart, Genval. La villa Beau-Site, par Daniel Marcolungo.
      - Tubize. L'église du Christ-Ressuscité, par Christel Pierreu.
      - Tubize. La maison communale, par Jean-Paul Dehon.
      - Waterloo. La chapelle musicale Reine Elisabeth, par Catherine Matthys.
      - Waterloo. Le château d'Argenteuil, par Catherine Matthys.
      - Waterloo. L'institut médico-pédagogique, par Lucien Gerke.
   - Province de Hainaut.
      - Ath. L'œuvre des Jean-Baptiste Mottrie, père et fils, par Jean-Pierre Ducastelle.
      - Ath, Moulbaix. Le château, par Jean-Pierre Ducastelle.
      - Binche. La gare, par Jacqueline Genicot.
      - Brunehaut, Bléharies. L'église Saint-Aybert, par Liliane Liesens.
      - Charleroi. Les habitations Art nouveau, par Anne-Catherine Bioul.
      - Charleroi. L'hôtel de Ville, par Maurice Culot.
      - Charleroi. L'œuvre de Marcel Depelsenaire, par Maurice Culot.
      - Charleroi L'œuvre de Marcel Leborgne, par Maurice Culot.
      - Charleroi, Couillet. L'Amicale Solvay, par Étienne Guillaume.
      - Charleroi, Couillet. La cité-jardin, par Alain Forti.
      - Charleroi, Marcinelle. La cité de l'Enfance, par Alain Vanderputten.
      - Dour. La maison du peuple, par Thérèse Van Den Noortgaete.
      - La Louvière. Les châteaux d'industrie, par Françoise Baré.
      - Mons. La cité-parc du Bois de Mons, par Louis Thiernesse.
      - Mons. L'institut d'Hygiène et de Bactériologie, par Annique Vandael.
      - Mons. La loge maçonnique, par Christiane Piérard.
      - Mons. La maison Losseau, par Christiane Piérard.
      - Mons. La prison ou maison de sécurité, par Christiane Piérard.
      - Morlanwelz, Mariemont. Les constructions commanditées par la famille Warocqué, par Ludovic Recchia.
      - Mouscron. L'hôtel de Ville, par Gérard Bavay et Claude Depauw.
      - Mouscron. La maison picarde, par Véronique Van De Voorde.
      - Quaregnon. L'hôtel communal, par Gérard Bavay.
      - Soignies. Le Modem hôtel, par Jacques Deveseleer.
      - Tournai. L'architecture des années 1930, par Thérèse Van Den Noortgaete et Jacky Legge.
      - Tournai. Les habitations Art nouveau, par Thérèse Van Den Noortgaete et Jacky Legge.
      - Tournai. L'habitation et atelier du peintre Léonce Pion, par Liliane Liesens.
      - Tournai. Le musée des Beaux-Arts, par Serge le Bailly de Tilleghem.
      - Tournai. L'œuvre de Bruno Renard, par Françoise Carlier.
      - Tournai. Le palais de Justice et son quartier, par Catherine Guisset-Lemoine.
      - Tournai, Ramegnies-Chin. L'école Saint-Luc, par Serge le Bailly de Tilleghem.
   - Province de Liège.
      - Flémalle. La cité des Trixhes, par Xavier Folville et Pierre Frankignoulle.
      - Fléron, Retinne. L'église Sainte-Julienne, par Emmanuel Van Der Fieyden.
      - Huy. L'œuvre d'Émile Vierset-Godin, par Laurence Ancion.
      - Liège. Les bains de la Sauvenière, par Flavio Di Campli.
      - Liège. La cité d'habitation de Droixhe, par Pierre Henrion.
      - Liège. L'église Saint-Vincent, par Michèle Wilmotte.
      - Liège. L'Exposition universelle de 1905, par Jean-Marc Zambon.
      - Liège. Les habitations Art nouveau, par Xavier Folville.
      - Liège. Le lycée Léonie de Waha, par Pierre-Yves Desaive et Stéphanie Pecoraro.
      - Liège. Le mémorial interallié et l'église régionale, du Sacré-Cœur-et-Notre-Dame-de-Lourdes, par Michèle Wilmotte.
      - Liège. Le palais des Congrès, par Pierre Henrion.
      - Liège. Le palais provincial, par Flavio Di Campli.
      - Liège. Le passage Lemonnier, par Lucia Gaiardo.
      - Liège. Le pont Mativa, par Gwenaël Delhumeau.
      - Liège. La salle académique de l'université et les bâtiments environnants, par Serge Alexandre.
      - Liège. Le théâtre royal, par Flavio Di Campli.
      - Pepinster. L'église Saint-Antoine-Ermite, par Emmanuel Van Der Heyden.
      - Spa. La galerie Léopold II, par Marie-Christine Schils.
      - Spa. Les villas de Georges Hobé, par Éric Hennaut.
      - Verviers. La gare centrale, par Catherine Bauwens.
      - Verviers La société d'Harmonie, par Catherine Bauwens.
   - Province de Luxembourg.
      - Arlon. Les bâtiments de la place Léopold, par Jean-Marie Triffaux.
      - Arlon. L'église Saint-Martin, par Claude Feltz et Marie-Thérèse Kroemmer.
      - Arlon. La gare, Guy Albarre, par Claude Feltz et Jean-Claude Léonard.
      - Arlon. La synagogue, par Pierre Hannick.
      - Bastogne. La gare de Bastogne-sud, par Dominique Renard.
      - Bastogne. Le Mardasson, par Robert Fergloute.
      - Bertrix, Jehonville. L'église Saint-Maximin, par Michèle Wilmotte.
      - Chiny, Izel, Tintigny Ansart et Bellefontaine et Virton, Saint-Mard. Les lavoirs de Gaume, par Constantin Chariot.
      - Étalle, Buzenol. Le musée lapidaire de Montauban-sous-Buzenol, par Constantin Chariot.
      - Florenville, Villers-devant-Orval. L'abbaye Notre-Dame d'Orval, par Xavier Deflorenne.
      - Libramont-Chevigny. La cité-jardin, par Jean Harlange.
      - Marche-en-Famenne, Waha. Le château, par Luc-Francis Genicot.
      - Virton. L'église Saint-Laurent, par Joseph Michel.
      - Virton, Ethe. Le château de Laclaireau, par Didier Culot.
   - Province de Namur.
      - Anhée, Sosoye. La villa Haute Bise, par Anne Hustache.
      - Assesse, Trieu-Courrière L'église du Sacré-Cœur, par Jacques Lambert.
      - Ciney Leignon. Le château et son parc, par Thérèse Cortembos.
      - Denée, Maredsous. L'abbaye Saint-Benoît, par Isabelle Graulich.
      - Dinant. L'œuvre d'Edouard Frankinet, par Étienne Guillaume.
      - Gembloux, Bossières. Le château de Golzinne, par Francis Tourneur.
      - Faulx-les-Tombes, Gesves . Le château de Faulx, par Philippe Buxant et Francis Tourneur.
      - Faulx-les-Tombes, Gesves . L'église Saint-Joseph des Tombes, par Philippe Buxant et Francis Tourneur.
      - Namur. L'hôtel Kegeljan, par Jacques Toussaint.
      - Namur. L'œuvre de Georges Hobé, par Éric Hennaut.
      - Namur. Le théâtre royal, par Thérèse Cortembos.
      - Namur, Beez. Les moulins de la Meuse, par Maurice Culot.
      - Namur, Jambes. L'œuvre d'Adolphe Ledoux, par Marc Simon.
      - Rochefort. L'église de la Visitation-de-la-Sainte-Vierge, par Jean-Louis Javaux.
      - Rochefort. L'hôtel de Ville, par Christian Limbrée.
      - Yvoir, Godinne. La villa De Koninck, par Éric Hennaut.

35 euros (code de commande : 01679).
Prix neuf : 59,50

 

La prochaine mise à jour
aura lieu
le mardi 29 octobre 2024

 

 
Si vous souhaitez obtenir d'autres informations n'hésitez à pas à me questionner
par courriel
(b.waterlot@hotmail.com) ou par téléphone ou sms (+32 (0) 472 51 52 63).
Ces livres peuvent être retirés à l'adresse figurant dans l'en-tête du blog.
En cas d'envoi postal, veuillez indiquer le pays vers lequel le colis devrait être expédié, cela me permettra de vous indiquer les modalités de livraison et de paiement.